Trois doses de vaccin contre l’hépatite B chez nos nouveaux nés: oui ou non?

Cette vaccination, à un moment crucial de leur vie, très controversée, est obligatoire en France et chaleureusement recommandée en Suisse, alors que leur risque de contracter l’hépatite B est négligeable.

Le vaccin contre lhépatite B est entaché de controverses depuis sa création entre 1976 et 1986, notamment parce quil est administré systématiquement aux nouveau-nés, alors qu’il faut en vacciner des millions pour qu’ils en bénéficient réellement: plus d’un million d’enfants pour prévenir un seul cas d’hépatite B et cinq millions pour prévenir une complication grave, ce qui démontre, études à l’appui sur ses effets secondaires nocifs, que le vaccin nuit à beaucoup plus d’enfants qu’il n’en protège.

Étonnamment, une grande partie de cette controverse est tombée dans loubli  parce que nos sociétés européennes ont été conditionnées à croire que tous les vaccins sont « sûrs et efficaces »et ignorent que les risques et les avantages de chaque vaccin varient considérablement. L’un des vaccins les plus controversés  reste celui contre l’hépatite B, administré aux nouveau-nés.

Le vaccin contre lhépatite B est associé depuis longtemps à des maladies auto-immunes, en particulier démyélinisantes. Bien que la communauté médicale ait insisté pendant plus de 50 ans sur le fait que ce lien n’était pas prouvé et nécessitait des « recherches complémentaires », des preuves démontrent que ce processus existe bel et bien.

Voir ici et  

Si le vaccin contre lhépatite B a permis de réduire les cas aigus chez les populations à haut risque (par exemple, les usagers de drogues par voie intraveineuse), rien ne prouve quil ait eu le même effet chez les nouveau-nés (les cas concernés étant extrêmement rares) ni quil ait réduit les cas dhépatite chronique.

L’hépatite B se transmet par contact sanguin, généralement lors de rapports sexuels non protégés (en particulier anaux), d’échanges sanguins accidentels (principalement des piqûres d’aiguille, le partage de seringues contaminées, une blessure avec un bistouri pendant une opération), ou lors de l’accouchement  ce qui est le principal mode de transmission dans les zones à forte prévalence.La transmission de l’hépatite B est donc limitée à certaines communautés, par exemple, la communauté homosexuelle s’est portée volontaire pour participer à la vaccination car environ un quart de ses membres étaient infectés dans les années 1980. Chez les utilisateurs de drogues injectables, les études révèlent des taux d’hépatite B chronique compris entre 3,5 et 20 %. Sans oublier que de nombreuses données indiquent que le SIDA a pour origine des vaccins contre l’hépatite B contaminés (d’origine chimpanzé) testés au sein de la communauté homosexuelle dans les années 1980.

La seule façon pour un petit enfant de contracter une hépatite B chronique grave est par transmission à l’accouchement, toute autre voie est pratiquement impossible, (sauf chez certains musulmans fervents d’un certain couvrage de Ruhollah Khomeini), ce qui nécessite  une mère ayant l’hépatite B.

La politique de vaccination systématique de tous les nouveau-nés doit donc être enfin réévaluée.

Docteur Dominique Schwander

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