Les dimensions énormes des méfaits de la gauche….

War on all fronts

Peu après l’attaque surprise du Hamas sur le sud d’Israël, j’eus un coup de fil d’un de mes amis, auteur/chroniqueur/cinéaste qui m’avait posé la question : Qu’est-ce que t’en penses ?

« C’est un complot… Il est impossible que ce soit autre chose ! L’armée, les services secrets israéliens étaient sans doute au courant de cette attaque. Il ne s’agit pas d’imprévu, de négligence ou de secret parfaitement dissimulé… non, du tout ! Tout comme je n’ai jamais cru à l’attaque surprise coordonnée entre l’Égypte et la Syrie du Yom Kippour 1973. Les services secrets et le Mossad sont trop bien huilés et chevronnés pour se faire prendre d’une façon si spectaculaire, ridicule et offensante. Cela sent le complot à des milliers de kilomètres.

Ce que je craignais le plus, c’était en principe, l’implication de notre chef d’État, Netanyahu en l’occurrence. En parallèle je me suis souvenue des doutes proférés à l’encontre de Mme Golda Meir, accusée d’avoir permis  aux armées arabes d’Égypte et de Syrie d’attaquer Israël, dans le but de leur accorder en quelque sorte un brin de « dignité de vainqueur » qu’ils auraient depuis longtemps perdue, et les ramener vers de la table de négociations.

L’incapacité des services secrets israéliens à anticiper l’attaque imminente suscite un séisme politique majeur, et notamment la démission de la Première ministre Golda Meir. Un document déclassifié en 2012 après la Commission Agranat montre qu’un agent, Ashraf Marwan, avait prévenu le directeur du Mossad, Zvi Zamir, le 5 octobre 1973, de l’imminence « d’un avertissement au sujet de la déclaration de guerre » mais que l’information n’était pas immédiatement remontée au vice-Premier ministre Yigal Alon. Traîtrise ou complot ?

Les images de cette époque, défilèrent soudain devant mes yeux. Le premier jour de la guerre surprise de Yom Kippour avait coûté la vie à plus de 2500 soldats, majoritairement des jeunes recrues.

Le 6 novembre 1973, le bilan dépasse les 10 000 victimes et le 24 novembre, 14 800 morts pour 35 000 blessés. Le 3 janvier 2024, le nombre de morts dépasse la barre des 23 000 et 26 000 au 26 janvier.

Mais comme on dit, le temps fait sa lamentable besogne et Mme Meir dut se résigner à perdre son poste de Premier Ministre, remplacée par Yitzhak Rabin – toujours de la même couche – adeptes invétérés et prisonniers de la même conception – territoires contre la paix. Judaïsation d’Israël refusée.

Le pays oscille entre la gauche dominante et la droite qui commence à sentir « la moutarde lui monter au nez » – le prix de la paix se chiffre à un nombre ahurissant de morts civils et militaires. Il n’existe plus un coin en Israël que la terreur aurait omis de frapper.

Les bus éclataient à Jérusalem et à Tel-Aviv. Les cafés étaient ciblés par des kamikazes et les morts s’amoncelaient dans presque toutes les villes du petit pays. La pagaille et le choc régnaient dans les rues, dans les supermarchés, dans tous les coins. Il n’y avait plus un jour sans terreur et sans le hululement des sirènes des ambulances. (Extrait du Défi d’être juif de Thérèse Zrihen-Dvir.

Cela ne mit jamais fin à la fameuse Conceptia qui prône la paix en échange de territoires, lorsque de l’autre côté tout est tenu pour faiblesse et opportunité…

Les gangs de terroristes arabo-musulmans se multiplient dans la Bande de Gaza et en Judée et Samarie, tandis que quelques zélés arabo-israéliens tentent d’élargir la brèche, en contribuant, camouflant, véhiculant des terroristes au sein d’israël.

La gauche a eu suffisamment de temps pour corrompre l’esprit des têtes juives et sionistes, élargissant son impact dans tous les domaines qu’elle maîtrise sans vergogne, ni remords. C’est l’imposition du dogme de la laïcité, de l’européanisation d’Israël (un État pour tous ses citoyens). Fin de l’État juif.

Le 7 octobre 2023 a révélé à tous ceux qui croyaient encore à la « belle au bois dormant », que la paix ne peut se gagner que par le glaive. Une main tendue sera souillée par le crachat de celui à qui vous la proposez. L’arabo-musulman, originaire de la confrérie musulmane, des chiites, des alaouites, des wahhabites, verra en le mécréant son ennemi et le poursuivra à mort.

Si la force lui fait défaut, ce sera la taqiya,  l’or, la fourberie, la ruse, la terreur et le complot…  Un éventail de choix, que tous ceux qui ont été élevés sous les principes humains du décalogue, des règles de tolérance et de paix, se verront mordre la poussière à chacune de leur tentatives.

Il n’y a qu’avec la force que l’ennemi battra en retraite et devra accepter sa défaite, se plier à une révision totale des conceptions héritées d’une fausse religion, principalement structurée par tous les ambitieux assoiffés de pouvoir et de gloire, même au détriment de leurs adeptes coreligionnaires.

Au lieu de faire leur jeu, les Occidentaux et Israël seront contraints de se battre de jour comme de nuit pour vaincre le mal qui a pris possession de tous les esprits dits libres et humanitaires.

La filière découverte récemment en Israël à travers madame la « procureur générale » militaire, est une preuve qu’il ne faut jamais détendre/lâcher les courroies à la justice, à la défense et bloquer à corps défendant l’avance du mal, sous toutes ses formes.

Le pouvoir et la gloire n’appartiennent qu’au Créateur et au Créateur seulement. Cessez donc de le défier ! Il ne veut que notre bien à tous.

Thérèse Zrihen-Dvir

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