LFI : 2 tyrans stalinoïdes, quelques centaines de bobos, des voyous de cités et un électorat coranique

 

La seule force  qui demeure à Gauche est la LFI, c’est la seule force que les patriotes  vont trouver contre eux.

Mais qu’est-ce que la LFI ?

Les nombreux livres qui ont été consacrés à ce « machin », dont le dernier, « la Meute », permettent de se faire une idée claire sur le sujet.

La LFI   donne  les apparences d’une organisation du « mouvement  ouvrier » : la réalité n’est pas du tout celle-là …

La vérité est même carrément abjecte, le tableau d’ensemble est sinistre.

LFI n’est pas un parti démocratique, c’est le premier point à bien retenir.

LFI est juridiquement constituée de seulement trois personnes  : Panot, Bompard et un trésorier.

Il n’y a pas de carte d’adhérent à LFI.

En fait, tout en haut de la hiérarchie, il y a deux tyrans stalinoïdes :  Mélenchon  lui-même et sa maîtresse,  Sophia Chikirou.

La personnalité de Mélenchon est bien connue : un mégalomane, cultivé certes, brillant  orateur aussi, qui  enrôle tous ses militants pour son seul  profit moral et matériel, comme des robots, comme des esclaves même.

Sophia Chikirou est, elle,  décrite comme  une femme cynique et sans scrupule aucun, qui amasse une vraie petite fortune personnelle en surexploitant ses militants, sous statut d’auto-entrepreneurs, en surfacturant leurs prestations , en empochant, en retour,  les dotations légales  de l’Etat à LFI.

Sous les deux tyrans,  il y a les cadres ;  des  bobos parisiens des quartiers centraux de Paris (Vème, VIème, VIIème, Xème, XIème  arrondissements).

Leur profil est  uniforme, des clones, car la LFI est régulièrement purgée pour maintenir un moule unique.

Anciens de « Sciences Po »,  en général, trentenaires, ils doivent tout ce qu’ils sont au tyran Mélenchon et ne sont donc pas du  tout  prêts à sortir de la ligne de fer qu’il impose.

Pas du tout prêts à le contester,  ceux qui le font sont virés, comme des malpropres,  sous les injures « classiques » : « racistes », « sionistes » ...

Car, encore une fois, il n’y a pas de carte d’adhérent à LFI, aucun organe où contester la ligne politique  et  mettre en minorité la direction.

Ces chefs parisiens de la LFI, se réclamant  du « mouvement ouvrier »,  ne fréquentent, en fait, jamais, un ouvrier, un paysan, un petit employé

Ils vivent, entre eux, dans leur bulle parisienne  et autoconfirment leur vision du monde par l’interaction  unique et permanente avec  leurs copains-clones -parisiens de la LFI.

La seule connexion avec les classes populaires de ces gens est celle qu’ils entretiennent  avec des voyous des cités de l’immigration .

Une dizaine de leurs députés est dans cette situation   de proche contact avec la voyoucratie..

La figure la plus emblématique  de ce  cas de figure reste  Sebastien Delogu, en cheville avec les voyous des cités  de Marseille.

Marseille dont, Deloglu,  espère  bien que les  voyous en question, caïds  dans les cités de l’immigration,  en feront le prochain  maire.

Et c’est là qu’on trouve la réponse à la question que tout le monde se pose :

« Comment une telle imposture politique faite de tyrannie, de détournements de fonds, de voyoucratie peut-elle tenir la route  dans la vie politique française ? »

La réponse est très simple : l’immigration musulmane.

Mélenchon l’explique lui-même :

« 80% des immigrés (des 30% seulement  qui  votent EFFECTIVEMENT  et tout le problème est là !) votent pour moi ! ».

L’ignoble traître Macron, il faut le dire et le redire est le meilleur complice de Mélenchon.

Macron   fait  entrer 500 000 immigrés par an, il naturalise 100 000 immigrés par an : Jackpot !  80 000  nouveaux électeurs/an  pour Mélenchon !!

Soit 450  000 électeurs, incorporés, contre la volonté majoritaire des Français,  au corps électoral francais, livrés  sur un plateau  à  Mélenchon, en fait, durant les huit ans de la  mandature de Macron.

(Rappelons  qu’il a  manqué 400 000 voix à Mélenchon pour être au deuxième tour en 2022 en devançant Marine).

Dernière question : « Pourquoi les musulmans votent-ils Mélenchon ? ».

La réponse est, là aussi,  simple : pour les chefs musulmans,  Mélenchon est la première étape vers l’instauration de leur théocratie en France, un  projet, dont ils rêvent depuis 1400 ans (Et leur échec à Poitiers : 732).

Comme l’explique Elias d’Imzalène, un proche de LFI :

« Il nous faut nos mosquées, nos hôpitaux, nos écoles, nos mairies  etc etc à nous« 

Je voudrais souligner,  avec ce qui suit, la plus grande tromperie des chefs de la LFI, peut-être n’en sont-ils, même, pas tous conscients …

En apparence, les Insoumis sont les défenseurs de plus de « justice » sociale  pour leurs électeurs musulmans, dans la pure tradition socialiste française.

Mais, si on lit les textes  traditionnels   musulmans, le mot « justice » a une signification très particulière  chez les musulmans, ancrée depuis toujours  dans la longue psyché musulmane.

Il ne s’agit pas du tout de « justice », d’égalité sociale pour TOUS, au sens du socialisme classique, non pas du tout !!

Il s’agit d’exiger, dans les faits, le transfert des biens, des ressources financières  des mécréants à destination EXCLUSIVE des musulmans.

Ainsi, la doctrine musulmane nommera  « justice » la possession de biens par un riche musulman ou  les transferts sociaux  vers un riche musulman, venus de la poche d’un mécréant.

Et  « injustice » la possession de biens par un pauvre non-musulman ou les transferts sociaux vers un pauvre non-musulman, « mécréant »..

C’est le sens  profond de la phrase de Bouteldja que je cite  en substance :

« Même le plus sympa des sympas Blancs devra payer !! »

En clair, dans le « socialisme coranique » à venir  de « la prise de guerre » (Bouteldja) Mélenchon,   l’employé non-musulman , l’ouvrier non-musulman, pourra aller se torcher …

Toute l’escroquerie de la LFI réside  dans cette gigantesque  ambiguïté dans le sens du mot « justice ».

En apparence, en conservant le sens classique du mot « justice,  il s’agit d’une continuation du socialisme français.

Mais pas du tout.  Si l’on retient  le sens du mot  « justice », tel qu’il est compris par l’islam, depuis toujours, il s’agit de transférer massivement les biens des non-musulmans aux musulmans.

A  l’image du  » beau modèle à imiter » (sic), Mahomet qui était un pillard et qui est resté, fondamentalement, un pillard, toute sa vie, jusqu’à sa mort (632).

Le programme LFI, c’est comme le Canada Dry, ça a l’apparence du vieux  socialisme français, mais c’est, dans les faits, de la pure doctrine coranique, de la pure  théocratie musulmane, de par les exigences de son massif électorat  musulman..

Antiislam

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4 Commentaires

  1. Votre analyse est pertinente.
    Pour la civilisation judéochrétienne la justice c’est l’équité entre tous les individus quelle que soit leur religion.
    Pour les musulmans, la justice est l’application des préceptes coraniques, soit la domination des musulmans et le tribut que doivent payer les mécréants.