Dot interdite en France ? Les musulmanes la monnayent !
Quand l’islamisation de NOTRE culture française se sert d’un courant politique occidental -l’égalité entre femmes et hommes !- pour s’immiscer, voire même bouleverser les pratiques religieuses du mariage entre… musulmans !
Cela ne se passe évidemment pas en Afghanistan où les femmes sont considérées comme « demi-homme » en justice et non bénéficiaires de secours même urgents si les soins sont donnés par un médecin homme !
Non, cela se passe évidemment chez nous, en Occident et plus particulièrement en France !
NOS jeunes femmes musulmanes s’insurgent modérément et surtout la plupart du temps, des plus discrètement- du moins pour les plus en avance sur leur temps !
Mais en quel domaine s’insurgent-elles ? A propos de la dot de mariage pourtant abolie dans le droit français ! Mais que pèse, pour ces demoiselles, la loi de notre République Française, du moins tant qu’elle n’est pas débaptisée pour basculer en une merveilleuse « République slamique »?
Le Figaro de dimanche dernier a alerté : « C’est au niveau de la dot (…) qu’il y a une mode toute nouvelle et pas forcément en droite ligne des pensées de l’islam… » Une mode dont se servent les influenceurs et surtout influenceuses pour qui ce chapitre de la dot est primordial.
Sous son titre «15.000 euros, de l’or et 10% sur le salaire du futur mari» : entre «malaise identitaire» et «réislamisation», quand la dot obsède de jeunes musulmanes. » Le Figaro précise, sous la plume d’Étienne Jacob : « Cette pratique, qui échappe à toute régulation, fait l’objet de vifs débats en ligne, symbole d’une génération «déculturée», en proie à la «surenchère et la redécouverte islamique».
Et le Figaro donne l’exemple d’une influenceuse installée aux Etats-Unis mais qui a essentiellement pour fans des jeunes femmes françaises résidant en France : Ilmnour qui, sur TikTok, a plus de 220 000 fidèles, et dont, sur l’écran, le « niqab couvre la quasi-totalité de son visage ; on ne voit que ses yeux.»
Elle « a tissé un lien de confiance unique avec sa communauté. En plus de «formations business», elle distille des conseils à ses «sœurs» pour qu’elles soient de «bonnes femmes musulmanes», le tout «sans commettre de péchés ou sacrifier nos principes islamiques». »
Et quel est l’un de ses sujets favoris ?
Eh bien la dot ! Et bien que celle-ci –un cadeau offert par la famille de la fille à Monsieur- ait été effacée en 1965 du Code civil français, Ilmnour « revendique «le droit des femmes à avoir une dot convenable», car en islam, ce sont les hommes qui sont tenus de donner à leur future femme : «De l’argent, de l’or, un minimum de 1500 euros», conseille-t-elle. «Même en Algérie ou au Maroc ils sont capables de donner ça», déclare-t-elle, afin que les «hommes en France qui se plaignent aient un petit peu honte».
L’enquête du Figaro a permis d’apprendre que la dot qui est pourtant une « pratique non encadrée en France » « est un sujet de plus en plus souvent débattu sur les réseaux sociaux par les jeunes musulmans » !
« Quand certaines femmes réclament des sommes exorbitantes, des hommes s’insurgent de ces demandes élevées. » Alors que, comme le fait remarquer Étienne Jacob, la dot est le « Symbole pourtant d’une domination du mari sur son épouse (…) Montrant la volonté de certains de faire primer les valeurs islamiques sur celles de la République. » D’où un «malaise identitaire maghrébin et africain», estime Razika Adnani, philosophe et islamologue. Et celui-ci « déplore un «retour en arrière» qui «touche toutes les sociétés musulmanes et les musulmans».
Mais l’influenceuse Ilmnour, elle, n’en démord pas. Dans sa vidéo, elle poursuit : «Si tu es cultivée, as fait des études, maîtrise l’arabe littéraire, tu t’es préservée, tu es belle, il faut que tu choisisses une personne à ton même niveau. Même si tu demandes 5000 euros, tu auras des prétendants à tes pieds».
Sur les réseaux sociaux, la dot continue d’être présentée par ces influenceuses comme une manière de valoriser les futures mariées.
«Ce qu’elles oublient, c’est de rappeler que dans les paroles du prophète, la modestie doit primer», note la sociologue iranologue Amélie Chelly pour laquelle « ces vidéos participent aussi à un «phénomène de réislamisation» qui, s’il n’est pas récent, infiltre tous les pans de notre société » !
«Des influenceurs incitent leurs abonnés à effectuer des études en économie islamique, à opter pour la médecine coranique…», liste-t-elle. Le tout, dans un contexte où près de 30% des musulmans de moins de 35 ans se considèrent comme extrêmement ou très religieux, d’après un récent sondage Ifop analysé par Le Figaro… « alors que pour plus d’un musulman de moins de 25 ans sur deux, le respect des règles religieuses prime, au détriment de celles de la République » !!!
De ce fait, « la dot, inexistante en droit français, devient une voie naturelle pour ces jeunes, qui s’enferment chaque jour un peu plus dans leur endogamie», constate une source de renseignement qui évoque une «pratique rampante» !!!
Le Figaro (1) ajoute que, pour Amélie Chelly, cet «islam transnational», qui «flirte toujours avec l’islamisme», est aujourd’hui illustré par ces influenceurs (qui) ne parlent plus des quatre grandes écoles de l’islam (malikite, hanbalite, hanafite, chafiite), mais plutôt d’éléments précis de la vie de tous les jours (…) entre ce qui est «péché» ou ce qu’il faut invoquer auprès d’Allah (…) «Le contexte civilisationnel a disparu (…) Ces représentants de l’islam s’implantent dans des pans de la société qui sont anodins. Ils trouvent des points de compatibilité avant de s’asseoir en position de force. C’est là que l’islamisme fait, depuis bien longtemps, le hold-up de l’islam».
Y aura-t-il un jour à la tête de l’État français, un président et un gouvernement pour nous protéger de cette islamisation de NOTRE FRANCE ? Ou faudra-t-il, pour nous en protéger, un coup d’É…clat ???
Jacques MARTINEZ, journaliste,
à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…
-(1) L’enquête du Figaro publiée le 30 novembre :
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