L’Amérique est toujours sous le choc de l’assassinat de Charlie Kirk et vit une ambiance de chasse aux sorcières. Des dizaines d’Américains ont été licenciés pour avoir critiqué sur les réseaux sociaux l’influenceur conservateur.
Ils s’étaient réjouis de l’assassinat de Charlie Kirk, ou avaient simplement refusé de s’en attrister. Pour un commentaire sur les réseaux sociaux, ils ont été licenciés du jour au lendemain. « J’ai répondu à quelqu’un en disant que Kirk était en train de brûler en ce moment, car je pense que ce n’était pas une très bonne personne. Le ministère du Travail m’a viré pour ce commentaire sur Instagram, même si c’était un compte privé », raconte un internaute.
Une chasse à l’homme
Et il est loin d’être le seul. Depuis l’assassinat de l’activiste conservateur Charlie Kirk, une chasse à l’homme s’est organisée sur Internet, menée par des militants républicains. Des dizaines de personnes ont ainsi été renvoyées : pompiers, employés de compagnies aériennes, enseignants. Un exemple a fait la une, celui d’un professeur. Elle avait simplement posté un message : « La haine appelle la haine. Zéro compassion. » Cela lui a valu une vague de harcèlement sur Internet, puis son licenciement pour atteinte à la réputation de l’université.
Et Donald Trump lui-même a encouragé cette chasse aux sorcières. « On cherche des noms. On n’aime pas ça. Personne ne se réjouit de la mort des gens. Ce sont des gens malades, dérangés », déclare le Président des États-Unis. Cela va encore plus loin. Certains militants vont jusqu’à filmer des employés pour pouvoir les dénoncer. Bien qu’ils fassent polémique, ces licenciements sont a priori légaux, car aux États-Unis, un employeur peut renvoyer un salarié à n’importe quel moment et pour à peu près n’importe quelle raison.
J’entends déjà nos bons Samaritains pleurer, hurler, crier au fascisme, à la dictature, à l’injustice, à la disparition de la liberté, se lamenter de l’élection de Trump… Sauf que ce sont sans doute les mêmes qui, lorsque des employés du slip français se déguisent en singe applaudissent à leur licenciement. Les mêmes aussi sans doute qui trouvent normal qu’un restaurateur soit traîné au tribunal et obligé de fermer son établissement pour avoir refusé une voilée.
Christine Tasin
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En France, nous avons les mêmes salopards, qui plus est, même en étant six pieds sous terre , continuent de nous faire chier ?
Il est honteux de se réjouir de la mort d’un homme, mais le fait de ne pas éprouver de peine où de ne pas avoir de compassion relève de la liberté d’expression et se faire licencier pour avoir simplement parler de ses sentiments relève de la dictature! Pas la peine de critiquer ses adversaires qui censurent le droit d’expression pour faire de même. Cela ressemble à des conflits de cour de récréation d’enfants immatures. J’en connais plus d’un ici qui sauterait de joie si il arrivait un accident à certains hommes politiques, que diriez vous si on les viraient pour cela?
A vivre avec les loups on devient un loup. Les nôtres ne peuvent plus bouger une oreille sans se retrouver montrés du doigt, virés, condamnés… il est légitime que la peur change de camp. C’est toujours le cas lors des révolutions et nous vivons une époque de révolution. Si nous ne sommes pas aussi radicaux avec les salauds de l’autre camp qu’eux avec nous, nous serons montrés du doigt, condamnés, emprisonnés jusqu’à ce qu’il n’y ait plus que les autres au pouvoir interdisant toute pensée, toute action , toute liberté
Je me réjouirai mille fois de la mort du micron et de tous les parasites qui ont tué la France. Et comme le dit Christine, les gauchistes font ça avec les patriotes depuis bien plus longtemps.
Oui, j’en conviens Julie et Christine, mais comment montrer à ceux qui ne sont pas gauchistes ni patriotes que ces derniers sont bien plus dignes et justes que ces immondes dictateurs mondialistes ? Si nous ne valons pas mieux, comment convaincre les indecis? C’est une question sur laquelle il parait juste de s’interroger en voyant un peut plus loin que la maxime biblique « oeil pour oeil ». Bonne journée à vous.
Peine de mort légitime requise contre l’assassin, nos journaleux se mobilisent en faveur du tueur inversant totalement les valeurs de l’humanité qu’ils prétendent défendre, pauvres cons qui soutiennent l’abolition et « en même temps » se mobilisent pour ceux qui continuent à l’appliquer illégalement.