
►L’attaque au couteau en Espagne motivée par le désir de tuer des chrétiens…
« Mohammed », le musulman de 18 ans d’origine marocaine avait confié à sa mère vouloir « tuer des chrétiens » avant de s’en prendre à plusieurs personnes dans la capitale espagnole.
Un suspect âgé de 18 ans, de nationalité espagnole et d’origine marocaine, se trouve actuellement hospitalisé sous surveillance policière après avoir poignardé trois personnes samedi après-midi à Madrid.
L’individu a été neutralisé par les forces de l’ordre après avoir crié « Allahu Akbar » et résisté violemment à son interpellation.
Selon le quotidien espagnol El Español, le suspect avait déclaré à sa mère que sa mission était de « tuer des chrétiens » et qu’il devait « se purifier ». Les enquêteurs examinent également la possibilité qu’il ait consommé du Captagon, une drogue de synthèse connue pour avoir été utilisée par les combattants de Daech en Syrie.
L’incident a débuté vers 14 heures dans le quartier de Puente de Vallecas, où trois personnes, dont une femme âgée, ont été poignardées. Quelques heures plus tard, le frère du suspect a alerté la police que ce dernier s’était retranché à son domicile, armé d’un grand couteau et se comportant de manière très agressive.
Les forces spéciales antiterroristes ont rapidement encerclé le logement. Lors de son interpellation, le djihadiste, identifié uniquement par son prénom Mohammed, avait récité des versets du Coran tout en tentant d’attaquer les policiers avec son arme.
Le siège s’est terminé vers 16h30 lorsque les agents ont dû faire usage de leur arme après l’échec des pistolets à impulsion électrique. Le suspect a été atteint de quatre balles, dont une a perforé son poumon et une autre a touché son rein. Il est actuellement hospitalisé à l’hôpital Gregorio Marañón de Madrid.
Un juge du tribunal pénal central espagnol a ouvert une enquête sur ces incidents pour suspicion de crimes terroristes islamistes. Le syndicat de police JUPOL a défendu l’intervention de ses collègues, qualifiant leur réponse d’« absolument proportionnée » face à un jeune homme radicalisé ayant attaqué trois autres personnes.
Toutefois, l’enquête révèle que le suspect était sous l’influence de drogues au moment des faits. Plusieurs voisins interrogés par les médias espagnols estiment que sa consommation de stupéfiants est à l’origine de son comportement et écartent l’hypothèse d’un extrémisme islamiste.
Les trois victimes de coups de couteau ont reçu des soins médicaux, mais aucune de leurs blessures n’a été décrite comme mettant leur vie en danger.
►Les médias de gauche qui prétendent que le port du niqab est un « choix » auraient dû voir mon père battre ma mère parce qu’elle le refusait…

Le niqab n’est pas un choix : le témoignage poignant d’une femme pakistanaise
Une journaliste dénonce la complaisance des gauchistes face à l’oppression des femmes en islam.
Khadija Khan, rédactrice en chef Politique et Culture du magazine A Further Inquiry, livre un témoignage personnel bouleversant qui remet en question le discours dominant sur le port du voile intégral.
Un souvenir traumatisant
Pour Khadija Khan, affirmer que porter le niqab relève d’un choix personnel est un mensonge. Elle en a fait l’expérience directe dans son enfance au Pakistan, où elle a vu sa mère payer le prix de son courage pour avoir refusé d’imposer le voile à ses filles.
L’incident marquant s’est produit lorsqu’elle avait 15 ans. Son père, conservateur religieux, leur a offert de magnifiques hijabs colorés, qu’elle et sa sœur ont portés avec plaisir pendant deux jours. Mais lorsqu’elle a voulu changer de tenue le troisième jour, son père a explosé de colère : « Tu n’as pas le choix ! Maintenant que tu as commencé, tu dois toujours le porter ! »
La violence comme moyen de contrôle
Le pire était à venir. Lorsque leur mère a arraché le hijab de la tête de sa fille en déclarant « Je n’ai pas donné naissance à des esclaves », le père a réagi par la violence physique. Khadija Khan se souvient avec horreur de son père frappant sa mère pour la punir de sa désobéissance.
Face à la résistance de son épouse, le père a ensuite exercé une violence économique, lui retirant tout accès à l’argent pour l’empêcher d’acheter des vêtements et des produits de première nécessité. Le message était limpide : en tant que femme au foyer, elle devait obéir ou en subir les conséquences.
Une critique de la gauche occidentale
Khadija Khan s’insurge contre ce qu’elle perçoit comme la complaisance de la gauche britannique face à cette forme d’oppression. Selon elle, refuser de critiquer le burqa revient à tolérer la maltraitance des femmes. Elle dénonce le paradoxe de féministes qui, après avoir combattu pendant des décennies l’idée que les femmes doivent s’habiller pour plaire aux hommes, acceptent désormais cette contrainte au nom du respect culturel.
La journaliste rappelle que lorsque des hommes imposent aux femmes leur manière de s’habiller « modestement », il s’agit d’une forme d’abus commise au vu et au su de tous. Elle estime que la société a l’obligation d’empêcher cette coercition plutôt que de l’excuser.

Khadija Khan
Des conséquences au-delà du tissu
Khadija Khan établit un lien entre le port du burqa et une vision dégradante de la femme. Selon elle, ce vêtement proclame que l’existence même des femmes est pécheresse et encourage certains hommes musulmans à considérer les femmes d’autres cultures comme sexuellement disponibles.
Elle évoque les préjugés qu’on lui inculquait au Pakistan, où on lui répétait que les femmes blanches en Europe étaient essentiellement des prostituées parce qu’elles s’habillaient « sans modestie ». Ces attitudes auraient, selon elle, contribué aux agressions systématiques de jeunes filles dans des villes britanniques comme Rotherham et Bradford.
Des précédents historiques
Pour Khadija Khan, l’interdiction du burqa s’inscrirait dans la continuité d’autres combats menés par la Grande-Bretagne contre des pratiques culturelles oppressives. Elle cite l’interdiction des mutilations génitales féminines en 1985 et l’abolition du suttee (l’immolation des veuves hindoues) à l’époque victorienne.
Un appel au courage
Khadija Khan conclut en appelant à suivre l’exemple de la sénatrice australienne Pauline Hanson, qui a porté un burqa au parlement pour protester contre son rejet d’un projet de loi visant à interdire ce vêtement. Malgré sa suspension d’une semaine et les accusations de racisme, Khadija Khan y voit un acte de courage nécessaire.
« Ma mère l’a fait », affirme-t-elle en référence à la résistance de sa mère face à l’oppression. « Et je suis déterminée à suivre son exemple. »
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