RDC : des musulmans  égorgent des femmes qui allaitent dans un hôpital catholique…

RDC : le bilan de l’incursion des musulmans des  ADF à Byambwe  : 20 morts, dont 13 femmes, et 27 maisons incendiées

RDC : des musulmans  égorgent des femmes qui allaitent dans un hôpital catholique…

Imaginons le tollé international si cela avait été l’inverse…

« Lorsque vous rencontrez les mécréants, frappez-les au cou » (Coran 47:4)

Vaticannews

Une vingtaine de personnes ont été tuées dans une attaque terroriste contre un hôpital géré par des religieuses dans le village de Byambwe, au Nord-Kivu, en République démocratique du Congo. Les missionnaires ont dénoncé le « silence honteux » de la communauté internationale.

Malgré un accord récent négocié par les États-Unis entre la RDC et le Rwanda, les combats avec le groupe rebelle M23 se poursuivent sans relâche dans les provinces de l’est, tandis que le gouvernement central est également confronté à la menace croissante du terrorisme islamiste.

Aux alentours de 22h00 heure locale vendredi, des militants des ADF (Forces démocratiques alliées) — alignés avec le soi-disant État islamique depuis 2009 — sont entrés dans la ville de Byambwe, dans le diocèse de Butembo-Beni.

Ils ont attaqué un centre de santé diocésain géré par les Sœurs de la Présentation, massacré des patients, puis incendié l’ensemble du bâtiment, tuant plusieurs femmes dans la maternité. Les assaillants ont ensuite semé la terreur dans le village avant de s’enfuir dans la forêt voisine.

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L’attaque a été confirmée à Vatican News par le père Giovanni Piumatti, prêtre italien qui a œuvré pendant plus de cinquante ans comme missionnaire Fidei Donum dans le diocèse congolais de Butembo-Beni. Bien que de retour en Italie, il continue de suivre de près les événements et demeure profondément préoccupé par le pays qu’il a longtemps considéré comme sa patrie.

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Massacres systématiques

« Il s’agit d’une attaque typique des ADF », a expliqué le père Piumatti. « Quinze personnes ont été tuées dans la clinique et cinq autres dans les environs. Ils ont incendié l’ensemble du bâtiment et vingt-sept maisons voisines. Avant de tout détruire, ils ont pillé tout le matériel médical ; je crois que c’était leur principal objectif. La panique s’est emparée de la population. L’armée les a poursuivis, mais malgré ses efforts, les terroristes ont réussi à s’échapper. Ils semblent être mieux armés et équipés que les forces régulières. »

 « Ce qui est le plus tragique, au-delà du nombre considérable de victimes innocentes, c’est la manière dont ils tuent », a déclaré le père Piumatti.

« Ils égorgent des civils, les décapitent… c’est horrible. Ici, ils ont tué des mères qui allaitaient leurs bébés. Ces massacres sont inimaginables et se produisent presque chaque semaine. Beaucoup ne sont jamais signalés. »

Les auteurs de l’attaque de Byambwe seraient le même groupe qui, le 27 juillet, a pris d’assaut une église chrétienne à Komanda (province d’Ituri) pendant un service religieux, armé de machettes et de fusils, tuant des dizaines de chrétiens réunis en prière.

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Italie : une adolescente battue à coups de canne pour ne pas avoir porté le voile…

Italie : un père bangladais a battu sa fille de 14 ans avec une canne parce qu’elle refusait de porter le voile islamique ; il n’ira pas en prison.

Malgré la gravité de l’agression, le père n’a écopé que de neuf mois de probation.

Remix News

Un père violent originaire du Bangladesh a été reconnu coupable d’avoir maltraité sa fille, alors âgée de 14 ans, dans la ville de Cesena, parce qu’elle refusait de porter le voile islamique. La victime, aujourd’hui âgée de 17 ans, a déclaré que son père, âgé de 50 ans, la battait régulièrement avec une canne, l’insultait et lui imposait des restrictions sociales en raison de sa désobéissance.

La juge Ramona Bizzarri a condamné le père à neuf mois de mise à l’épreuve, à des travaux d’intérêt général et à verser 2 000 € à sa fille. S’il ne récidive pas durant cette période, il n’ira pas en prison.

Le procès a établi que l’homme considérait le monde occidental comme un endroit « obscur » aux « coutumes incompréhensibles », selon un article du journal italien Il Resto del Carlino .

Née en Italie, la fille ne portait pas le voile islamique aussi souvent que son père le souhaitait. Ce dernier la battait régulièrement avec une canne et une ceinture, et la réprimandait « parce qu’elle ne portait pas de foulard ».

Il a également déclaré qu’elle était une mauvaise cuisinière, qu’elle l’offensait par des remarques vulgaires et qu’il l’empêchait de fréquenter ses camarades de classe.

Lors d’une agression survenue le 19 décembre 2022, le père a agressé sa fille avec une telle violence qu’elle a dû être hospitalisée.

Au cours de l’incident, il l’a vue quitter la maison sans son voile. Il l’a alors tirée par les cheveux, lui a donné un coup de poing dans le dos, puis l’a poignardée à la main avec une fourchette. Elle a également subi des écorchures, un gonflement et une blessure à la mâchoire lors de l’agression. La police a constaté qu’elle présentait aussi des égratignures et des coupures au visage et aux mains.

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1 Commentaire

  1. Italie: écoutons ce père qui dit que, pour lui, notre culture lui est incompréhensible. Pour une fois, voilà un musulman qui dit la vérité. Conclusion: il rentre chez lui où tout lui est compréhensible . Hélas, mille fois hélas, pour nous et pour lui, là-bas , pas d’allocation .