Chretiens, Juifs et musulmans dans Al-Andalus

En complément des articles de Juvénal sur les ouvrages de Sylvain Gouguenheim ete Sérafin Fanjul :https://resistancerepublicaine.com/2025/08/22/urgent-2-ouvrages-demontrant-labsence-de-lislam-dans-notre-culture-et-nos-fondamentaux/, un petit rappel sur un ouvrage et passionnant et majeur :

Chrétiens, Juifs, et musulmans  dans Al Andalous de Dario Fernandez-Morera 
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Universitaires, journalistes et hommes politiques, tous nous présentent « A l-Andalus », l’Espagne sous domination musulmane, comme un paradis multiculturel où musulmans, chrétiens et juifs vivaient en harmonie. Ce conte de fées est un mythe. Dans Le mensonge d’al-Andalus, un ouvrage décapant, l’historien Darío Fernández-Morera révèle la réalité de l’«Espagne arabo-musulmane», à partir de sources volontairement ignorées et de récentes découvertes archéologiques. Ce prétendu paradis de la coexistence heureuse a commencé avec la conquête de l’Espagne par le califat islamique.
Les armées de l’islam, composées de Berbères incultes, détruisirent un Royaume Visigoth qui avait conservé l’héritage de la culture classique après la chute de l’Empire romain d’occident, et dont le niveau de civilisation était largement supérieur.
Loin d’être un espace de tolérance, l’«Espagne musulmane » fut le lieu d’une régression culturelle dans tous les domaines de la vie. Chrétiens et juifs y furent marginalisés et opprimés par des autocrates religieux. Considérés comme subalternes dans une société hiérarchisée, ils furent réduits au rang de dhimmis, et eurent le choix que les gangsters donnent à leurs victimes : payer pour être protégés, ou disparaître. Tandis que politiciens et idéologues continuent de célébrer l’«Espagne musulmane» pour son « multiculturalisme » et sa « diversité », Darío Fernández-Morera montre que cette construction politiquement utile est une falsification de l’histoire.

Biographie de l’auteur

Dario Fernández-Morera est professeur au département d’espagnol et de portugais de l’Université Nortwestern (Illinois). Docteur de l’Université Harvard, ancien membre du Conseil national des Etats-Unis pour le développement des humanités, il est l’auteur de nombreux articles et de livres érudits sur l' »Espagne musulmane », le Siècle d’or, la rencontre de l’Europe et des amérindiens et l’oeuvre des grandes figures de la littérature classique espagnole. Connu pour ses travaux académiques, il a été découvert par le grand public américain à l’occasion du succès retentissant de la version anglaise de ce livre : The Myth of the Andalusian Paradise. Muslims, Christians, and Jews under Islamic Rule in Medieval Spain (2016).

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2 Commentaires

  1. Les Almoravides menés par Youssef ibn Tachfin sont appelés en renfort par les émirs devant l’armée d’Alphonse VI de Castille, ils parviennent à mettre celui-ci en échec, mais prônent un islam bien plus strict. Quelques Juifs parviennent encore à accéder à de hautes fonctions sous le règne d’Ali ben Youssef, à l’image de Salomon ibn al-Mu’allem, Abraham ibn Kamnial, Abu Ishaq ibn Muhajar, et Salomon ibn Farissol (lequel meurt lors d’émeutes en 1108).