On retiendra de l’article de ci-dessous d’Epoch Times ces 2 déclarations fondamentales :
« N’oubliez pas, MAGA est mon idée, elle ne vient de personne d’autre. Je sais mieux que quiconque ce que veut MAGA, et MAGA veut voir notre pays prospérer. .
« Quant on manque de compétences, il faut des gens pour apprendre. On ne peut pas embaucher des gens comme on sort d’une file d’attente pour le chômage et leur dire : « Je vous mets dans une usine. On va fabriquer des missiles »
Pendant ce temps, en France, Macron fait venir des Gazaouis avec leur drapeau palestinien et des chercheurs wokistes…
Le 11 novembre, le président Donald Trump a défendu son projet d’octroyer 600 000 visas à des étudiants chinois.
« Nous accueillons effectivement beaucoup d’étudiants chinois. Cela a toujours été le cas, en provenance de Chine et d’autres pays », a déclaré Trump à Laura Ingraham de Fox News lors d’une interview dans l’émission « The Ingraham Angle ».
« Nous disposons également d’un vaste système d’établissements d’enseignement supérieur. Si nous devions réduire ce nombre de moitié, ce qui pourrait satisfaire certains, la moitié des établissements d’enseignement supérieur américains fermeraient leurs portes. Je pense que ce serait un problème majeur. »
N’oubliez pas, MAGA est mon idée, elle ne vient de personne d’autre. Je sais mieux que quiconque ce que veut MAGA, et MAGA veut voir notre pays prospérer », a-t-il déclaré.
Trump a également défendu son projet de se concentrer sur les visas H1-B et d’attirer davantage de travailleurs étrangers.
« Quand on manque de compétences, il faut des gens pour apprendre. On ne peut pas embaucher des gens comme on sort d’une file d’attente pour le chômage et leur dire : « Je vous mets dans une usine. On va fabriquer des missiles » », a déclaré Trump.
Il a fait référence à la détention de centaines de travailleurs sud-coréens dans une usine de batteries en Géorgie plus tôt cette année et a défendu la décision de l’entreprise de les faire venir aux États-Unis.
Il a précisé que ce plan ne visait pas la Chine, mais plus largement les étudiants internationaux du monde entier, et que son raisonnement était d’ordre économique.
« Nous percevons des milliards de dollars grâce aux étudiants. Vous savez, les étudiants étrangers paient plus du double. Je souhaite que notre système éducatif prospère », a-t-il déclaré.
Traduction google
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–> En terme d’hommes et de femmes politiques américains patriotes « étiquettés » Sanatani (= hindous), les deux seuls en qui je crois (tous bords confondus) sont Vivek Ramaswamy et Tulsi Gabbard Lieutenant-Colonnel de l’Armée de terre de réserve US, actuellement Directrice du Renseignement National qui elle est originaire des Samoa Américaine (père « non-blanc » chrétien et mère « blanche » hindoue). Tous les autres ( = ayant des origines indiennes) en terme d’intégrité, de clairvoyance et de compétence; je les trouve décevants (manque de cran, de courage et de conviction quand ils ne sont pas corrompus).
+😊 Merci MODO; j’ai quelque peu monopolisé l’espace; j’en ai conscience. –> Je laisse la parole aux autres à présent. 😉
b) Argument principal : L’ouvrage de Ramaswamy critique ce qu’il perçoit comme une « nation de victimes » définie par la politique identitaire, plutôt que fondée sur le mérite et la réussite.
Appel à l’action : Il plaide pour un nouveau mouvement culturel qui ravive l’accent mis sur l’excellence, laquelle, selon lui, est la voie à suivre pour devenir des « gagnants ».
Pertinence : Cette expression est utilisée pour promouvoir son livre et ses positions politiques, qui mettent l’accent sur la méritocratie et le rejet de ce qu’il appelle la « culture de la victimisation »
Je vous mets ici, le « copier-coller du résumé fourni par l’I.A:
a) L’expression « pas victimes, vainqueurs » de Vivek Ramaswamy fait référence aux thèmes de son livre,« Nation de victimes : Politiques identitaires, mort du mérite et retour à l’excellence » plaide pour un changement culturel profond, abandonnant les politiques identitaires et le victimisme au profit d’une société valorisant le mérite et l’excellence . L’ouvrage suggère qu’aux États-Unis, une culture du victimisme a supplanté le mérite et que les « gagnants » sont ceux qui incarnent l’excellence et rejettent ce discours dominant.
* Je vous mets ici, le fameux tweet de Vivek qui continue de faire couler beaucoup d’encre:
A. Si les grandes entreprises technologiques embauchent souvent des ingénieurs étrangers et de première génération plutôt que des Américains de souche, ce n’est pas à cause d’un déficit intellectuel inné chez les Américains (une explication simpliste et erronée). Un élément clé réside dans la culture. Les questions difficiles exigent des réponses difficiles, et si nous voulons vraiment résoudre ce problème, nous devons affronter la vérité : notre culture américaine vénère la médiocrité au détriment de l’excellence depuis bien trop longtemps (au moins depuis les années 90, et probablement même avant).
E. Et si nous faisons comme si c’était le cas, la Chine nous donnera une leçon magistrale. Ce moment peut être notre moment Spoutnik. Nous nous sommes déjà réveillés de notre torpeur et nous pouvons le refaire. L’élection de Trump marque, espérons-le, le début d’un nouvel âge d’or pour l’Amérique, mais seulement si notre culture se réveille pleinement. Une culture qui, une fois de plus, privilégie la réussite à la normalité, l’excellence à la médiocrité, la curiosité intellectuelle au conformisme, le travail acharné à la paresse. Voilà le travail qui nous attend, plutôt que de nous complaire dans le rôle de victimes et de nous contenter de souhaiter (ou de légiférer) pour faire apparaître des pratiques d’embauche alternatives. Je suis convaincu que nous pouvons y arriver (Vivek Ramaswamy, sur sa page Twitter, le 26 décembre 2024)
Merci Nila pour ce rappel
Les jeunes américains sont des abrutis ignares. Le gros les sait bien, donc comme pour tout le reste il essai d’acheter des compétences, mais c’est peine perdue, les ricains sont définitivement un peuple de dégénérés.
1° Le Patriote Républicain Vivek Ramaswamy (qui est américain et défend avec brio son pays à l’inverse d’un certain Obama ou d’un Mamdani) futur Gouverneur de l’Ohio et dont je suis le parcours depuis février 2023, a exprimé dans un tweet devenu légendaire), exactement la même chose au mois décembre 2024. Depuis et pour faire court, car c’était là l’excuse idéale qu’il fallait pour s’en prendre à lui et grâce (entre autres) à l’acharnement payant d’une certaine Laura Loomer, il ne cesse de se prendre tous les haineux (suprémacistes, usines à trolls, bots pakistanais, etc.) de service sur sa page X.
Je vous retranscris ici, le fameux tweet de Vivek qui continue de faire couler beaucoup d’encre:
A. Si les grandes entreprises technologiques embauchent souvent des ingénieurs étrangers et de première génération plutôt que des Américains de souche, ce n’est pas à cause d’un déficit intellectuel inné chez les Américains (une explication simpliste et erronée). Un élément clé réside dans la culture. Les questions difficiles exigent des réponses difficiles, et si nous voulons vraiment résoudre ce problème, nous devons affronter la vérité : notre culture américaine vénère la médiocrité au détriment de l’excellence depuis bien trop longtemps (au moins depuis les années 90, et probablement même avant).
B. Cela ne commence pas à l’université, mais dès le plus jeune âge. Une culture qui célèbre la reine du bal de promo plutôt que le champion des olympiades de mathématiques, ou le sportif populaire plutôt que le major de promotion, ne formera pas les meilleurs ingénieurs. Une culture qui vénère Cory de « Boy Meets World », ou Zach et Slater plutôt que Screech de « Sauvés par le gong », ou « Stefan » plutôt que Steve Urkel de « La Vie de famille », ne formera pas les meilleurs ingénieurs.
C. (Fait : je connais *plusieurs* familles d’immigrés qui, dans les années 90, ont activement limité le temps que leurs enfants passaient devant ces émissions de télévision, précisément parce qu’elles encourageaient la médiocrité… et leurs enfants sont devenus des diplômés brillants en sciences, technologies, ingénierie et mathématiques). Plus de films comme Whiplash, moins de rediffusions de « Friends ». Plus de cours particuliers de maths, moins de soirées pyjama. Plus de concours scientifiques le week-end, moins de dessins animés le samedi matin. Plus de livres, moins de télévision. Plus de création, moins de détente. Plus d’activités extrascolaires, moins de flâneries au centre commercial.
D. La plupart des parents américains « normaux » regardent avec scepticisme « ce genre de parents ». La plupart des enfants américains « normaux » les regardent avec mépris. Si vous aspirez à la normalité en grandissant, c’est ce que vous atteindrez. Maintenant, fermez les yeux et imaginez quelles familles vous connaissiez dans les années 90 (ou même aujourd’hui) élèvent leurs enfants selon un modèle plutôt que l’autre. Soyez brutalement honnête. La « normalité » ne suffit pas sur un marché mondial hypercompétitif pour les talents techniques.
2° + Petite annecdote qui je pense pourrait intéresser Madame Christine Tasin (vous qui êtes enseignante si j’ai bien compris?): Vivek au grand étonnement des quelques milliers de francophones intrigués par son parcours, sait manier la langue de Molière! En terme d’intelligence, de Connaissance, de Savoir-faire et de Savoir-Être ce gars hautement diplômé de Hardvard & de Yale où il est sorti à chaque fois Major de sa promotion est un véritable E.T, joue du piano, est excellent au tennis, n’utilise aucune fiche, ni le moindre prompteur lors de ses meetings et/ou autres conférences, etc. etc.
Sa devise à lui c’est: « Vainqueurs, pas victimes » * et « Thruth » (concept cher au coeur de la vie spirituelle des hindous car reliée directement à la notion de Dharma-Karma) –> = Il ne faut jamais avoir peur de dire et d’affronter la Vérité.
Merci Nila je serais très intéressée si vous pouviez/acceptiez de nous faire un article sur Vivek pour Résistance républicaine. contact@resistancerepublicaine.com
Oups! Correction: « Truth. »