
C’est fait. Après avoir travaillé d’arrache-pied, nuit et jour depuis des mois, la Convention citoyenne CESE vient d’accoucher dans la douleur, pour le pire des avenirs de nos enfants et de la civilisation. Dès que j’entends le mot « citoyen » en 2025 je sors mon revolver. Le revolver préféré de Jean-Paul, Sartre, mon stylo. En l’occurrence mon ordinateur, les temps ont changé, par contre les cons et les salauds, eux, n’ont pas disparu de la circulation.
Voilà que des gens qui s’emmerdent dans la vie et ont compris qu’il n’y avait pas mieux à faire que d’emmerder aussi – pas de jaloux- le reste de la population pour se sentir exister nous sortent leur projet pour l’enfant, donc pour l’école...
Des envies de meurtre, voilà ce qu’ils suscitent chez moi. Je subodore que ceux qui se sont portés volontaires -ou qu’ON est allés chercher pour qu’ils le soient, sachant bien à quelles propositions on voulait arriver- sont en majorité de vieux hippies, des adeptes de la Rousseau et de tous les dégénérés, ceux qui voudraient qu’entre 2 joints, 2 cafards grillés et une rééducation sexuelle des femmes trop soumises on fît de nos gosses des petits animaux avides de jouir et de s’évader dans des enfers artificiels.
J’ai la preuve de ce que j’avance : les passages que j’ai soulignés en vert (couleur de la désespérance en notre pays en 2025, écolos-dingos et islam entre autres) :
Quel modèle de société pour le bien-être des enfants ?Les citoyennes et les citoyens fondent leurs propositions sur plusieurs principes qu’ils estiment prioritaires :
- Protéger les enfants de toute forme de violence et prendre en charge les enfants auteurs de violence et de harcèlement, (les victimes peuvent crever, c’est déjà le cas, les profs sont priés de passer des heures à discuter avec les harceleurs au lieu de leur botter le derrière et de les foutre à la porte
- Prendre en compte les besoins spécifiques des enfants et renforcer partout l’inclusion, (mot magique, beurk beurk))
- Faire de la santé physique et mentale une priorité,
- Réduire les inégalités sociales et territoriales,
- Investir dans l’enfance et penser sur le long terme les politiques publiques éducatives,
- Revaloriser tous les métiers de l’éducation, (Qui c’est qui paye à l’heure où l’on manque de personnel médical )
- Réduire les effectifs des classes. (ben voyons. Etrange, pas de proposition pour renvoyer chez eux les jeunes migrants non accompagnes qui mobilisent temps, argent, classes et compliquent l’apprentissages des autres ? )
Que vous dire ? Chronique d’une mort annoncée. La mort de la civilisation, de la découverte, de l’invention… Jouir d’abord, de tous les moyens possibles. Retour à 1968 en bien pire, car, en 1968 on visait la progression sociale, les ouvriers voulaient que leur fils soit prof ou docteur… Maintenant ces objectifs participant à l’exploitation de l’homme par l’homme sont honnis. Le but est de fumer son joint tranquillement, pris complètement en charge par… par qui d’ailleurs si plus personne ne bosse ? Des robots, produits de l’IA ou de la Macronie et ses semblables ?

Voici la journée idéale d’un gosse allant à l’école selon les membres de la commission CESE (elle nous coûte combien cette commission ? Combien ont touché ces bons apôtres du « ne rien faire » pour se prendre pour Aldous Huxley ?
-Pas de cours avant 9 h du matin, les pauvres petits choux, fatigués par leur coucher tardif, consultation de YouTube oblige ne doivent plus commencer les cours avant 9H. Vous avez bien lu, pas avant 9H.
« Ces temps sont construits autour des contraintes des adultes et sont inadaptés au fonctionnement physique, psychique et cognitif des enfants. Les temps libres « non contraints » se raréfient pour les enfants qui sont soumis à un rythme soutenu qui valorise la productivité. » Quand je vous parle de 1968 vous commencez à comprendre ?
Objection, votre honneur, moi je pars travailler à 7H30 et je dépose les enfants à la garderie de l’école. VERBOTEN bourreau d’enfant. Tu te démerdes tu gères avec ton patron, il n’a qu’à ouvrir son magasin ou envoyer son plombier qu’après 9 h. un pays dynamique calque son rythme de production sur le rythme de ses enfants, ça se voit partout dans le monde, n’est-il pas.?
-Pas de cours l’après-midi. L’après-midi c’est sport, danse, mots croisés, échecs si petit chéri est assez en forme pour se concentrer. et cuisine pour les plus éveillés.
Objection, votre honneur. Comment on fait avaler la quintessence de plus de 2000 ans de découvertes scientifiques, médicales, d’oeuvres d’art en ne travaillant que 3 h par jour ? Imbécile ! Tes gosses n’ont pas besoin de connaître Archimède pour apprendre à nager, quant à Newton, Einstein et autres Phidias… plus besoin de trouver et inventer, on a tout ce qu’il nous faut, non, pour vivre en esclave consommateur ?
Allez, un dernier trait pour la route, je n’ajouterai rien j’aurais peur de casser mon ordi d’un coup de colère. Ce serait dommage, je prévois qu’il va encore devoir servir au cours des mois à venir…
Commencer tard, à 9 h, prendre une heure 30 pour manger dans des cantines bondées où on essaye de faire 3 services en une heure, faire les devoirs à l’école sans l’aide de parents, (ce qui accroissait les inégalités, n’est-ce pas), sur le temps déjà plus que réduit des cours (il suffit de supprimer des matières et des heures de cours, n’est-il pas ? ), ne pas découvrir Molière ou La Joconde, remplacés par des cours de cuisine et l’apprentissage du débouchage de chiottes, et in fine, glissé discrètement au milieu d’une liste à la Prévert, le but ultime : arracher à la famille l’éducation des enfants. Où la réalisation de la réforme de Macron limitant ou plutôt interdisant l’école à la maison.
Inscrire les établissements scolaires au sein de « campus des jeunes », qui sont des lieux de vie polyvalents et flexibles, intégrant espaces verts et équipements variés. Ils permettent d’accueillir et d’accompagner l’enfant dans tous les moments de sa vie : restauration, pause, temps calmes, temps de jeux, activités et apprentissages, sociabilité, devoirs ou encore les temps dédiés à l’orientation ou à la prise en charge de la santé de l’enfant,
Bref, il est évident qu’ils préparent des établissements remplaçant la vie en famille la vie à la maison, à la manière des lycées du XIXème siècle d’où l’on ne sortait que le dimanche et pour les grandes vacances… C’est le Meilleur des mondes, afin que l’on fasse disparaître l’empreinte et le rôle de la famille, afin de former l’homme futur, sans racines, sans pays, sans famille, parfait robot aux ordres des dictateurs mondiaux…
- Alléger les journées en décalant l’heure de début des cours à 9h pour les adolescents,
- Améliorer la qualité de la pause méridienne et l’allonger à une durée d’1h30,
- Faire majoritairement les devoirs à l’école dans des espaces aménagés,
- Passer à une semaine d’enseignements sur cinq jours, du lundi au vendredi,
- Etablir un socle commun d’apprentissages élargi qui articule savoirs théoriques le matin et pratiques l’après-midi (pédagogie de projet, ateliers portant sur la vie quotidienne, bricolage, cuisine, couture, gestion du budget, éducation à la citoyenneté, activités culturelles et sportives),
- Réviser le calendrier scolaire en deux zones de vacances, avec un rythme plus équilibré de 7 semaines de cours pour 2 semaines de repos,
- Inscrire les établissements scolaires au sein de « campus des jeunes », qui sont des lieux de vie polyvalents et flexibles, intégrant espaces verts et équipements variés. Ils permettent d’accueillir et d’accompagner l’enfant dans tous les moments de sa vie : restauration, pause, temps calmes, temps de jeux, activités et apprentissages, sociabilité, devoirs ou encore les temps dédiés à l’orientation ou à la prise en charge de la santé de l’enfant,
- Ouvrir les espaces et équipements des établissements scolaires, à l’exception des salles de classe, à travers un accord cadre de mutualisation des locaux.
Continuez de voter pour nos fossoyeurs, la société de demain est sous vos yeux. C’est à vous de réagir et de cesser de voter pour les salopards.
1,179 total views, 243 views today

Personnellement, je ne suis pas contre… Forcer de jeunes enfants à se réveiller dés cinq ou six heures du matin, puis à avaler à toute vitesse leur petit-déjeuner, pour se retrouver à l’école dés 8 heures du matin, n’a rien de favorable pour leur santé et leur équilibre psychique! Si les cours doivent commencer à 9 heures, que l’on fasse en sorte de leur enseigner de VRAIS SAVOIRS, qui leur seront utiles à la fin de leurs études!…
Si » Rien foutre al pays « est la nouvelle régle il faut cependant : » penser sur le long terme les politiques publiques éducatives » c’est à dire enseigner notre Histoire ,morale,notre civilisation.
Propos amplifié par l’ancienne ministre Sarah El Haïry… Mais si celle qui fustigeant les contradicteurs en exprimant qu’il ne fallait pas leur jeter l’eau propre… Un âne à thème certainement !!
Des citoyens tirés au hasard…. C’est tout dire ! Combien d’acculturés, de naturalisés récents parmi eux, ne maîtrisant pas notre langue ni nos lois ? Surtout combien en mesure de se remettre en question, de réfléchir ? Nos enfants sont déjà trop instruits selon eux… Pour ma part, usagère du bus, je râle de voir s’engouffrer régulièrement dans nos bus déjà bondés, des « classes vertes »… Au lieu d’apprendre l’orthographe et les maths, les chers petits sont promenés à la campagne au moins une fois par semaine en période scolaire, par tous les temps ! Et accompagnés par les parents, qui sont donc d’accord avec cette pédagogie à l’envers, y compris par des mères voilées…
j’ai entendu un recrute dire qu’il fallait 45mn de cours car une heure c’est trop long quand on sait qu’il faut dans certaine classe 20 mn de discipline chapeau au prof qui finira son programme avec 25 mn de cours
« Convention citoyenne » : je n’aime ni le mot « convention », qui me rappelle les excès commis par les coupeurs de tête de la Révolution, ni le mot « citoyen » qui me rappelle le commissaire politique décrit dans « La Vingt-cinquième heure » de Virgil Gheorghiu. Cette fumeuse « convention citoyenne » n’a qu’un but : formater les gosses dans la doxa dominante, derrière l’alibi facile de leur bien-être (l’enfer est pavé de bonnes intentions…)
la convention citoyenne : ultime supercherie du gauchisme qui fait croire à la libre parole et décision de citoyens lambdas, alors que cette mascarade est entièrement guidée par des suppôts de la bien pensance sur tous les sujets abordés- par ailleurs il y a longtemps que le CESE, ce machin inutile et couteux, devrait être supprimé
Je ne peux que me sentir en accord avec ce terrible constat. Le nivellement vers le bas (programmé sciemment depuis des décennies) avec ses petits accommodements raisonnables, le tout renforcé par l’idéologie wokiste en plus d’infantiliser à longueur de temps les familles en les dépossédant de leur rôle éducatif et de leur droit de veto; est plus que révélateur.. 😔
N’oubliez pas que d’après le talmud, nous les goys sommes des animaux à apparence humaine ! la messe est dite !!!!!!
Non la messe n’est pas dite le Talmud ne représente rien et en tout cas ni les lois de Moïse ni les 10 commandements, le reste n’est que arrangement ponctuel de lois orales pour répondre à des situations particulières..
J’envoie mes gosses en Russie.
Il y a longtemps que je ne vote pas pour ces salopards , méééé ils s’accrochent, ils trichent, ils magouilles, ils promettent tout et son contraire en sachant très bien que rien ne sera tenu, ils diabolisent les autres parti et malheureusement ils sont toujours là. Les français sont des veaux et le réveil est long.
A l’heure où l’état cherche du pognon partout, le CESE bénéficie d’un budget de 34,4 millions d’€. Ne serait-il pas judicieux de dissoudre cette agence qui fait « triplon » avec 3 ministères ?
Une génération de couilles molles s’annonce.
Non Argo, je ne crois pas qu’elle s’annonce, je pense que ça fait un bon bout de temps que cette génération s’est déjà implantée chez nous … et je me demande si nous arriverons à nous en débarrasser un jour !
Génération de couille molle (au singulier car je doute qu’ils en aient deux) pour remplacer la précédente…
Depuis 50 ans quels sont les faits d’armes ou de résistance des générations précédentes… Dans 2 heures je ramasse les copies.
A mon époque, c’était la rentrée à l’école à 8h pour finir à 11H, reprise à 13h30 pour finir à 16H30 du lundi au samedi avec jeudi repos. Nous n’avions pas des fêtes de printemps et d’hiver mais des fêtes qui correspondaient à nos Saints, à Noël et à nos morts pour la France. En classe nous étions 53! Les grandes vacances étaient de 3 mois, de Juillet à fin septembre.
Pour nous, c’était la belle vie et nous nous en portons encore au mieux aujourd’hui !
J’ai toujours entendu dire qu’il faut diviser pour régner. Les abrutis qui nous gouvernent maintenant font ce qu’il faut pour régner mais vont trop loin en cassant le Pays !
et les colles….le samedi après-midi !!!
» et les colles….le samedi après-midi !!! » 🤭
« 53 gamins en classe »?!!! Waouuuw! Chapeau au maître ou à la maîtresse! C’était en quelle année? Je ne me moque pas, c’est juste que je ne suis pas Française mais que j’aime apprendre. 🙏😉 –> En vous lisant, j’ai l’impression de revisionner dans ma tête un de ces magnifiques vieux films ou romans français en noir et blanc (que j’adore!).
Ma mère née en 1930 allait à l’école dans une classe unique avec tous les niveaux du CP à la préparation du certificat d’étude, plus de 60 élèves avec tous les niveaux et un seul instituteur. Mais il faut dire que l’instituteur avait tous les droits et tapait dur au point de faire saigner les gosses des oreilles, les torturait en les obligeait à rester à genoux pendant des heures avec des kilos de livres sur les mains à côté du bureau. Il ne faut pas oublier les conditions nécessaires pour tenir des dizaines de gosses avec un seul homme
Bonjour,
A mon avis, le bon équilibre a été trouvé dans les écoles et les lycées, dans les années 60-70 : ce que tu as connu, toi aussi.
Fermeté extrême sans « barbarie » inutile.
Cet équilibre a été rompu, à partir des années 80, dans beaucoup d’établissements, pas tous, heureusement !
» années 60 – 70: Fermeté extrême sans « barbarie » inutile. » –> 👏 !
Au CM1, dans une école de banlieue, l’institutrice, une femme âgée genre camionneur ou catcheuse, était une forte femme qui vous collait une fessée cul nu avec une règle en alu. Elle terrorisait littéralement les élèves. Le directeur était aussi un vrai tortionnaire : je me souviens qu’il m’avait obligé à bouffer du poisson à la cantine sous la menace, poisson un peu avarié sur les bords. Je lui ai tout dégueulé sur ses chaussures en daim neuves. Après cet épisode, il m’a fichu la paix. Je me souviens encore du nom de l’institutrice. Bon, je n’ai jamais dû montrer mon postérieur, j’étais le premier de la classe. Son chouchou sans le vouloir. Les mauvais élèves et les fessés me détestaient. Bons souvenirs de cette époque, malgré la morue.
🥹 Terrible et poignant témoignage Argo.. Loin de l’univers de Marcel Pagnol et de son père Joseph.