Consentement obligatoire avant le viol ! Le féminisme d’État en roue libre !

Quand la loi fait de la morale militante… quand la loi prétend faire du bien mais ne fait que du vent…

Source de la capture d’écran et sa suite ici 

 

Qu’est-ce qu’on a été  cons ! Depuis des années on n’avait pas compris que pour qu’il y ait viol il fallait expressément qu’il y ait non consentement du ou de la violée… Réformez-moi le petit Robert et le Larousse, que diable ! 

Heureusement, nos sénateurs  ont compris et voté comme un seul homme une loi qui va tout changer comme l’avaient fait la semaine dernière nos députés tout aussi imbéciles. On n’attend plus que le journal officiel et hop ! c’est emballé. 

Mieux protéger les victimes d’agressions sexuelles. C’est l’objet de la réforme du code pénal qui vient d’être adoptée par le Parlement.
Le Sénat a ainsi voté définitivement, ce 29 octobre 2025, la proposition de loi modifiant la définition pénale du viol et des agressions sexuelles. Ce vote succède à celui de l’Assemblée nationale le 23 octobre 2025. Le texte doit encore être publié au Journal officiel.
Cette réforme vise à inscrire explicitement dans le code pénal la notion de non-consentement de la victime pour qualifier le viol et les autres agressions sexuelles.

La proposition de loi intégre l’absence de consentement de la victime dans la définition du viol et des autres agressions sexuelles. Elle précise que le consentement doit être libre et éclairé, spécifique, préalable et révocable. Il s’agit de « passer de la culture du viol à la culture du consentement ».

Une grande avancée de l’humanité. Nos élus viennent donc de se rendre compte que les victimes de viol étaient maltraitées par la loi jusque-là car… il y avait un vide juridique. Il n’était écrit nulle part qu’elles n’avaient pas donné leur consentement… 

Je plaisante, mais je devrais pleurer, nous devrions pleurer. Ils en sont là... Excusez-moi, mais ils sont payés, très cher, paraît-il, en sus de leur train de sénateur (même les députés, si, si )  pour ça ???  A l’heure où les viols se multiplient et croissent étrangement en même temps que l’arrivée  non sollicitée d’étrangers dont un certain nombre ne connaissent d’autre loi que celle du pédophile polygame  Mahomet, ils n’ont trouvé que ça à faire pour s’occuper ? Vendus, salauds, honte à vous !  Dans son fauteuil royal Larcher se paye notre tête ! Du haut de son perchoir, celle qui a besoin de la force publique pour nourrir ses poules pendant ses vacances opine !

Enculage de mouches ? Pas seulement. Le but n’est évidemment pas de faire cesser les viols, pas plus que les arrivées massives de gens venant de pays avec une haute idée de la femme. Tiens, quel hasard, 500 Gazaouis sont arrivés en France depuis le 7 octobre dernier…

Chut Christine, tu vas encore te retrouver à la 17ème Chambre, tes 3 procès  prévus pour 2027 ça te suffit pas ? 

Le poète l’avait bien dit…Le premier qui dira la vérité sera exécuté...

Justement, il faut, plus que jamais, dire la vérité au moment où le pouvoir gaucho-macronien vacille un peu… Soyons sérieux et examinons cette fichue loi. 

En inscrivant la notion de “non-consentement” dans le Code pénal, les « élus de la nation »  affirment faire œuvre de justice. En réalité, et malgré les apparences, ils transforment le droit en catéchisme moral, le symbole devient plus important que l’acte et on revient à l’antique « vertu » qui  se substitue au bon sens. 

Non, la loi ne peut pas gérer la « vertu », celle qui prédominait dans les questions fort  insidieuses des confesseurs quand l’église catholique tenait non pas le haut du pavé mais la vie de l’être humain, d’avant la vie à après la mort. Ils en rêvent, apparemment !

Désolée mais quand c’est la loi qui définit la vertu, c’est la liberté qu’on assassine.

Désolée mais quand c’est la loi qui définit la morale militante, c’est la liberté qu’on assassine.

Nous y voilà donc, nous serions donc  enfin sauvés ! Pardon, sauvéEs ! Car il ne s’agit ici, bien entendu, que de la protection des femmes même si la loi évidemment va concerner aussi les homos, les trans etc.  Oseront-ils réclamer le non consentement du petit de 8 ans violé ???

Je m’étonnerai juste au passage de voir cette loi votée, acclamée… par ceux qui ne lèvent pas le petit doigt contre l’immigration massive qui introduit chez nous nombre de prédateurs sexuels qui non seulement méprisent les femmes, non seulement ne leur demande pas d’être consentantes, non seulement les frappent, non seulement les violent, mais, en sus, les tuent parfois. On évoquera juste 2 noms, il y en a des milliers. Lola et Philippine. Doit-on comprendre que, faute de la dernière loi votée, les juges n’ont pas pu juger et condamner leurs violeurs et assassins ? Chacun connaît la réponse.

Alors, leur loi à la gomme, ils peuvent se la mettre où je pense, ils sont lamentables. Ils nous coûtent très cher pour agiter leurs petites ailes coupées depuis longtemps. 

Confions à Cyrano le soin de répondre comme il convient aux minables législateurs. Des traîtres à la nation qui font de la femme une victime jusque dans le coït voulu avec celui qui est dans son lit.

Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !

Cyrano de Bergerac I4. Edmond Rostand.

Il est fini le temps où les politiques créaient des emplois, bâtissaient des routes, donnaient le droit aux femmes de suivre des études supérieures… A présent ils s’occupent de réécrire wikipedia ou les dictionnaires. Après « parent 1 et parent 2 », voici venue  l’ère du « non-consentement ».

Or il n’en était pas besoin puisque l’on qualifiait déjà le viol d’acte fait « sans consentement », « avec violence » –que veut dire viol, à votre avis ? 

Bref, de session en session, de réforme en réforme, le Parlement court derrière la palme de celui qui protège mieux que ses prédécesseurs.

Nous crevons d’un zèle idéologique qui remplace l’action. Forcément tout le monde a peur de l’action, du changement, alors on s’enfonce, on s’enfonce… Pendant ce temps les tribunaux sont saturés. Et comme les législateurs ajoutent sans cesse de nouvelles entrées au mille-feuille, la justice est ingérable. La France est ingérable, mais on fabrique des textes qui parlent comme des tracts, pendant que les tribunaux croulent sous les dossiers et que les victimes attendent un juge pendant des années. Mais c’est pas grave, on est sûrs d’avoir employé les bons mots dans les jugements…

Quelle sera la suite ? Un contrat signé devant notaire exigé  avant chaque étreinte ? Un QR code prouvant qu’on a bien donné son autorisation au moment de l’effeuillage ? 

Vont-ils condamner Brassens post mortem pour avoir chanté « cupidon s’en fout » ? 

Christine Tasin

 

 

 

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13 Commentaires

  1. Comme disait Coluche, mr le juge, violé c’est quand on veut pas, mais moi je voulais. Faudra expliquer cette loi aux envahisseurs.

  2. Et que faire pour les ‘me too’ ex ‘promotion canapé’ qui se réveillent après des années de silence; pas d’ausweis…
    On paye vraiment cher nos ronfleurs des chambres à enfoncer une porte ouverte.

  3. En réfléchissant bien, mieux vaut aller chez les travailleuses du sexe. Au final ça coûte moins cher qu’un procès et ça fait travailler le petit commerce. 😂😂😂😂😂

    • Belle logique tu as raison c’est peut-être des bienfaiteurs des péripatéticiennes qui ont fait cette loi 😉

    • Attention danger quand même, la dame si elle est malveillante peut prétendre que vous n’avez pas honoré votre dette pour l’avoir honorée.
      Vous vous retrouvez donc dans le cas d’un non consentement à posteriori, ce qui est encore plus grave puisque il y a viol plus abus de confiance ce qui peut vous mener au trou..

  4. Faudra signer avant viol, un papelard signifiant le non consentement ?

    Et qu’en fera le violeurs de ce consentement écrit ? Essuiera l’arme de son crime ?! Et où passera donc devant les tribunaux cet acte écrit de non consentement ?
    Si pas d’écrit, comment le violeur attestera-t-il du consentement de la victime ?

    Comme on dit ; les paroles s’envolent, les cris aussi ; les écrits quelquesfois restent.

  5. Dans un viol, bien sûr qu’il y a consentement !

    Le violeur consent totalement !

    La violée, le violé non puisque l’acte qualifié de viol est donc une agression !

    Sont cinglées nauséelites et toujours à leur lutte « pour la protection des agresseurs » et plus encore s’ils sont étrangers ; c’est que ce sont des gens très bien ces zélites, toujours leur coeur sur la main et la main à gauche sur la poitrine ; l’oeil et l’esprit aussi.

    Oui ! parce que leur sensibilité penche plus du côté de l’agresseur que de celui de l’agressé.

  6. J’imagine la scène : deux adultes consentants avant de monter dans une chambre d’hôtel. L’homme demande à la femme : un huissier de justice va venir pour constater que vous avez bien signé le document attestant que vous êtes consentante. Préparez votre pièce d’identité.

  7. La Vie devient trop compliquée. Il est vrai que si la Loi était plus simple la vie le serait aussi ! C’est en tout cas mon avis …
    Vous me donnez un Code et prenez n’importe quelle Loi eh-bien je vous trouverai le contraire de cette Loi dans le même Code !