Quand un enfant de 4 ans se comporte mal, agresse les autres enfants et que les parents veulent néanmoins l’imposer à la crèche et refusent d’entendre les plaintes, que faire ? Faut-il parler de sentiment de supériorité parce que le père est vice-consul du Sénégal et considère que nous sommes ses esclaves ?
Ben oui, On peut parler de djihad dans les parents n’entendent pas que leur enfant a une attitude inacceptable, dangereuse pour les autres et refusent d’agir, non ?
Cela ressemble furieusement à un acte de colonisation, de sentiment de supériorité raciale, non ?
Monique B
Depuis l’inscription du petit garçon en 2024, l’équipe observait un comportement jugé “réellement violent”, bien au-delà des disputes habituelles entre tout-petits. Chaises lancées sur une éducatrice, assiettes projetées au visage du personnel, crises répétées…
Face à la persistance des violences, la direction a annoncé la suspension temporaire de l’enfant, espérant provoquer une réaction constructive. C’est l’inverse qui s’est produit. La mère est venue faire un scandale dans l’école, et le père a accusé la directrice de racisme, affirmant qu’on voulait exclure “le seul enfant noir de la crèche”. Il aurait aussi assuré être vice-consul et “avoir le bras long”.
Le couple refusant de quitter les lieux, la police a dû intervenir. La PMI a ensuite conseillé un signalement à la CRIP, tandis que la directrice, en arrêt de travail, déposait plainte pour menaces contre personne chargée d’une mission de service public. Protégé par l’immunité diplomatique, le diplomate ne devrait pas être inquiété judiciairement. Mais il devra désormais trouver une autre crèche prête à accueillir son enfant.
Furibond après l’exclusion de son fils, un diplomate du consulat du Sénégal aurait menacé la directrice d’une crèche du 9e arrondissement de Marseille. Elle a déposé plainte.
Le motif de cette exclusion, mesure peu commune dans un établissement dont les usagers ont moins de 4 ans ? Le comportement violent du petit dernier du vice-consul du Sénégal dès les premiers mois de son inscription, en 2024, aux Petits Cotons, une crèche de 20 berceaux nichée dans les quartiers sud de Marseille.
Selon la plaignante, le comportement du garçonnet aurait motivé plusieurs entretiens avec les parents, afin de les sensibiliser aux agissements inquiétants de l’enfant. Mais en dépit de ces alertes, les parents auraient refusé toute prise en charge psychologi…
Merci à Pytheas
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