Noirs d’Afrique, Noirs d’Amérique, Noirs en général…

 

Ce vieux livre joint (en PDF) de 1868 est très instructif. Voiyez  la table des matières et survolez certains chapitres de 1 à 27…

L’auteur cite des quantités d’extraits d’écrits et d’observations sur les Noirs africains faits par des explorateurs et des missionnaires, cela bien avant la colonisation. Par exemple, en 1750, un missionnaire  décrivait le Noir comme une personne entre un petit enfant, un vieux sénile et une bête sauvage. Et tous ces  missionnaires expliquaient que malgré leurs efforts ces Noirs ne progressaient pas. C’était une sauvagerie horrible, abominable intolérable et inimaginable pour les Occidentaux.   Ce qui ne fut pas le cas avec les Indiens en Amériques. Un quart des Noirs avait les 3 autres quarts comme esclaves, etc.  Le seul point positif pour l’Occident c’est qu’ils se tuaient tellement que leur population n’augmentait que fort peu.  A tel point que certains explorateurs croyaient que la race noire disparaitrait.

La colonisation (au frais des Européens quoi que raconte Macron…), elle enfin, a fait bien progresser les Noirs, contrairement à ce qu’ils affirment et qu’affirme la gauche européenne anticolonialiste. La colonisation a aussi fait que leur nombre augmente vite.
Depuis l’indépendance des pays africains, ils ont à nouveau bien régressé, certains sont sont incapables de se gouverner, etc. mais ils se reproduisent très très vite, et nombre d’entre eux  leur sauvagerie en Europe, nous l’imposent, sauf évidemment nombre d’exceptions comme un Senghor si admiré, avec raison, par Christine.
A contrario,  Credit Suisse  n’existe plus; un Ivoirien à sa tête avec un Hindou nommés comme haut cadre et ils se disputaient entre voisins à Zürich comme deux villageois en Afrique ou en Inde !

Dominique Schwander

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6 Commentaires

  1. Ils se battaient et ils se mangeaient.
    La plupart étaient cannibales, cela leur évitait d’avoir à travailler.

    • Oui, et sous prétexte de « relativisme culturel », certains historiens africains et même bons français trouvent le moyen de défendre ce genre de moeurs!…

    • Vous avez raison, le sujet est sensible aujourd’hui, la liberté d’expression n’existe plus. Néanmoins, il ne faut pas généraliser. J’ai eu des étudiants africains en section ingénieurs qui étaient bien classés. Et certains sont revenus me voir plus tard pour m’informer de leur carrière, dont un de Côte d’Ivoire qui est venu chez moi car je n’étais plus à l’Ecole d’ingénieurs. Le seul qui s’est fait remarquer venait des Antilles, un vrai associable.

      • Ah, les Antillais et leur racisme anti-blanc pathologique! Rien de tel chez les autres Noirs Sud-Américains!…