Inde : un musulman poignarde à mort un camarade de classe hindou…

Le garçon hindou tué par un élève musulman

Inde : un musulman poignarde à mort un camarade de classe hindou…

 « Préparez pour eux tout ce que vous pouvez en force et en chevaux de guerre, afin que par eux vous puissiez effrayer l’ennemi d’Allah et le vôtre… » (Coran 8:60)

Hindu Post

Un incident  tragique  s’est produit à l’école adventiste du septième jour d’Ahmedabad : un élève de seconde, Nayan, de la communauté sindhi, a été mortellement poignardé par un élève de quatrième, de la communauté musulmane. L’agression a eu lieu après une dispute entre les deux élèves, qui a dégénéré en affrontement mortel. L’incident a non seulement coûté la vie à un jeune élève, mais a également suscité une vague d’indignation, entraînant des manifestations de masse et des débats houleux sur les tensions intercommunautaires au sein de l’école.

L’altercation et le coup de couteau

Selon  les déclarations  de la police et les premières investigations, une altercation a éclaté entre les deux étudiants le mardi 19 août 2025. Au cours de la dispute, le plus jeune a attaqué Nayan avec un couteau, le blessant grièvement. Malgré des soins médicaux immédiats, la victime a succombé à ses blessures. L’intervention rapide de la police a conduit à l’arrestation du mineur accusé et à l’enregistrement immédiat d’un premier rapport d’enquête.

Confession et preuve numérique

Les enquêteurs  ont découvert  une conversation  WhatsApp  entre l’accusé et son ami, dans laquelle il a avoué l’agression. Dans cette conversation, l’accusé a affiché une absence totale de remords, déclarant à son ami : « Laisse tomber. Ce qui s’est passé est arrivé. » La conversation témoignait d’une désinvolture glaçante face au crime et de l’ordre de l’ami de « passer sous silence » et de « supprimer ces conversations ». Ce dernier a également exhorté l’accusé à la prudence et à ne pas évoquer l’incident sur la conversation, suggérant ainsi une conscience de la gravité et des potentielles implications juridiques de ses actes.

Somalie : une mère chrétienne et son bébé enfermés dans une pièce depuis  trois semaines par crainte d’attaques de la part de leurs proches musulmans…

Illustration d’archive : les chrétiens de Somalie contraints à la clandestinité

La peine de mort pour apostasie fait partie intégrante de la loi islamique. Elle est fondée sur le Coran : «S’ils se détournent, saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez. Et ne prenez parmi eux ni allié ni secoureur. » (Coran 4:89)

Un hadith rapporte que Mahomet a dit : « Quiconque a changé de religion, tuez-le » (Boukhari 9.84.57).

Morning Star News

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Une mère chrétienne en Somalie est enfermée dans une pièce avec sa fille en bas âge depuis le 6 août après que des proches musulmans l’ont relogée après une précédente évasion, ont indiqué des sources.

« Mon enfant a beaucoup maigri faute de nourriture », a confié Fatuma Hassan, 28 ans, à son mari par téléphone depuis la ville d’Afgooye, dans la région du Bas-Shabelle en Somalie. « Mon enfant n’est pas désiré par la famille, qui dit :

« Jetez ce bâtard né d’un infidèle ! On veut vous récupérer, mais pas l’enfant qui n’a aucun droit à la vie. »

Je pleure toujours mon bébé et j’espère qu’un jour j’échapperai à cette terrible épreuve pour retrouver la paix et la liberté. »

Bien qu’Hassan soit issue d’une famille royale, depuis qu’elle a accepté le Christ, elle vit désormais dans le danger et des conditions inhumaines alors qu’elle soigne les blessures causées par ses proches qui la battent, ont indiqué des sources.

« Ma famille et mes proches ont juré qu’ils ne me permettraient pas de voir le soleil tant que je n’aurai pas renoncé à ma foi chrétienne et ne serai pas revenue à l’islam », a déclaré Hassan à Morning Star News.

« Mais je prie pour que Dieu intervienne afin que je puisse m’échapper et retrouver mon mari. J’ai d’autant plus besoin des prières des chrétiens. »…

Elle est restée cachée de sa famille pendant plus d’un an. En juin, Hassan a révélé sa localisation à un proche, et le 30 juillet, cette fois avec son bébé d’un an dans les bras, elle a croisé ce même proche sur un marché. Ce dernier a informé d’autres proches musulmans.

Des proches l’ont surveillée et ont appris qu’elle avait un mari chrétien, six d’entre eux se sont rendus au domicile d’Hassan le 6 août, arrivant à 18 heures.

Hassan a demandé à son mari de s’enfermer dans la chambre, et ses proches musulmans sont entrés silencieusement dans la maison. Ils ont commencé à l’interroger sur son absence de plus d’un an et sur le sort de son mari, a-t-elle dit. Hassan n’a pas répondu.

Un membre de sa famille l’a giflée tandis qu’un autre s’est précipité dehors, est revenu avec un bâton et l’a battue.

« Ma femme s’est mise à crier », a raconté son mari à Morning Star News. « Je me suis échappé par la lucarne arrière. Trois jours plus tard, ma femme m’a appelé pour me dire qu’elle était de retour parmi les siens, mais enfermée dans une pièce sombre. »…

La peine de mort pour apostasie fait partie du droit islamique, selon les principales écoles de jurisprudence islamique. Al-Shabaab, un groupe extrémiste islamique somalien, est allié à Al-Qaïda et adhère à cet enseignement.

Les souffrances d’Hassan illustrent la persécution des chrétiens sous le joug de l’islam : des mères arrachées à leurs enfants, des convertis battus jusqu’à la soumission, et la foi elle-même traitée comme un crime passible de la peine de mort. La Somalie n’est pas seulement hostile : elle est en première ligne dans la guerre islamique visant à éradiquer le christianisme.

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