C’est un ancien responsable de la DGSE (direction générale de la Sécurité extérieure), bref le Service secret français qui le dit. Nous aussi on le dit depuis 20 ans et on passe pas mal de temps dans les hôtels de police et tribunaux pour cela. Sans doute que nous, on n’a pas la manière, car on dénonce l’islamisation de la France. On peut penser que Pierre Brochard pèse ses mots. Et après tout il se contente de faire un constat ou plutôt de montrer qu’il y a des solutions. Drastiques, à mettre en oeuvre.
Rien que des évidences que le Français moyen constate tous les jours… mais ça va mieux en le disant. Le dit Français moyen ne pourra pas dire qu’il ne savait pas.
Certes, je sais bien que le Français moyen trouve que la politique c’est casse-pied, que c’est pas son truc, que les politiques sont payés -grassement- justement pour veiller sur notre pays. Je m’étouffe !
Cependant je sais bien que le Français moyen n’est pas le seul coupable. On pourrait accuser ici en tout premier les accords d’Eurabia signés par Giscard, l’UE immigrationniste en diable, Sarkozy qui s’est assis sur le vote des Français et qui est revenue un jour de je ne sais quelle réunion internationale en parlant du métissage obligatoire
Et on pourrait parler de Hollande clamant que ce qui se passe au Bangladesh est aussi important que ce qui se passe en France, parce que monsieur est internationaliste.
Nous dénonçons depuis plus de 20 ans tout ça. Nous, oui, mais les vrais coupables ce sont les journalistes aux ordres et les associations droidelhommistes -que dire des magistrats du mur des cons et des députés qui ont voté les lois immigrationnistes et droidelhommistes ?
C’est le combat de David contre Goliath.
Pourtant le mythe nous dit que c’est possible. Faudrait juste que les Français cessent de regarder leur télé de merde et lèvent la tête de dessus leur smartphone. Impossible ? Impossible n’est pas français et on sent une vague de révolte – de révolution ? – qui monte, qui monte…
Le cri d’alarme de Pierre Brochand (ex-DGSE) : “La tiers-mondisation de notre corps social n’ira pas sans gros dégâts collatéraux”
Vingt ans après les émeutes qui avaient éclaté à Clichy-sous-Bois puis dans toutes les banlieues, l’ancien directeur général de la DGSE dresse le constat inquiétant d’une France au bord de la « confrontation interne ».
(…) Cette grande régression peut-elle être enrayée ? Un redressement est-il possible ? Comment ?
Contrairement aux apparences, c’est votre question la plus facile, car les réponses existent et sont devenues banales. Mais, elles sont aussi inévitablement féroces, à proportion du temps et du terrain perdus. S’il reste une petite chance d’éteindre la mèche, il n’est d’autre voie que celle d’un radicalisme sans remords.
Soit, à la fois, réduire les flux d’entrée à leur plus simple expression, reprendre le contrôle des diasporas et rétablir l’ordre public. Ce qui est tout à fait possible, mais exige un formidable regain de volonté. D’abord, prendre des mesures immédiatement opérationnelles en matière d’immigration (gel des régularisations, réduction drastique des naturalisations, raréfaction des visas des pays à risque). Puis, enjamber le préambule constitutionnel, indispensable au rétablissement des droits, collectifs et autonomes, du peuple français.
Enfin, sur ce canevas, faire flèche de tout bois : externaliser les demandes d’asile, ramener à zéro l’attractivité sociale et médicale de la France, dégonfler les diasporas en agissant sur les titres de séjour, muscler la laïcité en l’étendant à l’espace public. Plus généralement, s’attaquer au virus mortel de l’impunité, par une réforme pénale décomplexée, s’adressant au moins autant aux peines, telles qu’elles sont décidées et appliquées, en cas de récidive, qu’à leur quantum.
Sous cette brève formulation, l’ordonnance cache, on le sait, une entreprise herculéenne, dont, les choses étant ce qu’elles sont, j’ai le plus grand mal à imaginer qu’elle soit mise en œuvre. Mais, à l’inverse, je suis en mesure de garantir à vos lecteurs que, si nous persistons à céder au biais de normalité, pour repousser à plus tard ce qui aurait dû être fait hier, nous ne préparons pas à nos descendants des lendemains qui chantent.
Le Figaro via Fde souche
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parce que vous croyez encore QU ON VOTE ????
La connerie des cons, c’est la persistance de persister dans leur connerie.
Cela fait très longtemps que je dis que nous sommes au bord du gouffre et qu’il faut nous réveiller. Il faut que ce soit un ancien de la DGSE qui le dise pour être pris au sérieux.
Moi je dis ce que je sais, et ne dirai pas pourquoi je sais ni qui je suis ou ai fait pour savoir.
Continuez à dormir et vous connaitrez le pire que vous ne pourrez même plus regretter, au sens propre du terme !