A Marseille les antifas font la loi en toute impunité

Le jeudi 2 octobre, à Marseille, des militants du syndicat étudiant de droite UNI ont organisé une soirée dans un bar situé place de la Castellane afin de renforcer la cohésion de la section. Les militants n’ont cependant pas eu le luxe de profiter d’une soirée paisible. Peu de temps après leur arrivée, une cinquantaine de militants d’extrême gauche, dont certains étaient armés, a attaqué les membres de l’UNI : d’abord enfarinés, ils ont ensuite subi des jets de chaises et de bouteilles pour finir par recevoir des coups de la part des assaillants, qui étaient en supériorité numérique.

Parmi les agresseurs, l’UNI a relevé la présence de nombreux militants du syndicat d’extrême gauche L’Union étudiante, dont Sabrina OUAHHBI-KHARBACH, qui n’est nulle autre que la responsable locale du syndicat, qu’elle représente par ailleurs au Conseil d’administration d’Aix-Marseille université. Elle a même revendiqué l’attaque sur ses réseaux sociaux.

Toutefois, les antifas n’en sont pas restés là. En fin de soirée, ils ont suivi certains militants de l’UNI qui rentraient chez eux en métro. Les jeunes patriotes ont été suivis, photographiés et menacés, ce qui a nécessité une nouvelle fois l’intervention de la police.

L’université d’Aix-Marseille, qui n’avait pas fait la sourde oreille pour traduire en commission disciplinaire Matisse, un militant patriote victime d’une campagne de diffamation diligentée par l’extrême gauche, osera-t-elle cette fois réagir face à une telle violence ?

‍Source 

 238 total views,  1 views today

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


3 Commentaires

  1. Je note que la responsable locale du syndicat de voyous porte un patronyme maghrébin. Preuve que ces expatriés font la loi chez nous. Que se passerait-il en Algérie si un étudiant français, avec un nom français, tirait les ficelles pour pousser des étudiants de son bord, contre d’autres étudiants algériens ?

  2. Qu’est ce qu’un microcosme sinon un univers en miniature .Une fois que l’on comprends ca , on ne peut penser qu’il y a des gens de gauche partout et des gens de droite partout dans le monde .Partant de ce postulat ces crétins d’islamogauchistes ne comprennent pas qu’ils prennent parti pour la même chose qu’ils devraient combattre chez eux .C’est bien connu l’herbe est plus verte ailleurs .

  3. L’université d’Aix-Marseille, qui n’avait pas fait la sourde oreille pour traduire en commission disciplinaire Matisse, un militant patriote victime d’une campagne de diffamation diligentée par l’extrême gauche, osera-t-elle cette fois réagir face à une telle violence ?

    ‍Réponse : Non, il vaudrait mieux que les victimes déposent plainte et se méfient de leurs arrières.
    Cette université, est certainement gangrenée par la gauchiasse socialope.