Une jeune fille de 15 ans  se fait  violer par ses maîtres musulmans : « J’ai juré à Allah de rester »

 

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Nos esclaves italiennes

►Une jeune fille de 15 ans  se fait  violer par ses maîtres musulmans…

Voxnews

« Je sais, je ne peux pas vivre ainsi, mais je ne peux pas le quitter. Je l’ai juré à Allah ».

Turin, l’enfance violée par l’islamisation : assez d’immigration islamique maintenant !

La tragédie de Farh montre que l’italie doit fermer ses portes à l’islam avant qu’il ne soit trop tard.

L’histoire de Farh, 15 ans, violée, réduite en esclavage et contrainte à deux avortements  par un gang de jeunes islamiques, n’est pas un cas  isolé.

C’est le dernier maillon d’une chaîne d’horreurs qui étrangle notre civilisation. Pendant que les politiciens parlent de « dialogue » et d’« intégration », nos rues se transforment en théâtres de la charia sauvage. L’islamisation forcée de l’Italie doit cesser aujourd’hui !

La Stampa

À 15 ans, esclave d’un gang de mineurs

Elle s’est enfuie d’un centre pour mineurs dans la région d’Asti. « J’ai fait deux avortements »

Elle se fait appeler Farh, mais ce n’est pas son vrai nom. Elle dit à tout le monde qu’elle est majeure, mais elle a 15 ans.

Une vie de violence

Depuis des mois, elle fuit tout, mais sur son chemin, elle ne rencontre que de la violence. Elle l’a connue entre les murs de sa maison, dans une riche commune lombarde, sous la forme d’abus de la part de ses parents. Elle l’a rencontrée il y a un an dans la communauté d’accueil, dans les collines d’Asti, où elle avait été amenée par les assistants sociaux afin qu’elle puisse bénéficier d’un peu de compréhension et renouer avec sa vie.

Esclave de jeunes dealers

« Au bout d’un certain temps, je me suis enfuie parce que les éducateurs me traitaient mal », a-t-elle raconté aux carabiniers. Puis elle a retrouvé toute sa férocité cachée au milieu d’un groupe de jeunes d’origine maghrébine, membres d’un gang de jeunes dealers, auxquels elle s’était liée pour survivre, alors qu’elle errait dans les quartiers de Turin.

Louis Devedeux (1820-1874) – La présentation de l’esclave blanche

Traitée comme une esclave, maltraitée, deux avortements.

Sa vie pourrait sembler fantomatique, comme celles que l’on croise chaque jour à la sortie de la gare de Turin, parmi les parterres de fleurs où bivouaquent les sans-abri et les très jeunes dealers en attente de clients. C’est là, il y a quelques jours, que Farh a été trouvée par une patrouille de la police municipale de Turin. Elle était en compagnie de quelques jeunes d’origine égyptienne, déjà connus des forces de l’ordre. Les militaires les ont arrêtés par hasard, alors qu’ils recherchaient un petit groupe de jeunes voleurs qui venait de commettre un cambriolage dans un magasin de la via Nizza, non loin de Porta Nuova.

« Je m’appelle Farh et j’ai 19 ans », a-t-elle déclaré, sans montrer de papiers, cachant son vrai nom. Emmenée à la caserne pour les vérifications d’usage, sa véritable identité a été révélée, ainsi qu’un avis de recherche. Ayant fugué de chez elle en 2024, elle a demandé l’aide des services sociaux de Lombardie. « Mes parents sont des monstres ».

Dans le centre d’accueil d’Asti

De là, elle a été emmenée dans un centre d’accueil près d’Asti, une structure protégée gérée par une coopérative pour mineurs. Il y a quelques mois, elle s’est également enfuie de là. « Je ne voulais plus rester là-bas. Je n’aimais pas les éducateurs. C’est à cause d’eux que je me suis enfuie ». Farh a rejoint Turin et peu après, elle s’est retrouvée victime d’autres violences. C’est ainsi que le reste de son histoire a été révélé et son récit a été consigné dans plusieurs procès-verbaux, désormais entre les mains des autorités judiciaires.

« Quand je suis arrivée à Turin, je me suis liée à un garçon en faisant une promesse devant Allah. Maintenant, je ne peux plus le quitter. C’est mon petit ami », a-t-elle déclaré aux militaires.

Elle croyait avoir trouvé un sauveur, mais elle est tombée sur un geôlier. Contrainte de vivre dans des logements de fortune, parfois dans de vieilles fermes abandonnées, ou dans de grandes pièces de banlieue transformées en dortoirs. Des déplacements interminables dans la ville. Parfois même en Ligurie, montant et descendant des trains, comme des clandestins, défiant sans cesse les ennuis. Des mineurs qui vivent comme des adultes, entre rituels de gangs de jeunes et petits délits de rue. Un phénomène en pleine expansion.

Mais dans son bref récit, qui a également été révélé en marge d’une autre enquête menée par les carabiniers d’Asti, il semble vraiment que Farh ait été traitée comme une esclave par son petit ami et le reste du groupe.

« J’ai subi des mauvais traitements de la part de mon petit ami et de ses amis. Parfois, ils me frappent dans le dos, me donnent des coups au visage et me privent de nourriture pendant des jours entiers. Je ne peux pas me rebeller, sinon j’aurai des ennuis ».

Mais ce n’est pas tout. « Parfois, quand je me dispute avec mon petit ami, je me coupe les poignets et il reste là, devant moi, à regarder ce que je fais. Je sais, je ne peux pas vivre ainsi, mais je ne peux pas le quitter. Je l’ai juré à Allah ».

La jeune fille a maintenant été confiée au service d’urgence pour mineurs de la municipalité de Turin et accueillie dans une nouvelle communauté. D’autres éducateurs prendront soin d’elle. Son récit est examiné par le procureur des mineurs. Pour que Farh ne reste pas à jamais un fantôme à la sortie de la gare.

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►Funérailles islamiques : l’imam ouvre une maison funéraire pour éviter les Italiens impurs…

Ils créent des sociétés parallèles. L’immigration islamique ne peut être intégrée ; elle doit être éliminée.

L’islamisation de l’Italie se poursuit sans relâche : on voit désormais apparaître des pompes funèbres halal dirigées par des imams.

L’Italie poursuit sa progression spectaculaire vers l’islamisation, et le dernier signe alarmant vient de Vénétie, où un imam a ouvert une maison funéraire halal, dédiée exclusivement aux défunts musulmans.

La raison ? Les corps des musulmans ne peuvent être touchés par des mains « impures », c’est-à-dire celles des Italiens non musulmans.

Un service « réservé aux musulmans »

L’agence « Al Rahma » (La Misericordia), dirigée par l’imam Rachid Hamdi, a été inaugurée à Adria, dans la province de Rovigo, dans le but de gérer tous les aspects rituels et bureaucratiques des funérailles islamiques.

Selon l’imam Rachid Hamdi, les pompes funèbres italiennes traditionnelles ne sont pas en mesure de garantir le respect des procédures islamiques, qui comprennent le lavage rituel du corps, l’enveloppement dans un linceul blanc et l’enterrement sans cercueil, le visage du défunt tourné vers La Mecque.

Mais il y a plus : l’imam a souligné que « la communauté musulmane a besoin de quelqu’un pour l’aider dans la vie et dans la mort », insinuant que les Italiens, considérés comme « impurs », ne sont pas dignes de prendre soin du corps des croyants musulmans.

Le séparatisme jusque dans la mort

Alors que les communautés musulmanes en Italie ont déjà tendance à vivre séparément de leur vivant, avec des écoles, des commerces et des lieux de culte dédiés, cette division s’étend désormais jusqu’à la mort. Cette tendance inquiétante démontre l’échec de l’intégration et l’émergence d’une société parallèle, avec des règles et des services exclusivement réservés aux musulmans.

Et tandis que de nombreux pays européens discutent de la limitation de l’extrémisme religieux, en Italie, on laisse même la gestion des défunts devenir une affaire confessionnelle, avec le risque de créer de nouvelles divisions sociales.

Où s’arrêtera cette dérive ?

La question surgit spontanément : jusqu’où ira l’islamisation de notre pays ? Des cantines scolaires halal aux horaires séparés des piscines, en passant par les demandes de tribunaux de la charia, désormais même la mort devient un moment de division.

Si nous n’intervenons pas avec des politiques claires qui imposent le respect de nos lois et de nos traditions, nous nous retrouverons bientôt à vivre dans une Italie de plus en plus fragmentée, où la coexistence sera remplacée par la soumission à des logiques étrangères à notre culture.

Il est temps de dire assez.

https://ilgiornalepopolare.it/adria-agenzia-funebre-islamica-al-rahma/

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