Poltron ! Dégonflé ! Pauvre type ! Sale type !
Ces dirigeants qui n’en ont pas et se contentent de gaffer à l’occasion en disant tout haut ce qu’ils pensent, on en a ras-la-casquette.
C’est vrai, quoi ! On ne voit pas pourquoi ces gens qui reçoivent 500 rapports par jour, qui connaissent mieux que personne la réalité, les chiffres, ne sauraient pas que les migrants musulmans sont un gros risque pour les filles à la nuit tombée. Et s’il n’y avait qu’à la nuit tombée…
Jeanne La Pucelle
«Demandez à vos filles !» : le cri de vérité sur l’immigration du chancelier allemand
TRIBUNE. En une phrase, Friedrich Merz a dit ce que tant d’hommes politiques taisent : la sécurité des femmes s’effondre sous le poids d’une immigration incontrôlée. C’est une vérité que la France devra bien regarder en face, juge Claire Geronimi, présidente d’Éclats de Femme et vice-présidente de l’UDR.
Le 14 octobre dernier, le chancelier allemand, Friedrich Merz, a prononcé une phrase qui a bouleversé le débat européen sur l’immigration : interrogé par un journaliste sur ses déclarations à propos des problèmes provoqués par l’immigration, il a répondu un laconique : « Demandez à vos filles ! »
Loin d’être une provocation, cette formule lapidaire résonne comme un cri de vérité, celui de la peur féminine dans l’espace public à mesure que l’insécurité s’y banalise. L’Allemagne n’est pas un cas isolé, mais le chancelier dit tout haut ce que les Européennes, et notamment les Françaises, disent entre elles tout bas : la peur de sortir, l’obligation d’inventer des stratégies pour rentrer chez soi, la vulnérabilité face à des prédateurs trop bien connus et trop bien identifiés.
Cette vérité allemande, c’est aussi une vérité française
Outre-Rhin, les statistiques officielles (BKA 2022-2023) révèlent une réalité implacable, incontestable : les Maghrébins représentent 2,8 % des mis en cause pour vols alors qu’ils ne forment que 0,2 % de la population ; les Afghans et Pakistanais, 4,1 % des mis en cause pour violences sexuelles, contre 0,6 % de la population. Ces données ne relèvent pas de l’opinion, mais du réel. Et ce réel, Friedrich Merz a eu le courage de le rappeler, quand tant de bonnes âmes se réfugient dans le silence confortable du déni.
Et nous, Françaises ? Nous savons aussi
Cette vérité allemande, c’est aussi une vérité française. Je le sais comme femme, comme fondateur « d’Éclats de femme », une association qui accompagne chaque jour des victimes d’agressions dans l’espace public.
En Île-de-France, où les étrangers représentent 14 % de la population, ils sont mis en cause dans 63 % des viols commis dans les transports. En 2023, 97 viols de rue ont été recensés ; seuls 30 élucidés, dont 77 % impliquaient des étrangers. À l’échelle nationale, alors que les étrangers représentent 8 % de la population, ils comptent pour 13 % des mis en cause pour viols, 27 % pour proxénétisme et 21 % pour exhibitions sexuelles. Les étrangers originaires d’Afrique constituent 7 % des mis en cause pour violences sexuelles, pour 2 % de la population : autrement dit, un risque trois fois supérieur. Ce ne sont pas des jugements : ce sont des faits.
Le viol dans le RER qui a défrayé la chronique le 16 octobre dernier ? Un Égyptien sans domicile fixe. La meurtrière et tortionnaire de la petite Lola ? Une Algérienne sous OQTF. L’assassin de Philippine ? Un Marocain multirécidiviste. Ces drames, loin d’être des exceptions, traduisent une réalité devenue familière : celle d’une violence importée que l’on n’ose pas nommer.
C’est une terrible vérité, que les médias et les responsables politiques de gauche se gardent bien d’assumer : les femmes sont les premières victimes de la politique d’immigration massive. Nous servons de cobaye à une expérience sur le « vivre-ensemble » qui vire à la catastrophe.
Jusqu’à quand continuerons-nous à détourner le regard ?
Ces faits, nos filles, nos sœurs, nos amies les connaissent mieux que quiconque. Les statistiques ne leur apprennent rien : il leur suffit de raconter leurs retours de soirée, leurs trajets dans le métro, leurs gestes réflexes pour serrer leurs clés entre les doigts ou feindre un appel au téléphone. Elles ont peur, elles se taisent, elles adaptent leur vie à une insécurité qu’on refuse de voir.
Dès lors, une question s’impose : jusqu’à quand ? Jusqu’à quand continuerons-nous à détourner le regard ? Jusqu’à quand nos gouvernants prétendront-ils que dénoncer ce lien entre immigration incontrôlée et explosion de la violence serait faire le jeu de « l’extrême droite » ?
Protéger les femmes ne devrait pas être un marqueur politique, mais un réflexe de civilisation. La tolérance véritable ne consiste pas à tout excuser ; elle consiste à défendre le droit des femmes à vivre libres, à marcher seules, sans peur, dans la rue. La vraie liberté, ce n’est pas de rester enfermée à double tour : c’est de pouvoir sortir sans trembler. Et c’est cela que nous devons, avant tout, à nos filles et à toutes les femmes françaises.
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Au bal des faux culs, Merzde est un grand chef d’orchestre.
Si l’immigration musulmane est un grand problème comme tu le dis, trompette, tu y mets fin tout de suite. Et tu nous épargnes tes larmes de crocodile : j’espère que tu finiras tu vie en prison de haute sécurité comme tous les dirigeants corrompus européens des pays de l’UE et de l’Angleterre. !