
| 1924 Massacre d’Hindous à Kohat: Kohat était une petite ville de province à la Frontière-du-Nord-Ouest où les Hindous représentaient moins de 5 % de la population. Jusqu’à 150 Hindous furent tués. Toute la population hindoue dut se réfugier à Rawalpindi, à 320 km de là. Gandhi jeûna pendant 21 jours, impuissant à « réconcilier » les deux communautés. Lorsque Mahadev Desai lui demanda la raison de ce jeûne, il répondit : « On pourrait m’accuser de trahison envers les Hindous. Les femmes hindoues vivent dans la terreur des voyous musulmans. Comment puis-je demander aux Hindous de tout supporter patiemment ? » Puis il ajouta : « Qui m’écoute ? Et pourtant, aujourd’hui encore, je demande aux Hindous de mourir plutôt que de tuer. »
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Histoire tragique de la Partition de l’Inde
Voici les points saillants des événements qui ont précédé et ont fini par conduire à la tragédie de la Partition de l’Inde en 1947.
1703-1762: Peu après le déclin de l’Empire Moghol, dans une Inde sous domination britannique, le Shah Wahiullah Dehlavi inspira le Mouvement wahhabite (islam sunnite) et exhorta les musulmans indiens à se détacher du courant national dominant. Il les encouragea à se sentir partie intégrante du monde musulman. Son fils, le Shah Abdul Aziz (1746-1822), proclama l’Inde «Dar ul Harb» (« Domaine/Maison de la Guerre ») et leva une armée de 80.000 wahhabites qui attaquèrent les Sikhs (région du Punjab/Pendjab). Après leur défaite (les Sikhs étant de grands guerriers) ils s’en prirent alors aux Britanniques, qui entreprirent alors une opération de neutralisation.
Environ un siècle plus tard, Sir Syed Ahmed Khan, fidèle serviteur des Britanniques, fonda l’Université musulmane d’Aligarh en 1875. En 1884, il déclara que musulmans, chrétiens et hindous appartenaient à une même nation hindoue. Il va sans dire que cette assertion (taqiya) visait uniquement à manipuler l’opinion publique hindoue. En 1888, il déclara que la coexistence pacifique entre hindous et musulmans était impossible et que la survie des uns dépendait de la domination des autres.
En 1904, les Britanniques selon le fameux principe « du diviser pour mieux régner » semèrent les germes de la Partition du Bengale, qui eut lieu en 1905. Sir Henry Cotton déclara: « L’objectif de cette mesure était de briser l’unité de l’Inde. » Le Nawab Salimullah Khan fut pour l’occasion acheté par les Britanniques moyennant un pot-de-vin de 100.000 roupies.
Cependant le refus de Partition du Bengale restait largement majoritaire côté hindou (et à travers toute l’Inde).
1905: En réaction, plus de 50.000 hindous participèrent au « Raksha Bandhan » (fête hindoue célébrant les liens d’amour et de protection entre frères et soeurs) sur les rives du Gange, tous résolus à annuler la Partition. Rabindranath Tagore (futur Prix Nobel de Littérature – 1913 – ) et d’autres leaders hindous se trouvèrent à l’avant-garde de ce gigantesque mouvement, également appellé « Mouvement Vandemataram ». « Vandemataram » devint le cri de ralliement qui mobilisa tout le pays et plus tard un chant patriotique lourd de signification et qui de nos jours, reste tout aussi cher au coeur des hindous que l’Hymne National » Jana Gana Mana » ou le « Salut au Drapeau ».
Naissance en Inde de la Fondation de la Ligue musulmane: Le 30 décembre 1906, la Ligue musulmane fut fondée à Dacca (Bangladesh) sous l’égide du Nawab Salimullah Khan, avec l’Aga Khan comme président permanent. L’Aga Khan est le 48e imam chiite. Les objectifs déclarés étaient les suivants :
A. Loyauté envers les Britanniques
B. Protection absolue des droits politiques et civiques des musulmans
C. Dans la mesure du possible et conformément aux points A et B: promotion de relations amicales * entre les musulmans et les autres communautés .
* Malgré ce qui précède une brochure du nom de Lal Ishtehar fut publiée et distribuée sous le manteau aux Délégués, leur ordonnant ceci: «Musulmans, levez-vous, éveillez-vous! N’étudiez pas dans les mêmes écoles que les hindous. N’achetez rien dans une boutique hindoue. Ne touchez à aucun objet fabriqué de main d’homme par un hindou. N’embauchez aucun hindou. N’acceptez aucune fonction dégradante sous l’autorité d’un hindou. Vous êtes ignorants, mais si vous acquérez le savoir, vous pourrez envoyer tous les hindous en enfer. Vous constituez la majorité de la population de cette Province. L’hindou ne possède aucune richesse propre et ne s’est enrichi qu’en vous dépouillant de vos biens. Si vous atteignez un niveau de connaissance suffisant, les hindous mourront de faim, seront contraint de vous supplier et de se soumettre à nos lois, et ainsi tous se convertiront bientôt à l’islam. »
Le 4 mars, des émeutes éclatèrent à Comilla (Bangladesh) et débouchèrent sur une série d’incendies criminels, de viols, de massacres et de pillages.
Parallèlement, sous l’impulsion du Mouvement hindou « Vandemataram » mené par Lal, Bal et Pal, le gouvernement britannique fut contraint d’annuler la Partition du Bengale. Les dirigeants de la Ligue musulmane furent consternés et furieux. En 1906, un avocat du nom de Muhammad Ali Jinnah s’opposa fermement au principe des électorats séparés (votes musulmans et votes hindous), affirmant que ce principe divisait la nation elle-même, avant de se raviser.
Dans le même temps, le mouvement pour l’Indépendance de l’Inde ayant pris de l’ampleur, celui-ci commença alors à se propager à l’international. Au même moment, en 1910, Khudiram Bose, un jeune combattant de la liberté (luttant pour l’Indépendance de l’Inde) âgé de 18 ans, lança une bombe sur un fonctionnaire britannique, Kingsford, ce qui stupéfia le pays tout entier et le fit entrer dans l’Histoire.
L’apaisement des musulmans par le Congrès:
Swami Shradhananda (militant hindou) a pu observer que, déjà à partir de 1899, le Congrès offrait des billets gratuits aux délégués musulmans.
En 1919, « le Mouvement Khilafat » (né sous le Raj britannique – Inde ) commença à restaurer de son propre chef le Califat de Turquie, estimant que les Britanniques outrepassaient leurs droits et qu’il était temps que les musulmans en Inde soient réunis sous la même banière (Mouvement qui disparaîtra quand la République de Turquie, fût fondée et que Mustafa K. Atatürk, ait officiellement aboli le califat en du 3 mars 1924).
La Ligue musulmane (M. Ali Jinnah) insista pour que le Congrès rejoigne le mouvement du Califat.
L’ensemble des musulmans soutinrent en masse (du moins dans un premier temps), le Mahātmā Gandhi, à l’exception de Jinnah, qui se serait senti menacé.
Après l’instauration du Califat, les musulmans se sont déchaînés contre les hindous. L’Organisation « La Société des Serviteurs de l’Inde » a rapporté qu’à Moplah, au Kerala, plus de 100.000 personnes avaient été déplacées, 20.000 avaient été converties et plus de 1.500 furent tuées. Même les femmes enceintes et les vaches n’ont pas été épargnées. Ils ont tué les hommes, épousé les femmes et déclaré Gandhi Infidèle.
Durant cette période, il est à noter que même les musulmans nationalistes soutenaient les Moplahs » ( = descendants des marchands arabes).
En 1925, Suhrawardy, ancien membre du Parti Swaraj, écrivait avec approbation à propos du Hajj, affirmant que l’islam attirait chaque année des milliers d’Hindous. Ces personnes, soumises à la discipline du pèlerinage annuel à La Mecque, reviennent en Inde purifiées et, adoptant les mœurs et coutumes arabes, deviennent aussi différentes des Hindous que les Hindous le sont des Chinois et des Juifs. Le Dr Saifuddin Kitchlew, un musulman se réclamant du nationalisme, mettait en garde les Hindous contre toute entrave au mouvement Tanzim (organisations issues du Maghreb et du Moyen-Orient).
Ghar Vapasi (Opération « Retour à la Maison »: À cette époque, Swami Shradhananda comprit que sans un arrêt des conversions à l’islam, les hindous ne pourraient survivre. En 1923, il ramena 18.000 musulmans à l’hindouisme. Il constata que si les musulmans engagés dans le Tabligh étaient encouragés par le Congrès, les hindous pratiquant le Shudhi étaient ostracisés.
En 1926, Swami fut assassiné par Abdul Rashid.
Gandhi prit la défense de Rashid, déclarant que les coupables étaient ceux qui attisaient la haine entre eux. Il considérait Rashid comme un frère.
Asaf Ali assura la défense de Rashid.
Il est important de rappeler que Gandhi refusa de signer une pétition pour sauver la vie de ses compatriotes hindous et sikhs dont il traita certains d’entre-eux de patriotes égarés, et considéra Rashid comme son frère, allant jusqu’à demander à un haut responsable du Congrès d’intervenir pour le sauver.
Massacre d’Hindous à Kohat: Kohat était une petite ville de province à la Frontière-du-Nord-Ouest où les Hindous représentaient moins de 5 % de la population. Jusqu’à 150 Hindous furent tués. Toute la population hindoue dût se réfugier à Rawalpindi, à 320 km de là.
Gandhi jeûna pendant 21 jours, impuissant à « réconcilier » les deux communautés.
Lorsque Mahadev Desai lui demanda la raison de ce jeûne, il répondit : « On pourrait m’accuser de trahison envers les Hindous. Les femmes hindoues vivent dans la terreur des voyous musulmans. Comment puis-je demander aux Hindous de tout supporter patiemment ? » Puis il ajouta : « Qui m’écoute ? Et pourtant, aujourd’hui encore, je demande aux Hindous de mourir plutôt que de tuer. »
La suite demain...
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La religion musulmane le cancer du monde !