Faut-il pardonner à l’assassin de Charlie Kirk ?

Donald Trump et Erika Kirk, la veuve de Charlie Kirk, ont participé à la cérémonie commémorative en souvenir de l’activiste assassiné

Ceci n’est pas un article « thèse, antithèse, synthèse »….

1) Christianisme oblige : la veuve de Charlie Kirk a refusé la haine et a dit qu’elle pardonnait à l’assassin.

2) Donald Trump a déclaré que lui, contrairement à Kirk, haïssait ses ennemis.

3) Stratégiquement, c’est ce qu’il fallait faire pour ébranler les chrétiens qui votent démocrate,  sans abandonner lâchement le combat, sans que Trump, qui avait déclaré vouloir la peine de mort pour l’assassin, ne se renie.

OUI, c’est du « en même temps » et en général, je déteste ça, mais là, je suis pour : la haine, c’est fatiguant, il ne faut pas l’infliger à nos propres corps trop longtemps.

Abattre l’ennemi assassin, sans le haïr, c’est possible. L’important, c’est de l’abattre. 

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1 Commentaire

  1. Bonjour Agathe, malgré que je suis né dans une famille catholique, je n’ai jamais adhéré à ses dogmes, je préféré, de loin, haïr mes ennemis que de les abattre sans haine! Cela peut paraître paradoxal, mais je préfère les voir souffrir toute leur vie, plutôt que de passer un mauvais moment et être en paix ensuite. Pour une autre raison, je ne puis accepter cette théorie, car les escadrons de la mort nazis eliminaient les gens d’une manière industrielle sans haine et sans sentiment cela les rendaient ils meilleurs aux yeux des chrétiens ?