
Tout chef d’Etat devrait préférer, comme Geert Wilders que les gens aient faim ailleurs que dans son pays, hélas… tout le monde lui tape dessus, comme si énoncer une évidence « les nôtres avant les nôtres » était une monstruosité !
Plusieurs chefs de parti néerlandais étaient réunis pour le débat électoral sur la chaîne NPO. Geert Wilders et son parti, le PVV (Parti pour la Liberté) ne souhaitent plus investir dans l’aide au développement et souhaitent transférer ces fonds pour instaurer une TVA à 0 % sur les produits alimentaires.
Aux Pays-Bas comme chez nous, le taux normal de la TVA est à 21 %. Certains produits alimentaires sont soumis à des taux de réduits à 9 %.
Sa déclaration a fait réagir le public. Wilders a, lui, d’abord ri avant d’essayer de se rattraper. « En d’autres termes, nous devons donner la priorité aux Néerlandais » a-t-il ajouté. Source
Pour quoi et pour qui votent les citoyens d’un pays dit démocratique ? Pour que ceux qui ont les moyens de déguster du caviar matin midi et soir aient la conscience tranquille, versent force millions à SOS racisme et aux restos du coeur ou. bien pour que chacun de ses habitants mange à sa faim ? Telle est la question.
Pourtant -mais ce n’est pas une surprise- les journaleux européens jouent chaque jour à la guerre des boutons, histoire de ne surtout pas parler de ce qui est essentiel pour le Français moyen, histoire de continuer à manipuler, à donner des leçons, à pousser le Français moyen à aboyer avec les chiens puants et à voter pour les dégénérés anti-France.
En Attendant une fois de plus, coup de chapeau à Geert Wilders, cet homme qui ressemble incroyablement à Orban. De vrais patriotes, désintéressés que rien ni personne ne peut faire changer d’avis, ni les menaces ni l’argent. Des incorruptibles, des vrais. Geert Wilders vit depuis 20 ans sous protection policière, changeant d’hébergement chaque jour… à cause de son islamophobie.
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Un slogan maintenant très ancien en France, toujours soutenu par le parti qui monte et qui fut et est toujours décrié par la clique gauchiasse toujours aux manettes.
Ce n’est pas à l’Etat de décider des générosités des citoyens contribuables pas plus que ce n’est pas à l’Etat de pardonner. Seul un citoyen a la liberté de choisir ses dons et son pardon.
Les nôtres avant les autres.
Les ONG elles devraient se retirer de tous ses pays étrangers, se consacrer aux nôtres et ne ldonner aux pays en développement que des préservatifs. A eux de travailler et de se débarrasser de leurs élus corrompus et incompétents.
Enfin du Bon Sens en politique !