Coup de chapeau à Stéphane Ravier qui dénonce l’interdiction de « Sacré Coeur » par la Mairie de Marseille

La RATP et la SNCF ont déjà décidé de refuser toute publicité du film… peur des attentats, peur de vexer leurs employés musulmans ? Une honte absolue au pays de Voltaire. Une honte qui dit qu’il est plus que temps que les Français s’intéressent vraiment aux élections de 2026.

Oui, une honte absolue. Un scandale. Scandale venu, cerise sur le gâteau, de gauchos qui se mettent à genoux pour l’islam et dont je suis persuadée qu’ils se seraient battus pour  assister à l’avant-première d’un film sur Mahomet le beau modèle. D’ailleurs je ne serais pas surprise que cela ait déjà eu lieu. 

Voilà donc un film censuré une heure avant la diffusion publique prévue au château de la Buzine au nom… de la laïcité ! Si ce n’était pas si terrifiant ce serait.à mourir de rire… Les gauchos islamophiles nous parler de laïcité, grandiose !  Les responsables de la Mairie qui multiplient les mosquées, les repas orientaux,  les mosquées… nous parler de laïcité ! Je rêve ???  Non, je cauchemarde.

Les cons, ça ose tout. Les salauds aussi.

Or, ce film est un incroyable succès qui répond à un besoin, une demande, une curiosité, que sais-je… Peut-être est-ce un besoin de retourner au passé, aux origines de la France à l’heure où l’islam et Macron menacent de tout détruire ?  ! Pour sa troisième semaine de diffusion, le film Sacré Cœur continue sur sa lancée avec 74.688 entrées supplémentaires, dont plus de 10.000 le mardi 21 octobre. Depuis sa sortie le 1er octobre, le long métrage a cumulé 195.023 entrées et pourrait franchir les 200.000 spectateurs d’ici jeudi.. Le film passera cette semaine dans 347 salles, alors que seules 155 l’avaient proposé au public au début de la diffusion. Devant les files d’attente et la demande grandissante, de nombreux cinémas se sont finalement ajoutés pour proposer le film. Ce long métrage alterne entre des passages de la vie de sainte Marguerite Marie Alacoque et des témoignages actuels de dévotion au Sacré Cœur de Jésus. En sortant des cinémas, beaucoup de spectateurs ont témoigné d’une foi renouvelée, d’un désir de conversion ou simplement d’une paix retrouvée. « Je réalise que le film m’explique mieux cette prière avec ce cœur de Jésus à nu qui se donne entièrement par Amour », confiait ainsi l’une d’entre elles à Aleteia.  Source

Des amis m’ont demandé ce que je pensais de ce qui se passe à Marseille, connaissant mon athéisme déterminé,  Or, je suis à 100% avec Stéphane Ravier, bien évidemment !

Je suis athée, vigoureusement athée au point de dire « même si Dieu existait je n’en voudrais pas » parce que, pour moi, rien n’est mieux que l’homme, rien ne peut être au-dessus que l’homme. Je vous accorde qu’il y a parfois des ratés, forcément et d’ailleurs, ces ratés ont eu -et ont toujours hélas- bien souvent à voir avec le Dieu inventé ici ou là mais ce n’est pas l’essentiel.  

En effet, peu me chaut la religion chose intime de certains, chacun croyant en son coeur, essayant d’être fidèle aux valeurs chrétiennes sans me menacer de l’enfer, me parler de péché originel, voire de péché de chair, bref, si personne n’essaie d’avoir barre sur moi et sur autrui en imposant des moeurs, des habitudes, des règles… au nom de sa religion, peu me chaut. Grand bien leur fasse et à chacun sa religion, sa philosophie, sa croyance ou son incroyance. Nous avons fort heureusement abandonné les bûchers, les tortures et autres exécutions comme celle du Chevalier de la Barre pour un chapeau qui n’aurait pas été enlevé devant une procession… Alors, à présent on peut vivre en France un catholicisme apaisé côtoyant une laïcité apaisée. 

Ce qui n’existe pas en pays musulman… L’islam n’a pas atteint le niveau du christianisme qui est devenu tolérant, ayant renoncé à gérer les moeurs, la chambre à coucher et à pérenniser une société immuable, interdite de changer pendant des centaines d’années. Et je crains bien qu’il n’y parvienne jamais, 1400 après les origines rien n’a changé… c’est même devenu pire. Quand on voit l’Egypte ou le Maroc dans les années 50 avec des filles sans voile, habillées à la Française et qu’on compare avec ce que l’on voit partout dans le monde musulman et même en France hélas, il y a de quoi être pessimiste.

Il y a de quoi alimenter son islamophobie et lutter, plus que jamais, contre l’islam, cette immonde saloperie qui menace nos filles et nos libertés. 

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