Partagés entre le rire, les larmes et les applaudissements…
Que dire ? Il a tout dit. Voilà où on en est dans la France non plus des sauvageons mais celle des sauvages, même un De Villiers avec son éducation, sa politesse, sa gentillesse… ne voit plus d’autre solution que la schlague, ou la tronçonneuse, c’est selon.
Je rêvais ce matin de Bukélé, De Villiers rêve de Miléi. Les grands esprits se rencontrent. Non, pas les grands esprits, les résistants tout modestement pour ma part.
Ben oui De Villiers est pragmatique -son éclatant succès du Puy du Fou de en témoigne-. On a plus que jamais besoin de tailler, fût-ce à la tronçonneuse- dans les dépenses de l’Etat. Pour le bien de tous et notamment celui des entreprises et leurs dirigeants sans qui, faut-il le rappeler une fois de plus à Méluche, il n’est pas de richesses dans un pays ?
Doublement pragmatique et plus que lucide, il dit pourquoi il craint le pire : une partition de la France, une partie de notre pays abandonnée aux musulmans…
Nous savons lui et moi que cette solution n’en est pas une. Elle servirait à acheter une paix provisoire, pour assurer aux politiciens leur réélection… mais, très vite, comme les islamos voudraient le reste, forcément plus riche, plus agréable (là où il y a l’islam il y a pauvreté, violence, interdits, restrictions… j’en passe et des meilleures), la guerre reprendrait, jusqu’à la disparition de la France transformée en Francarabia.
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Incroyable ! Je n’aurais jamais cru que le « si bien élevé » et prudent de Villiers en arriverait à dire cela. Comme quoi la révolution est (resque prête) non ?
L’islam dehors, étudiants ou pas.