Hallucinant. Terrifiant. Révoltant.
Ainsi, si on sait que le Bois de Boulogne est un endroit privilégiés de rencontres sexuelles diverses et variées, on découvre, en sus, que l’insécurité et le viol y règnent en maître.
Reste-t-il un endroit, en France, où l’on peut laisser nos enfants, nos ados, nos jeunes vivre leur vie en sécurité ?
Qu’avons-nous fait pour avoir tant de tarés sur notre territoire ? Nos enfants sont-ils voués à devenir soit des victimes soit des tarés drogués obsédés par le sexe ?
Jeanne La Pucelle
Reconnaissance et mise en garde. De nombreuses personnes se sont rendues sur la stèle de Philippine, étudiante de 19 ans tuée par un individu sous OQTF en septembre 2024, érigée la semaine dernière dans le bois de Boulogne, à l’endroit où son corps a été retrouvé. Si les parents de la jeune femme sont touchés par ces élans de solidarité, ils alertent sur le climat d’insécurité qui continue de régner dans le parc du 16e arrondissement de Paris.
« Il ne faut pas que des personnes y aillent seules, car c’est potentiellement dangereux », ont-ils alerté auprès du Figaro. Preuve en est : deux journalistes de BFMTV ont été spectateurs d’une agression sexuelle, vendredi 19 septembre, alors qu’ils tournaient un reportage… sur la sécurité dans le bois de Boulogne. Un homme, entièrement nu, est sorti du bois et a agrippé une femme par-derrière, avant d’essayer de la traîner dans les feuillages.
« Cette enfant, Philippine, aurait pu être mon enfant. Aujourd’hui, il faut se méfier partout »
Quelques heures seulement après l’inauguration de la stèle sombre portant le prénom de la victime et l’inscription « Pensez à elle et qu’elle vous protège », des personnes étaient venues se recueillir. « Je fais mon jogging ici de temps en temps, je me suis dit que c’était une bonne chose de venir ici quelques secondes. Cette enfant, Philippine, aurait pu être mon enfant. Aujourd’hui, il faut se méfier partout », avait confié William au micro d’Europe 1.
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