Coup de chapeau au sénateur australien Pauline Hanson qui se déguise avec une burqa

Bravo à la provocation de ce courageux sénateur qui,  par son accoutrement dénonce l’avancée inexorable de cette immonde secte qui veut s’étendre partout pour promouvoir sa « culture » qui relève de  Thanatos !

Raciste », « doigt d’honneur »… En Australie ce sénateur d’extrême-droite  est arrivé vêtu  d’une burqa au Parlement.

Membre du parti anti-immigration One Nation Pauline Hanson s’est présentée au Parlement, vêtue d’une burqa noire. La séance a été suspendue

Pauline Hanson, sénatrice d’extrême droite, était déjà venue siéger au Parlement vêtue d’une burqa en 2017.  - Jed Cooper/AP/SIPA

20 Minutes avec AFP

Publié le 24/11/2025 à 11h41 • Mis à jour le 24/11/2025 à 11h41

Le geste a fait bondir les parlementaires australiens. Lundi, le sénateur d’extrême-droite Pauline Hanson est arrivé au Sénat habillée d’une burqa noire, quelques minutes après avoir été empêchée de présenter une loi interdisant le port de ce voile intégral en Australie.

La séance a été suspendue, le sénateur refusant d’enlever sa burqa et de quitter les lieux.

« Doigt d’honneur »

La ministre des Affaires étrangères, Penny Wong, a qualifié ce geste d’« irrespectueux ». « Nous représentons dans nos États des personnes de toutes confessions et de toutes origines. Et nous devons le faire dignement », a-t-elle déclaré. Ce geste est un « doigt d’honneur aux personnes croyantes », a également dénoncé Larissa Waters, chef du parti Australian Greens (gauche) au Sénat. « C’est extrêmement raciste et dangereux », a-t-elle ajouté.

Ce n’est pas le premier coup d’éclat de Pauline Hanson, membre du parti anti-immigration One Nation, qui dispose de quatre sièges au Parlement. En 2017, elle avait déjà revêtu ce voile intégral au Sénat pour souligner ce qu’elle considérait comme des problèmes de sécurité posés par le vêtement porté par des femmes musulmanes, qu’elle associait au terrorisme.

Plus généralement, le sénateur décrit l’islam comme « une culture et une idéologie incompatibles avec les nôtres ». Son parti d’extrême droite gagne en popularité, atteignant 18 % d’opinions positives, selon un sondage du Australian Financial Review paru en novembre.

Ce sénateur  a bien raison : le salut viendra-t-il de certaines femmes courageuses ?

Diogène

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