
Macron ne cesse d’agiter la menace russe, totalement imaginaire, en mettant sciemment sous le tapis le risque de guerre civile. Les émeutes de 2005 et de 2023 montrent bien que tôt ou tard les cités surarmées s’embraseront sur tout le territoire et que nos forces de l’ordre auront bien du mal à y faire face.
Seule l’armée sera en mesure de mater un soulèvement armé de grande ampleur.
Dans La France des caïds (livre publié en 2020), Gérard Pandelon affirmait que « les délinquants ne craignent pas un affrontement armé avec les forces de l’ordre, car ils ont la certitude d’en sortir vainqueurs. » Kalachnikov contre pistolet, y a pas photo.
Une terrible réalité, conséquence de la lâcheté des dirigeants qui nient depuis des décennies l’échec de l’intégration et cachent l’existence d’une cinquième colonne qui rêve de régler ses comptes avec la République. Ce qu’annonçait Gérard Collomb, parfaitement renseigné, a été enterré.
« On vit côte à côte, je crains que demain, on ne vive face à face »
Macron a désarmé les Français en leur interdisant le droit de se défendre. Le port de tout élément d’autodéfense est désormais interdit, avec des peines lourdes : 5 ans de prison et 75 000 euros d’amende. Mais il s’est bien gardé de vider les caves des cités par peur des conséquences, vu qu’il a totalement perdu le contrôle de la situation. En attendant, les Français subissent 45 000 attaques au couteau par an.
https://www.laselectiondujour.com/banlieues-francaises-remplies-armes-guerre
Sur les 13 millions d’armes entassées dans nos banlieues, environ 7 millions sont illégales et n’ont rien de factice, comme voudraient le faire croire les immigrationnistes. Un chiffre en constante augmentation, puisque police et gendarmerie n’en saisissent que 6 à 7 000 par an.
En effet, les flux venus des Balkans et maintenant d’Ukraine sont intarissables.
En 2023, ce sont les narcotrafiquants qui ont gardé le contrôle de la situation et ont refusé d’ouvrir leur arsenal de guerre aux émeutiers. Il s’agissait en priorité de sauver le business et de ramener le calme.
Mais cet équilibre précaire ne durera pas tant la haine de la République et de la France est ancrée dans le cœur de milliers de jeunes immigrés. Et vous noterez que plus l’échec de l’intégration est flagrant, plus la menace d’un embrasement se précise et plus Macron ouvre les frontières, en battant tous les records d’admissions. Une véritable programmation de la destruction de la nation qui, malheureusement, ne rencontre aucune opposition. Les Français sont résignés comme les bourgeois de Calais et les élus se taisent.
L’argent de la drogue alimente le juteux trafic. « Entre l’achat d’une arme lourde par exemple à Sarajevo et la revente en France, le prix est multiplié entre 5 et 8 selon le ministère de l’Intérieur. »
Sur le darknet, la légendaire kalachnikov reste la reine incontestée du trafic.
À ce jour, les armes de guerre ne servent qu’aux règlements de compte entre narcos dans toutes les villes de France. Mais le jour où le mouvement insurrectionnel sera structuré et bien encadré, ce sera la guerre civile.
« Je ne crois pas à l’insurrection, car personne ne dirige ni ne coordonne ce mouvement. Mais si tel était le cas, la République s’effondrerait car nous n’aurions pas les forces suffisantes pour nous opposer à quelques centaines de milliers d’individus déterminés », explique le préfet Michel Auboin.
Discrètement l’armée s’y prépare, car elle sait parfaitement que c’est elle seule qui aura les moyens de rétablir la paix dans le pays. Une tragédie que Macron cache aux Français.
En conclusion, regardez cette courte vidéo
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Jacques Guillemain
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