Tout cela est très malin, déshabiller la France pour habiller le nazi Zelensky, et cela au moment où les risques de guerre civile avec des banlieues en ébullition est de plus en plus présent.
Jeanne la Pucelle
La Gendarmerie nationale n’a pas les moyens de remplacer ses FAMAS
Un rôle stratégique en débat
« Nous inscrivons notre action dans un continuum sécurité/défense. En tant que force armée, nous avons un rôle primordial pour la préservation des intérêts fondamentaux du pays et la défense opérationnelle du territoire, aux côtés des armées », a déclaré le général Bonneau. Il a ensuite posé la question : « En cas d’un potentiel ‘engagement majeur de la France à l’Est (…) qui tiendra le territoire national ? ». L’intervention soulève de fait une tension structurelle : la Gendarmerie, bien que militaire par statut, est dotée comme une force de sécurité intérieure, et se retrouve avec un armement et des équipements en retard face aux autres armées.
Armement et matériel : l’équipement en souffrance
Le point le plus concret : la Gendarmerie reste entièrement équipée de FAMAS, des fusils d’assaut vieillissants dont le soutien technique doit cesser à compter de 2030. Le général a reconnu : « Nous n’avons pas d’accroche dans le cadre de la Loi de programmation militaire. Il faut financer ces moyens spécifiques sur notre budget. » En parallèle, il évoque des besoins non couverts en blindés et en mobilité. Le budget annuel de la Gendarmerie, d’environ 10 milliards d’euros, est majoritairement absorbé par la masse salariale, limitant l’investissement dans le matériel.
Cette situation pose un véritable dilemme : comment maintenir une couverture territoriale nationale, la maison mère de la souveraineté, alors que les moyens matériels sont affectés par les priorités internes (immobilier, effectifs, casernes) ?
Le message lancé par le DGGN vaut comme une alerte : sans renforts budgétaires ciblés, la Gendarmerie pourrait voir son efficacité opérationnelle affaiblie au moment même où le niveau de menace se durcit.
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Filer les Famas c’est une chose mais le pire, c’est filer tout le Pays à l’islam…et les Français laissent faire !
Le FAMAS est arrivé en escadron en novembre 1985, après l’armée en 1979, et encore dans les brigades,restaient les MAS 36 et FM MAC 24-29 jusqu en 1988, voire 90-91. Il fut tenté un essai de FAMAS au maintien de l’ordre, très vite interrompu, les FAMAS revenaient en deux morceaux .ce n etait pas leur utilisation et les MAS 36 revinrent très vite .le FAMAS était entaché de nombreux défauts(la liste est longue) en dépit de sa précision tant en coups par coups que par rafale totale ou par 3. Jamais il ne fut adopté par d’autres pays . La gendarmerie a fort heureusement d’autres armes légères récentes et c’est tant mieux. Neanmoins le HK 416 devrait remplacer le FAMAS, pourquoi pas le pistolet réglementaire est le SIG 2022 et dans l’armée le GLOCK 17 génération 5. Faut trouver les sous .