De la vanité de vouloir faire des « violences faites aux femmes » un combat politique…

La gauche LFI, mariage de la carpe et du lapin, de la femme ou de l’homosexuel avec la tolérance extrême pour l’islamisme le moins rigolo, veut faire de la lutte contre les violences faites aux femmes un combat politique.

Dans la continuité de Schiappa, l’une des amuseuses du premier quinquennat avec, souvenez-vous, Sibeth et autres recrues chargées de faire diversion, la Macronie emboîte le pas à ce combat « de gauche »:  il faut faire en sorte que les femmes se prennent moins de torgnoles. La lutte contre les violences sexistes et sexuelles devient une priorité du quinquennat.

Cependant, toute relation entre une certaine civilisation qui fait de la femme une inférieure sur le plan juridique et le manque de considération pour les femmes est prohibée dans ce discours politique.

De plus, alors que l’égalité femmes – hommes devient une obsession au point de fixer des quotas lors de certains recrutements, lors des élections professionnelles ou politiques, avec de gros soucis de gestion de ces scrutins quand un des candidats vient à ne finalement pas pouvoir se présenter (il faut absolument trouver à le remplacer par une personne de son sexe très rapidement…), le discours de la gauche reste axé sur la femme victime.

L’homme victime de violences conjugales est rendu invisible. Il semble vrai qu’en réalité, dans la plupart des cas, les femmes sont victimes plutôt que les hommes. Mais dans le discours progressif de gauche, on n’est même plus censé avoir de sexe. Depuis quelques années, l’administration n’a théoriquement plus le droit de vous appeler « Monsieur » ou « Madame » car ces termes sont censés être offensants, pour le cas où vous ne seriez pas cisgenre, c’est-à-dire ne vous sentiriez pas en adéquation, en harmonie avec votre sexe officiel.

Se voir appeler « Monsieur » ou « Madame » est considéré comme offensant ; désormais, dans le langage administratif, vous devez vous appeler « Bonjour ».

Donc la France n’est plus peuplée d’hommes et de femmes mais de « Bonjour », les « Bonjour » sont des individus de sexe indéterminé et interchangeable… sauf quand il s’agit de se prendre une mandale !

La gauche organise des rassemblements pour protester contre les violences faites aux femmes, de la même manière qu’elle en fait pour exprimer sa haine d’Israël.

C’était le cas ce dimanche 25 novembre un peu partout en France, à Mende en Lozère par exemple…

https://www.midilibre.fr/2025/11/25/un-rassemblement-feministe-organise-pour-les-victimes-du-patriarcat-13073303.php

La gauche issue du mariage de la carpe et du lapin prétend ainsi lutter contre le « patriarcat », qui est pourtant le modèle de société en vigueur dans les pays de charia !

C’est bien au nom du patriarcat que les femmes vivant dans les pays musulman doivent complaire à leurs pères et maris, porter le voile, obéir sous peine d’avoir un châtiment corporel.
Merveilleuse liberté de la femme en pays de charia, qui sera lapidée si elle s’éprend d’un « Jules » alors qu’elle est mariée.

L’adultère de la femme est plus sévèrement puni que celui du l’homme en pays musulman relevant de la charia…

Et c’est donc la gauche pro-palestinienne, comme évidemment l’intégralité des pays de l’OCI (organisation de coopération islamiste), qui vient prétendre nous donner des leçons dans ce domaine ?

Bien évidemment, on ne peut que regretter terriblement que des femmes subissent les coups de leurs conjoints en France, que certaines en meurent.
Cependant, jamais les possibilités de se séparer rapidement n’ont été aussi nombreuses, et les Françaises ne se privent pas d’y recourir.

Les unions matrimoniales sont les plus souples qu’on ait jamais connues : le concubinage ne suscite plus aucune opprobre sociale. On peut vivre toute sa vie avec qui on veut sans être marié, sans avoir d’enfant ensemble…

On peut se « pacser » ou se « dépacser » par simple déclaration en mairie… Un partenaire peut rompre un « pacs » sans préavis, sans contrainte particulière. C’est même gratuit, et ça l’a toujours été. Si cette personne est éligible à l’aide juridictionnelle, elle ne paie aucun frais sur le partage des biens suite à rupture de PACS.

Quand au mariage, il n’a plus la même solidité juridique qu’à l’époque où il était indissoluble puis l’époque où il fallait simuler une faute pour se séparer à l’amiable.

Le mariage peut être rompu très librement également depuis la réforme, intervenue il y a 20 ans, qui permet de divorcer pour une simple « altération du lien conjugal ». Il n’est plus nécessaire de passer devant un juge, une convention contresignée par avocat suffit à divorcer en ayant déjà chacun son domicile.

Puisqu’il n’y a plus de verrou juridique, il n’y a plus de patriarcat et chaque conjoint peut quitter l’autre quand cela lui convient. Ainsi, la moitié des mariages finissent en divorce.

Reste la question de l’argent : sans revenu, difficile de se loger. Choisir de vivre aux crochets de son mari, c’est prendre le risque de ne pas pouvoir se séparer aisément. A chacun et à chacune de faire le nécessaire pour éviter ce risque : travailler, c’est s’assurer une indépendance. Le statut de parent isolé permet ensuite d’avoir droit à tout un tas d’aides qui permettent de prendre un nouveau départ pour la femme qui aurait quitté le foyer conjugal et qui, comme la justice le lui permet quasiment tout le temps, aura la garde de ses enfants.

Bref, tout ceci relève finalement d’affaires privées et de la façon dont chacun, comme un grand, gère ses affaires et organise sa vie !

Alors, à quoi rime tout ce cirque politique de la gauche NUPES et de la Macronie ?

Cela relève d’une compensation psychanalytique de la part de ces gens-là : exorciser leur compromission avec les régimes islamistes de charia !

Tout ce blabla autour des violences conjugales, un problème certes qui intéresse les pouvoirs publics car cela relève de l’action et la répression pénales, est vain car ces violences trouvent leur source dans la sphère privée et les choix de vie de chacun.

Mon ami en tant que médecin est spécialisé dans ces questions de prise en charge de victimes de violences conjugales. Je l’ai questionné, l’air de rien, sur le sujet et malheureusement, la plupart des victimes sont des femmes ayant une attirance pour les hommes violents.

Certaines femmes ne trouvent une virilité à la hauteur de leurs attentes que chez des « machistes » qui les brutalisent dans les relations quotidiennes, qui leur parlent mal, qui physiquement sont à la limite de la violence et parfois, il y a des débordements. Cette brutalité est pour elles une forme de force qui leur plaît car elle leur montre en permanence la capacité de leur conjoint à les dominer.

Vous ne pourrez jamais contraindre une femme à ne pas chercher ce genre de profil.
Ces femmes s’ennuieraient terriblement avec un homme aux petits oignons pour sa « douce » et qui les traiterait normalement voire les cajolerait en permanence.

On ne pourra jamais empêcher que des femmes cherchent des hommes ayant ce profil « limite » en termes de respect, c’est la nature humaine.

Dans le lot des victimes de violences, il peut bien sûr y avoir des personnes qui se sont fait piéger et qui ne pensaient pas tomber entre les mains de pareils individus. Mais là encore à notre époque personne n’est obligé d’emménager avec tel homme sans le connaître suffisamment et personne n’est non plus contraint de vivre toute sa vie avec.

Donc ce prétendu combat de la gauche ne sert à rien d’autre qu’à exorciser les démons de cette gauche hantée par son mariage de la carpe et du lapin, même s’il est repris par la Macronie qui cherche à se donner bonne conscience également avec des causes perdues qui ne mènent à rien. La Macronie nous fait subir les pires saloperies et a besoin de s’entourer de causes perdues ou inutiles pour redorer son image, mais tout cela n’est que communication.

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