
Je mets au défi quiconque de trouver une photographie de la tortionnaire de la petite Lola à son procès, l’immigrée Benkired, qui outre l’avoir martyrisée, s’est moquée du tribunal, de la famille et l’opinion publique avec des arguments abscons pour tenter de faire réduire sa peine.
Des arguments du type : comme je l’avais violée, je lui ai rendu service en achevant le travail, je l’ai tuée…

La tueuse est simplement dessinée, ce qui crée une distance quasiment artistique avec le mal absolu qu’elle représente.
Au contraire, Cédric Jubillar a été photographié sous tous les angles dans le box des accusés et n’a bénéficié d’aucune préservation de son image.
Jusqu’à preuve du contraire, le corps de son épouse Delphine n’a pas été retrouvé ; on n’a même pas de preuve qu’elle soit effectivement morte et non disparue, partie reconstruire sa vie ailleurs, sous une autre identité.
Peu importe, Jubillar a pris quasiment aussi cher que Benkired dont il n’est pas douteux qu’elle a commis un crime des plus atroces sur une enfant, dans un pays qui avait eu le tort de l’accueillir au lieu de la laisser croupir dans son « shithole » d’origine comme dirait Trump.
Jubillar paie sûrement très cher sa bêtise, une attitude jugée nonchalante et désinvolte. Sa femme le considérait comme un « pauvre type » et il l’est sans doute. Mais cela justifie-t-il 30 ans de prison ?
La même peine, finalement, que Benkired puisque en France, la peine maximale est de 30 ans. Autrement dit, une condamnation à une réclusion criminelle perpétuelle correspond en fait à une réclusion criminelle d’une durée de 30 ans. On parlera quand même de réclusion à perpétuité.
La perpétuité n’existe pas réellement ! La tortionnaire de Lola pourra sortir de prison !
Mais là n’est pas mon propos qui concerne uniquement le traitement journalistique de ces deux affaires et l’utilisation de l’image de Jubillar considérée comme publique alors qu’on n’a jamais pu voir Benkired sur le banc des accusés, entrant ou sortant du tribunal.
On n’a pas pu voir le visage de ce déferlement de haine contre une petite Blanche bien élevée et heureuse, de la part du monstre d’importation.
Pourquoi ? Sans doute qu’en haut lieu, on n’a pas voulu « attiser la haine » contre les immigrés commettant des crimes sur notre sol.
On a préféré que l’image du criminel dans ces deux affaires jugées en même temps soit celle de Jubillar, ancien enfant maltraité, peut-être également première erreur judiciaire de taille du XXIème siècle, plutôt que celle de Benkired.
Voire, on a fait en sorte que les deux affaires soient jugées en même temps pour que celle de Jubillar éclipse celle de Benkired.
Parlera-t-on de droit à l’image ?
Les journalistes peuvent cependant diffuser l’image d’une personne poursuivie pénalement et jugée dans une affaire au retentissement national sur le fondement de la liberté d’informer.
« Le droit à l’image est limité par le droit à l’information, le droit à liberté d’expression et la liberté artistique et culturelle.
Ainsi, votre accord n’est pas nécessaire pour diffuser certaines images à condition que votre dignité soit respectée et votre image ne soit pas utilisée dans un but commercial.
Par exemple :
Image d’un événement d’actualité ou d’une manifestation publique. »
https://www.service-public.gouv.fr/particuliers/vosdroits/F32103
Il n’était donc pas nécessaire d’obtenir l’accord de la tueuse de Lola issue de l’immigration musulmane pour publier sa photographie au cours du procès.
De plus, depuis 2022, les audiences peuvent être filmées et enregistrées pour la bonne information du public.
On a donc bien le sentiment qu’il y a deux poids deux mesures, selon que vous êtes autochtone ou immigrée, femme ou homme, dans le traitement de ces deux affaires où Jubillar, de très loin, paraît le moins monstrueux des deux.
13 total views, 13 views today

Pour ceux qui voudraient voir la gueule du monstre!
Tapez benkired sur Youtube! (Shorts) et faites un arrêt sur image car la visibilité dure à peine une seconde!
Pomponnée et maquillée!
Complètement d’accord avec vous
—-Même la mère de Jubillar est persuadée que son fils est coupable, une mère qui accuse son propre fils devant une cour d’assises c’est plutôt très rare!—-Attendons le procès en appel mais il est probable que la condamnation soit confirmée!——Et oui il n’y a pas de photos de l’ordure de nationalité algérienne qui a commis ce crime atroce, encore le deux poids deux mesures!—–
30 ans pour la monstre benkired, qui va passer pour une cador en taule, au milieu des comme elle….. dommage que la peine de mort n’existe plus. Elle peut dire merci à badenter.
Je n’aime pas ce mot, mais…. la presse est dégueulasse !
Monsieur, Informez-vous exhaustivement avant d’écrire n’importe quoi : »Les investigations ont montré que le téléphone de Delphine « ne s’est pas éloigné de son domicile dans les heures qui ont suivi sa disparition », et le trajet repéré par le maître-chien indique également « que la dernière trace de Delphine Jubillar vivante se trouve à son domicile » dans cette nuit du 15 au 16 décembre 2020 à 22h30, il y a un couple et deux enfants, puis à 4h du matin, la femme a disparu. Il y a un témoin qui est absolument incontestable : le chien policier. Ce chien nous dit que Delphine Jubillar n’est jamais sortie de chez elle cette nuit-là. Donc, si on élimine les extraterrestres et le retour de la momie, eh bien c’est Cédric Jubillar qui a tué son épouse. » Jubillar effectuera les 2/3 de la peine soit 20 ans moins 5 ans qu’il a déjà effectués, sur ce jugement il devrait sortir dans 10/15 ans. On a le profil de Delphine qui n’auraita jamais abandonné ses enfants et qui ne seraient pas partie sans ses papiers d’identité, lunettes etc. C’est un crime parfait.
Si les chiens sont là seule preuve! Ça vole bas.