La honte, c’est d’avoir confisqué jusqu’à la commémoration. Autrefois, le peuple y participait
Macron commémore les Poilus : lui qui n’a jamais servi la France sous les drapeaux !
Il fallait le voir, sur son piédestal ennuyeux des commémorations, le Mozart de la finance, le comédien raté d’un État vidé de sens.
Emmanuel Macron, costume impeccable, regard en plastique, récitant son tweet comme un prêtre sans foi ni mémoire :
« Chaque Flamme ravivée, chaque plaque mémorielle honorée, chaque Bleuet porté au cœur, fait vivre le souvenir de toutes celles et de tous ceux tombés pour la France. En leur mémoire et pour la paix, ce 11 novembre, comme chaque jour, souvenons-nous. » https://x.com/EmmanuelMacron/status/1988263555141967962?ref_src=twsrc%5Etfw
Souvenons-nous, oui, mais surtout souvenons-nous de ses promesses creuses, de ses mensonges constants, de son art si raffiné de trahir le peuple sans même froncer un sourcil. Ce psychopathe nous avait promis la publication régulière d’ un bulletin de santé, ça fait plus de 7 ans, serait-il aussi un menteur ?
Que cache-t-il aux Français ? Une santé mentale narcissique-cabotinoïde mâtinée de macronite aiguë ?
Pendant qu’il caresse les statues des morts, il assassine leur héritage. Les Poilus, eux, défendaient les frontières. Macron les efface. Les anciens mouraient pour que vive la France, lui, le banquier raté, la vend au plus offrant. Les poilus avaient la boue dans les bottes, lui a de la morgue dans la voix. Le contraste est obscène : des générations massacrées au front, pour qu’un Président de salon transforme leur sacrifice en spectacle désert sous drapeaux sponsorisés. Huit ans de macronisme, et la France envahie n’a plus de frontières, plus de médecins, plus d’usines, plus d’âme. Mais elle a des tweets. Et des “flammes ravivées” à la télévision, plus vraies que nature.
La honte, c’est d’avoir confisqué jusqu’à la commémoration. Autrefois, le peuple y participait ; aujourd’hui, il est tenu à distance, refoulé derrière des barrières désertes, comme un figurant indésirable. Les poilus doivent se retourner dans leur fosse commune : la Nation qu’ils ont protégée s’est transformée en vitrine diplomatique pour selfies présidentiels. https://x.com/TribunePop23/status/1988215892405260341
À côté de lui, ses ministres font tapisserie et Christine Vautrin, nouvelle “impératrice des armées de plomb”, sert de figure décorative dans un défilé où l’honneur a déserté.
Un pays merveilleux, disait-on, que son faux chef Rothschildien aura détruit avec méthode, vendant la mémoire, les terres et la fierté. Les Poilus, s’ils voyaient ça, retourneraienr leurs armes… mais on ne confie plus de fusil aux patriotes !

Pauvre France. On n’y commémore plus les héros, on glorifie les fossoyeurs qui rient dans les cimetières ! (1)
Pendant que Macron parle de paix, la violence ordinaire balaye nos rues : plus de 150 attaques au couteau par mois, plus de 200 agressions sexuelles par jour, des colliers or arrachés et une jeunesse condamnée à la peur ou à l’exil. Lui, bien sûr, tweetera encore : “Souvenons-nous.”
Oui, souvenons-nous qu’il a tout oublié. Que la culture française n’existe pas, et que nous sommes nous Français, des criminels contre l’ humanité !!! Mais si, …ce pantin nous l’a appris !!! Source : mauvais comédien pleurant en 2024
Le Monde, Libération, Le Figaro (1) cf Roger Salengro
Juvénal de Lyon
43 total views, 43 views today


« Macron, ce zéro au sourire si mou, suivi d’un seul tocard qu’il aimait entre tous, pour sa grande (censuré) et sa haute (censuré), parcourait à cheval, le soir d’une émeute, la banlieue couverte de racailles sur qui tombait la nuit. Il lui sembla dans l’ombre d’un chouf entendre un faible bruit. C’était un espaGNOUL du gang des biroutes qui se trainait, raide défoncé sur le bord de la route, dégueulant, camé, et plus ivre-mort qu’à moitié et qui disait : »Du papier, du papier par pitié! » Macron, ému (jusqu’au trou du cul), tendit à son tocard fidèle un rouleau de PQ qui pendait à sa selle et dit: « Tiens, torches le cul à ce pauvre malheureux. » Tout à coup, au moment où le tocard baisé se penchait vers lui, l’homme, une espèce de muzz, saisit une merde qui fumait encore et visa macron au front en criant : « Allah akbar! » La merde passa si près que le galure tomba et que le bourin fit un écart en arrière. « Torches-lui tout de même le cul », dis le micron.
J’espère que Monsieur Hugo ne se retournera pas dans sa tombe, au vu du détournement de son superbe poème « Après la bataille » de 1859.
Cela fait longtemps que je n’assiste plus à cette commémoration. Parmi les « poilus », beaucoup d’hommes enrôlés de force, beaucoup de destins gâchés. Pour quel résultat ? Un siècle après, l’Allemagne dirige l’Europe et nous sommes encore moins chez nous que si nous étions devenus Allemands au siècle dernier. Le 11 novembre est un jour férié, un moment de répit dans ce qui est devenu une servitude. Le travail ne rémunère plus assez. Pour pouvoir vivre et se faire plaisir régulièrement, il faut au moins 3000 euros par mois de nos jours. Qui peut bien avoir envie de gâcher sa journée à participer à une mascarade ? Mais chut, il ne faut pas le dire, sinon ils vont nous reprendre notre jour férié !
Les 150 attaques au couteau, c’est par jour aussi, pas par mois.
Encore 2 ans à supporter ça, mais je fais confiance aux « Nicolas » pour reprendre les mêmes et recommencer à pleurer.
Peux plus voir sa g..le de tr..du c.l ! Pourri !
Désolé !
Aux Champs Elysées : LE GRAND DESERT POPULAIRE DE MACRON rejeté par 90% de la population française…
… https://x.com/TribunePop23/status/1988215892405260341
ENFIN dirais je ! les FRANCAIS ont enfin compris que ce mec est un idiot inutile ? il leur en a fallu du temps !
La vue du peuple lui est insupportable. Suppositoire Ier du haut de son trône nous méprise. Le contact avec la merde que nous sommes pour lui, lui donne la nausée.
Je ne participe même plus au défilé dans ma commune, car le maire est un socialope avéré et va jusqu’à renier ses parents, lui et sa clique ,en ont rien à faire de nos poilus, ce qui les intéresse, c’est le « verre de l’amitié » pour se soûler avec du « vinaire » que l’on sert comme vin. Je préféré me recueillir seul en pensant à tous ceux qui ont donné leurs vies pour nous, helas pour résultat, de voir prospérer la vermine.
Bonsoir mon ami le chti français. Je n’y vais pas non plus. Dans une municipalité Modem, je suis classé d’extrême -droite. Ceux qui y vont s’y rendent pour se soûler. Il n’en ont rien à foutre des Poilus et de leurs sacrifices. En 1940, point de maquisards dans mon village, probablement beaucoup de collabos. Les lettres à la kommandantur devaient donner du travail au facteur. Pour eux le Débarquement a dû être une grosse catastrophe. Je suis allé rendre hommage au village d’Oradour. Ce jour-là des tags injurieux avait été tagués sur un mur à l’entrée.
la honte, (c’est peu dire) de notre France, qui n’est pas la sienne puisqu’il la cède à tout vent
Le pitoyable bonimenteur a perdu son public.
Il y avait autrefois,sous la IIIème République, l’homme qui riait dans les cimetières tel Roger Salengro, nous avons aujourd’hui celui qui y pleure, le pitre de l’ Elysée : https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/video-11-novembre-emmanuel-macron-en-larmes-lors-de-linhumation-dhubert-germain_480508
Ce n’est pas R.Salengro qui riait dans les cimetières, c’est Raymond Poincaré…. « C’est dans ce contexte que L’Humanité, reprenant une photographie prise lors de la visite d’un cimetière de Verdun aux côtés de l’ambassadeur des États-Unis, prétend y voir un rictus et le surnomme, en juin 1922, « l’homme qui rit dans les cimetières »
Ce pantin est un grand malade mental et sa place n’est pas à l’élisé, mais dans un hôpital psychiatrique dans une cellule capitonnée. Pour moi je le considère comme un traître
en taule c est encore mieux !