
En voilà une nouvelle qu’elle est bonne ! Non pas qu’on se réjouisse devant des licenciements, mais si Pfizer a moins de collaborateurs on peut légitimement penser qu’il fera moins de vaccins, moins de dégâts, non ?
Gageons surtout que, à Washington, Kennedy est en train de savonner la planche sur laquelle Big Pharma surfait depuis des lustres.
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Covid : Kennedy au sénateur Elisabeth Warren « vous avez reçu 855 000 dollars de Big Pharma ! » Voir ici
Robert Kennedy : non, ce n’est pas la vaccination qui a fait baisser la mortalité ! voir ici
Alors, pour préserver ses profits monumentaux, Pfizer licencie… en attendant la prochaine vague de Covid ou équivalent avec vaccination obligatoire… ce qui risque d’arriver dans l’UE mais ce sera plus difficile aux USA avec Kennedy !
Rupture: Pfizer a annoncé que si l’arrêt du gouvernement américain persistait, Pfizer devra licencier plus de 200 membres à Washington. Beaucoup ont touché des centaines de milliers de dollars de Pfizer. Maintenant qu’ils n’ont plus de séances c’est fini !
Pfizer annonce la suppression de 58 emplois à Bruxelles, après une précédente vague de licenciements en 2024. La direction invoque la perte de brevets, la pression sur les prix et l’automatisation, suscitant la colère syndicale.
Pfizer annonce la suppression de 58 emplois à Bruxelles.
Après avoir déjà menacé une soixantaine d’emplois en 2024, la direction de Pfizer remet le couvert avec une nouvelle vague de licenciements collectifs sur le site de Bruxelles. Cette fois, ce sont 58 collègues qui risquent de perdre leur emploi. Un emploi sur quatre est en jeu.
La multinationale justifie cette décision par la perte de brevets, la pression sur les prix et l’introduction de l’intelligence artificielle et d’outils numériques. Mais derrière ce discours bien rodé de «modernisation» et «d’efficacité», les syndicats dénoncent une stratégie cynique de réduction permanente des coûts, menée au détriment des travailleurs belges.
Pendant que Pfizer continue de réaliser des profits faramineux à l’échelle mondiale, ce sont les salariés qui trinquent et qui sont sacrifiés sur l’autel de la rentabilité.
La CSC bâtiment – industrie & énergie exige l’arrêt immédiat de ce qu’elle qualifie de bain de sang social. Elle réclame des garanties fermes pour les travailleurs concernés: zéro licenciement sec, reclassement interne, accompagnement digne, et transparence totale sur les intentions réelles de la direction.
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