Les avocats d’extrême-gauche font pression contre Frontières lors de son procès

Hier, une fois de plus la gauche ou plutôt les avocats gauchistes ont voulu se farcir Frontières, le discréditer et l’empêcher de continuer l’excellent, que dis-je l’extraordinaire boulot du jeune média dirigé par Eric Tegnér. C’était l’ouverture d’un procès d’avocats contre Frontières.

Une fois de plus la gauche dans toute sa splendeur prouve qu’elle hait la liberté d’expression et qu’elle est prête à tout pour l’empêcher l’interdire.

Tout a commencé quand 3 avocats spécialisés dans La Défense des migrants, Jules Emeline, Borie Adam et Clémence Lachkar ont été mis en cause par Frontières qui les accuse de tirer leur fortune de La Défense des migrants et donc… de l’argent du contribuable, puisque les migrants bénéficient de la gratuité  via l’aide judiciaire… c’est le peuple de France qui paye ! Pour se défendre les baveux disent avoir une cible sur le dos à cause de Frontières… A qui veulent-ils faire croire qu’ils seraient de nouveaux Samuel Paty, eux qui marchent main dans la main avec les islamos de tout poil qu’ils défendent ? 

Jules Laurens, rédacteur en chef  de Frontières : trois avocats militants avaient diffusé les moyens de les contacter en cas d’émeutes, sous une forme presque incitative, laissant entendre que ceux qui commettraient des délits ou des dégradations seraient rapidement défendus et libérés. Ils font partie de ce que certains appellent la « legal team » qui constitue en un regroupement informel et ponctuel d’avocats dont les coordonnées circulent afin que les manifestants puissent être accompagnés judiciairement. En tant que journalistes, nous avons relayé cette information déjà publique. Car vous avez le droit de savoir ce qui ce passe.

Aujourd’hui, ils tentent de justifier leurs actes en affirmant que ces messages s’adressaient aux émeutiers… et non aux journalistes. Comme si l’on pouvait empêcher les journalistes de faire leur travail. L’enjeu de ce procès est simple : pouvons-nous continuer à enquêter sur les avocats et informer des pratiques militantes de ces derniers ? De notre côté nous ne lâcherons rien.

 

Mercredi 3 septembre, s’est ouvert à Marseille le procès d’avocats contre Frontières. Avant l’audience, des militants d’extrême gauche ont cherché à intimider nos journalistes.

L’extrême gauche tente d’intimider des journalistes. Ce mercredi 3 septembre, s’est ouvert le procès opposant Frontières à des avocats à Marseille (Bouches-du-Rhône). Trois membres de cette profession ont déposé plainte contre notre média pour « doxxing », une pratique – heureusement illégale – consistant à dévoiler publiquement les informations personnelles (comme une adresse ou un numéro de téléphone privé) de quelqu’un. En réalité, Frontières a simplement mis en avant des informations publiques, c’est-à-dire l’engagement de ces avocats à défendre des migrants clandestins dans notre magazine trimestriel de janvier dernier. Source Frontières 

C’est  notre avocat, Frédéric Pichon, qui défend Frontières.

 

C’est apparemment ce que les gauchos appellent « la démocratie »… en n’ayant que ce mot à la bouche !!!! On pourrait en rire, hélas ils pourrissent la vie de tout le monde, font le maximum pour que la liberté d’expression disparaisse dans notre pays et qu’un régime totalitaire (dirigé par Mélenchon ?) s’installe, qui imposera très vite la charia, histoire de faire disparaître définitivement notre civilisation nos valeurs nos libertés. 

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4 Commentaires

  1. Ces avocats sont la honte de la profession. Dans une vraie république, ils finiraient derrière les barreaux. Vu le laxisme de la nôtre, ils prospèrent.