
Oups ! ça coince !
Suivant son GPS sans comprendre la signalétique française, un camion à semi-remorque se trouve coincé dans une vieille rue du centre-ville d’Angoulême, plus exactement : sur le parvis de la cathédrale.
Ah, quel bonheur de pouvoir librement circuler, livrer depuis les pays du tiers-monde européen à moindre frais, au détriment des entreprises françaises et locales.
On arrive à des situations absurdes du quotidien qui sont le miroir de l’absurdité de la bureaucratie européenne.
Un incident purement matériel nous dira-t-on.
Pas si sûr… Il reflète bien le non sens de notre ère.
Le gars suit bêtement son GPS qui calcule bêtement la distance la plus courte et comme il n’est pas en mesure de comprendre nos panneaux routiers, rien ne lui met la puce à l’oreille.
Cela ne serait pas arrivé à Philippe le Routier, que les anciens habitués du bistrot pouvaient lire avec grand plaisir il y a une petite dizaine d’années.
Accessoirement, cette situation révèle aussi l’absurdité de tous les aménagements urbains destinés à compliquer la circulation routière en vue de la ralentir. A force d’encombrer la circulation volontairement, on cause des incidents, voire des accidents routiers !
Piégé par son GPS, un poids lourd planté dans les nouveaux aménagements de la cathédrale à Angoulême : grosse galère ce jeudi soir
Jeudi soir, un camion s’est retrouvé sur le rempart du Midi. Il s’est retrouvé bloqué au niveau du parvis de la cathédrale. Après une mobilisation de plusieurs services de la mairie, il a été libéré.
Un poids lourd pris dans le sac de nœuds du nouvel aménagement du parvis de la cathédrale, emprisonné par des jardinières. Jeudi, vers 20h, un camion s’est immobilisé, coincé dans les nouveaux aménagements de la cathédrale, à Angoulême. Mais une question principale : comment un tel engin a pu se retrouver empêtré dans une telle galère. Quelques minutes plus tôt, selon plusieurs témoins, sa galère avait commencé place des Halles.
Visiblement mal orienté par son GPS, le semi-remorque, immatriculé en Roumanie, est arrivé du rempart du Midi avant de se retrouver au niveau du parvis de la cathédrale. Ici, les choses se sont corsées. Le conducteur a tenté une manœuvre, mais n’a pas pu éviter les premiers blocs décoratifs, installés en septembre. Sur le devant, il était tout proche d’emporter une corniche. (…)
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