Un musulman américain affirme que les « Blancs » ont perdu la « guerre raciale » en « nous laissant entrer »

L’Américain raciste Wajahat Ali déclare aux Blancs : « Vous avez perdu »…

Breitbart

Les Blancs sont en train d’être remplacés par des « gens de couleur » partout aux États-Unis, affirme Wajahat Ali, un Américain d’origine pakistanaise, chroniqueur télé et écrivain musulman qui réduit la politique américaine à une lutte raciste menée par des Américains stéréotypés « blancs » contre tous les autres.

Voici ce qu’il a  déclaré à ses spectateurs YouTube le samedi 29 novembre :

[Aux « Blancs »] Vous avez perdu. L’erreur que vous avez commise, c’est de nous avoir laissés entrer. C’est ça le problème avec les gens de couleur, je vais le dire en tant que personne de couleur. On est nombreux. Genre, très nombreux. Il y a 1,2 milliard de personnes en Inde, plus de 200 millions au Pakistan… Et ça, ce sont juste les gens là-bas. Je parle des expatriés et des immigrés. On est une masse, et on se reproduit. On est un peuple prolifique.

Et le problème, c’est que vous nous avez laissés entrer en 1965 [avec la loi pro-immigration de 1965]. Il y en avait quelques-uns avant. Mais une fois que vous en laissez entrer un, vous savez ce qui se passe avec les gens de couleur ? Notre grand-mère arrive, notre grand-père arrive, notre oncle arrive, notre tante arrive, notre cousin arrive, un cousin au second degré arrive, notre cousin au troisième degré arrive. Ensuite, on fait des enfants, plein d’enfants. Et devinez quoi ? Certaines femmes blanches, vous savez, les femmes de la civilisation occidentale, les femmes pures, les femmes américaines, les femmes de la Rust Belt, les vraies femmes aiment la plupart des gens de couleur. On ne les prend pas. C’est elles qui viennent à nous. Donc on est intégrés. On est partout. On est partout.

La politique « couleur contre blanc » d’Ali repose sur des stéréotypes raciaux qui masquent la diversité humaine normale et la complexité politique. Par exemple, la culture américaine « blanche » est « nulle » comparée à la culture non-blanche, dit Ali, dont l’héritage culturel est le Pakistan islamique :

Je veux que vous réalisiez ceci : Vous avez perdu. Votre histoire est une histoire de merde remplie de misère. Elle est remplie de poulet fade. Elle est remplie de viande terrible, terrible et sèche. Votre musique est nulle. Toute votre culture est nulle. C’est pour ça que les jeunes écoutent les Noirs et leur musique. C’est pour ça que les jeunes adorent les Latinos. Vos fêtes sont nulles parce qu’elles sont monochromatiques. Nos fêtes ont de la meilleure nourriture, de la meilleure musique, des femmes plus belles.

(…)


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Les contribuables américains condamnés à subvenir aux besoins d’un terroriste musulman, de sa femme et de leurs cinq enfants, à vie…

Rahmanullah Lakanwal

La famille Lakanwal va coûter des millions par an aux Américains.

Par l’Américain anti islam Daniel Greenfield

Rahmanullah Lakanwal, un terroriste musulman afghan arrivé ici comme allié, a  tiré sur deux gardes nationaux à Washington.

Sarah Beckstrom, décédée

Andrew Wolfe, dans un état critique

Les terroristes musulmans nous tuent et ensuite nous devons dépenser des millions pour nous occuper d’eux.

Le meurtrier serait toujours en vie. Le procureur général Pam Bondi a annoncé que le ministère de la Justice requerra la peine de mort, mais le nombre d’exécutions fédérales en attente est considérable ; la dernière remonte à 2021 et concernait un crime commis en 1996.

Vous comprenez.

Je doute fort que le terroriste afghan soit jugé à Washington (et cela en supposant même qu’un jury de Washington accepte la peine de mort, ce qui est peu probable, ne serait-ce que pour contrarier Trump et montrer qu’ils ne sont pas islamophobes) et exécuté avant le 20 janvier 2029.

Ce n’est pas impossible, mais je ne parierais pas là-dessus.

Si un démocrate l’emporte ensuite, un nouveau moratoire sur la peine de mort sera imposé, et les avocats commis d’office fédéraux de Rahmanullah Lakanwal, financés par les contribuables (une situation inadmissible), sauront qu’il leur suffit de faire traîner le procès. Idem pour le juge.

Nous allons donc payer pour que ce « réfugié » afghan reste en prison, pour un coût à six chiffres par an, jusqu’à ce qu’il meure de vieillesse.

Au lieu de le renvoyer en Afghanistan depuis une altitude de 20 000 pieds.

Mais comme si cela ne suffisait pas, Rahmanullah Lakanwal a amené tout son clan ici.

Lakanwal vivait, semble-t-il, dans un complexe d’appartements à Bellingham avec sa femme et ses cinq enfants, et il est arrivé aux États-Unis en 2021 dans le cadre de l’opération Allies Welcome.

Une femme et cinq enfants.

Comme je l’explique dans mon article d’aujourd’hui,  « Des réfugiés afghans ont tué 55 personnes et en ont blessé 92 aux États-Unis » (Article ici, en fichier Pdf) , une précédente famille de terroristes afghans s’était montrée plus attentionnée.

L’attaque perpétrée par Rahmanullah Lakanwal a eu lieu une semaine seulement après la condamnation d’un autre Afghan, Abdullah Haji Zada, à 15 ans de prison pour son implication dans le complot visant à perpétrer un attentat le jour des élections.  Abdullah et son beau-frère afghan, Nasir Ahmad Tawhedi, ancien gardien d’une installation américaine en Afghanistan, avaient planifié une fusillade de masse contre de « grands groupes de personnes » le jour des élections. Une vidéo montrait Tawhedi lisant à Zada ​​et à sa fille un texte décrivant les récompenses promises aux martyrs dans l’au-delà.

Bien qu’il ait demandé une « libération conditionnelle humanitaire » dans ce pays, Tawhedi a acheté des billets aller simple pour que sa femme et sa fille retournent en Afghanistan avant l’attaque prévue.

Nous, en revanche, avons été condamnés à prendre soin à vie de la femme et des cinq enfants de ce terroriste musulman afghan. Dans l’État de Washington, ils bénéficieront de tous les services sociaux possibles jusqu’à la fin des temps.

Supposons que la facture annuelle pour la famille Lakanwal se chiffre en millions. Si vous pensez que c’est exagéré, considérez le coût par détenu dans une prison fédérale, le coût d’un procès fédéral, le coût de Medicaid, de l’école publique, de l’aide sociale, des bons alimentaires, de l’aide aux réfugiés, du logement gratuit et de tout ce qu’ils peuvent nous soutirer.

Le chiffre de quelques millions par an est optimiste dans ce cas.

Il est également fait mention d’un parent non identifié qui s’adresse aux médias, il est donc fort probable qu’il existe un clan plus important de ces personnes ici.

« Eh bien, nous examinons cela en ce moment. Nous analysons toute la situation familiale », a déclaré le président Trump.

Je l’espère. Comme le dit la Bible : « Avez-vous tué et aussi hérité ? »

Les terroristes musulmans nous tuent et ensuite nous devons dépenser des millions pour nous occuper d’eux.

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