Ce paltoquet est une calamité tant pour la métropole que pour les DOM TOM. Tout ce que ce type touche, il en fait de la merde, comme disait si bien son « ami » Donald Trump.
Depuis 2023 j’entends ce leitmotiv : « Je n’ai pas voté pour les indépendantistes, mais contre Macron ! »
Le détestation du dictateur mais pas de la France a commencé en 2020 avec le début de la dictature sanitaire. Les piquouses ont été massivement refusées. Non par idéologie antivax, mais parce qu’on n’a pas oublié qu’à la fin du XIXe siècle, la vaccination forcée contre la variole a provoqué une véritable hécatombe. La culture orale, toujours vivante malgré les médias modernes, a entretenu la mémoire du peuple.
Les descriptions des paysages, assorties de dessins, des expéditions de Wallis, Bougainville, Cook sont explicites. Les montagnes et les rivages n’ont pas ou peu changé. Mais là où les explorateurs décrivaient des villages très peuplés et des dizaines de pirogues, il ne reste que quelques farés et trois ou quatre bateaux. Ayant vécu isolés du reste du monde pendant des millénaires, les Océaniens n’avaient pas les mêmes anticorps ni les mêmes réponses immunitaires que les Européens.
De nos jours, on a vu au début de l’épidémie des malheureux convaincus de se faire piquer par la ruse ou la propagande investir les centres de soins, plus nombreux que les malades de la grippe pangoline. Avec un taux de mortalité élevé ou des effets perturbants comme des pertes de l’ouïe, du goût, de l’odorat, et des séquelles gravissimes telles que des paralysies totales ou partielles.
Les comorbidités imputables à l’âge, au diabète, à l’alcoolisme ou au surpoids n’expliquent pas tout… Il y avait parmi les victimes des gens jeunes ou entre deux âges, en parfaite santé jusqu’alors, qui développaient de brusques pathologies cardio-pulmonaires. En particulier des sportifs de tout niveau entre 20 et 30 ans, obligés de se laisser infester pour pouvoir poursuivre leur entraînement.
En privé, avec des gens de confiance, des toubibs grévistes parlaient de leur « maladie diplomatique » pour ne pas participer au massacre, sans être radiés par l’Ordre du désordre inventé par Laval. Mais tant que les Macronescu seront au pouvoir, aucun ne témoignera devant une cour.
Faire tuer les gens ne leur suffisant pas, les macronards ont complètement désorganisé l’économie locale par ricochet.
Quand le psychopathe caractériel Macronescu a décidé, seul comme d’habitude, que toutes les personnes ayant des contacts avec le public seraient vaccinées de force, alors que selon le statut d’autonomie du Fenua les mesures sanitaires sont dévolues aux autorités locales, la réponse à ce diktat fut un refus silencieux par abandons de postes.
D’innombrables boutiques et ateliers ont baissé le rideau après avoir liquidé précipitamment les stocks, des services publics et des banques ont dû resserrer leurs heures d’ouverture par manque de personnel et des supermarchés sont allés embaucher dans les îles lointaines des manutentionnaires et des caissières dont le fort turn over est préjudiciable à l’entreprise. Tout cela a provoqué un effondrement de l’économie, avec une raréfaction des biens de consommation et donc une hausse des prix.
Les démissionnaires ont redécouvert le fa’a’apu, mode de vie traditionnel proche de l’autarcie. Cultiver ses légumes, cueillir quelques fruits, élever des poulets, pêcher dans le lagon, chasser le cochon sauvage, pratiquer le troc avec les voisins, vendre le surplus au bord des routes pour pouvoir acheter le pain et la bière. Une vie sans stress, ni horaires, ni contraintes hiérarchiques, tellement appréciée qu’après le départ des vaccinators, de nombreux autochtones n’ont pas repris leur travail d’avant.
Des milices de voyous en guise de réponse de l’État français
Après avoir démis le gouverneur, Macronescu fou de rage devant les stocks de mixtures à ARNm périmées dont personne ne voulait a fait réembaucher d’anciens reîtres des GIP (groupes d’intervention de Polynésie) excroissance officieuse des RG et de la DST, dissous après leur implication dans l’assassinat de Jean-Pascal Couraud, un journaliste particulièrement pugnace.
Reconvertis en gardes du corps et gros bras à tout faire, ces nervis furent utilisés pour encadrer des aides infirmiers itinérants et terroriser dans les villages les réfractaires aux vaccins. Jusqu’à l’excès de zèle de trop, lorsque des sbires en uniforme se sachant intouchables puisque « aux ordres de Macron »(sic) ont saccagé le cabinet d’un médecin récalcitrant, disciple du professeur Didier Raoult, apprécié de ses patients, avant de le tabasser sur la voie publique.
Une scène abjecte que tout le monde a pu voir sur les réseaux sociaux et les médias locaux moins cenSSurés que ceux de métropole, où un sexagénaire de taille et gabarit modestes était traîné à terre et molesté par des trentenaires dont le plus chétif faisait au moins 1,80 m pour 90 kilos. Le toubib essayait de se protéger des coups sans en donner. Qu’aurait-il pu faire contre une telle disproportion des forces ?
Les sbires ont néanmoins prétendu que Taoté Théron les aurait agressés. La flicaille a recueilli des témoignages orientés selon lesquels il était soupe au lait, sans doute en paroles mais pas en voies de fait. Et un procureur représentant l’État français dans toute sa splendeur a fait condamner ce petit vieux chenu à six mois de prison. L’indignation générale a été un coup d’accélérateur inespéré pour les indépendantistes.
Le Fenua est dans son immense majorité loyaliste mais les mesures vexatoires de Macronescu et les violences de ses spadassins ont fait bouger l’opinion.
Cultivant leurs particularités locales comme les Corses, les Basques ou les Bretons, les Ma’ohi ont toujours été fidèles à la France. Sans peur et sans reproches dans les tranchées en 1914-18. Puis le Fenua fut la première terre à virer le gouverneur pétainiste à l’été 1940 et à rallier la France Libre. Rassemblant ensuite des volontaires pour aller combattre les Boches. Le fameux bataillon du Pacifique qui s’illustra en Cyrénaïque contre Rommel, puis à Monte Cassino en anéantissant une unité de SS à tête de mort.
Churchill a justifié le bombardement des villes allemandes en disant : « On ne combat la barbarie que par une barbarie au moins équivalente. » Quand vous l’aurez compris en métropole, vous pourrez commencer vraiment la Reconquête. Et vos compatriotes des antipodes ne demanderont qu’à participer.
Il faut savoir qu’avant que le couple maudit des Macronescu squatte l’Élysée, les indépendantistes plafonnaient à 19-20 %, parfois un peu moins. Une bonne partie de ces prétendus sécessionnistes n’étaient même pas Ma’ohi. C’étaient des fonctionnaires Popaa, en majorité des enseignants gauchistes venus s’incruster au paradis avec leurs idées pourries. Attisant les rancœurs des indigènes parmi les laissés-pour-compte, puisque comme partout, les ratés, les tarés et les cossards se disent socialistes pour dépouiller ceux qui s’en sortent en bossant.
Aux élections territoriales d’avril 2023, le Tavini l’a emporté d’une courte majorité, récupérant la présidence du pays et celle de l’Assemblée. Mais à part quelques radicaux qui fricotent avec les islamistes d’Azerbaïdjan, ces indépendantistes sont des gens de bonne composition. Ils ont insisté pour que leurs partisans les plus excités se calment. Et convenu qu’on pourrait peut-être envisager un référendum dans dix ou quinze ans. Connaissant d’avance le résultat puisque la grande majorité des Polynésiens veulent rester français.
Pas par intérêt comme le prétendent des abrutis de mauvaise foi car nous ne bénéficions ni du RMI-RSA, ni de la CMU-AME, ni de la CAF, ni des ASSEDIC. C’est un choix fait en toute connaissance de cause par Gaston Flosse à qui son ami Chirac avait proposé d’étendre les mesures sociales à l’Océanie. « Si tu leur donnes de l’argent sans travailler, avait-il exposé à son mentor, on va voir rappliquer au Fenua un ramassis de parasites et de racailles venant se dorer la pilule au soleil… Puisque tu les aimes tant, on te les laisse ! »
Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/
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