Une LFI qui a peur que les femmes soient agressées dans les téléphériques d’IDF…

Même les LFI qui ont les yeux de Chimène pour les agresseurs de tout poil, surtout s’ils ne sont ni blonds ni Français sont inquiets, c’est dire ! C’est dire que, en notre beau pays de France, l’insécurité est réelle, ce n’est ni un mythe ni un fantasme.  

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C’est Nadège Abomangoli, député LFI de Seine Saint-Denis, qui tire la sonnette d’alarme. Elle propose donc un cautère sur une jambe de bois, 

Il est vrai que la perspective de se retrouver dans un oeuf avec un ou des agresseurs potentiels, sans aucune possibilité de changer de wagon, de se sauver, fait peur.

Le Câble C1, premier téléphérique d’Île-de-France, suscite l’enthousiasme mais aussi l’inquiétude. Face au risque d’agressions dans ces cabines exiguës, un député LFI propose des espaces en non-mixité.

Eu égard à la taille des cabines, ça va être commode de trier et de faire des cabines réservées aux hommes, d’autres aux femmes… Et le non binaires, alors, Nadège ? On fait quoi avec ? Et pour les hommes qui violent ds jeunes hommes, on fait quoi  ? On interdit les cabines aux moins de 30 ans ? Et les hommes  qui ont changé de sexe mais qui ont gardé leur  force d’homme (il y en a pas mal dans certaines compétitions sportives, paraît-il…) )

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À partir du 13 décembre prochain, le Câble C1, premier téléphérique urbain d’Île-de-France, reliera Créteil à Villeneuve-Saint-Georges, desservant Limeil-Brévannes et Valenton. Ce projet, porté par Île-de-France Mobilités (IDFM), promet de désenclaver le Val-de-Marne et de faciliter les déplacements. « Ce transport va révolutionner la vie des habitants », assure Christophe Surowiec, chef du projet chez IDFM. Pourtant, l’enthousiasme est terni par des inquiétudes sur la sécurité, notamment pour les femmes, dans ces cabines de dix places.

Le député LFI de Seine-Saint-Denis, Nadège Abomangoli, vice-présidente de l’Assemblée nationale, a jeté un pavé dans la mare. Dans un message posté sur X, liké plus de 35 000 fois, elle qualifie le téléphérique de « nid à agressions sexuelles » et suggère des cabines réservées aux femmes. Cette proposition, bien que controversée, reflète une crainte partagée par de nombreux internautes. « Une femme coincée dans une cabine avec un agresseur, c’est l’angoisse absolue », alerte une usagère sur X. « Pas d’échappatoire, pas de wagon à changer… C’est un piège », renchérit une autre.

Vidéosurveillance et interphones : des garanties suffisantes ?

Face à ces préoccupations, IDFM se veut rassurant. Les cabines seront équipées d’une vidéosurveillance en temps réel et d’un interphone permettant de contacter le personnel d’exploitation. « La sécurité des voyageurs est une priorité, que ce soit à l’embarquement, au débarquement ou pendant le trajet », insiste l’autorité des transports. Des agents seront également présents dans les stations pour superviser le fonctionnement… Source Frontières

La question qui tue :  « Pourquoi pour les télécabines de ski, cela ne pose-t-il aucun problème ? Curieux… 

Pécresse, très fière de son bébé, ces cabines, essaie de s’en tirer en se moquant de la LFI. Elle n’a pas tort mais ça ne résout pas le problème

Valérie Pécresse a cherché à faire taire les critiques ce mardi, en apportant une réponse cinglante au tweet viral de Nadège Abomangoli. « Je suis consternée… la LFI découvre les problèmes de sécurité dans les transports, pas nous ! », a écrit la présidente de la région Île-de-France, assurant que « toutes les cabines du téléphérique [C1] seront vidéoprotégées ». Source

Il faut reconnaître que c’est un beau projet, les économies de temps sur le trajet sont faramineuses… mais sauf à installer un policier armé et autorisé à tirer dans chaque cabine, je ne vois pas comment on pourra éviter les prédateurs sexuels.

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