
Il est devenu pour eux nécessaire de faire taire tout propos « climatosceptique » voire d’interdire toute critique des énergies alternatives.
J’en veux pour preuve un article de « Reporterre », militant actif de la cause écolo :
On comprend donc que des médias « privés » (traduire : « obéissant à la logique du capitalisme« , donc nécessairement nauséabonds) seraient à l’origine de tous les maux.
On y lit également :
Il existe donc des ONG qui surveillent la pensée. Même la désinformation « involontaire » est stigmatisée.
« Sortir de l’impunité » veut donc dire qu’il faut punir.
Punir ceux qui ne pensent pas comme il faut.
Ces propos sont aussi consternants que désolants.
D’abord, on y apprend qu’il n’est plus possible d’être climatosceptique. Ceci constitue désormais un crime contre l’Humanité.
Je n’ai donc pas le droit de m’intéresser aux travaux du GIEC pour les critiquer.
Je dois en accepter les conclusions comme étant une vérité gravée dans le marbre, comme les Tables de la Loi.
Oser les critiquer est hérétique.
Et pourtant, tout bon scientifique ne peut que critiquer les méthodes qui ont permis de parvenir à une conclusion, quelle qu’elle soit. C’est la base même de la démarche scientifique.
Je mets au défi tout scientifique honnête de dire que je mens en faisant les affirmations suivantes :
Les hypothèses du GIEC pour estimer l’intervalle de confiance autour du forçage radiatif sont très critiquables. En effet :
Il est donc tout à fait légitime de manifester un scepticisme sur les affirmations des rapports du GIEC.
De même, il est tout à fait légitime de se poser la question de savoir pourquoi la montée des eaux a été 40 fois plus rapide qu’aujourd’hui lors de l’impulsion de fonte IA (Meltwater pulse 1A) voici 14.500 ans, bien avant l’ère industrielle et avant même la révolution agricole. Même le GIEC ne remet pas en cause ce constat qui n’est donc pas « conspirationniste ».
Attribuer donc au seul facteur humain le réchauffement climatique est loin d’être démontré scientifiquement.
Alors pourquoi vouloir à tout prix faire taire les voix dissidentes ?
Pourquoi traiter de « bas du front », de « platistes », de « conspirationnistes », ceux qui ont l’outrecuidance de vouloir encore réfléchir ?
Qui sont ces nouveau Torquemada de l’Inquisition verte ?
Vous rendez-vous compte ?
Critiquer le GIEC devient strictement prohibé.
Questionner la pertinence des choix alternatifs : éoliennes, photovoltaïque, voitures électriques devrait être strictement interdit.
En effet, Reporterre précise que :
« « Leur objectif n’est plus de nier l’existence du changement climatique, mais de miner la confiance dans la viabilité des solutions et de délégitimer les messagers qui les défendent », pointe le rapport.
Les principales victimes de cette stratégie ciblée sont les énergies renouvelables (EnR). Plus de 90 % des cas identifiés de désinformation ciblent les solutions de transition, et 70 % ciblent plus spécifiquement les EnR. »
L’intolérance des écologistes ne connaît donc plus de limite.
Oser porter une critique devient obligatoirement un acte criminel.
Il est urgent d’interdire aux médias privés de traiter de ce sujet, pour les confier exclusivement « aux médias d’intérêt public » qui, comme chacun sait sont un modèle d’impartialité.
Raoul Girodet
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