Merci à Monique B qui nous a signalé ce document de Reporterre à détruire au plus vite et nous a inspiré le titre. Si nos descendants tombaient dessus, dans quelques siècles, ils auraient tellement honte d’avoir peut-être pour ancêtres de tels crétins nuisibles qu’ils se suicideraient.
Tout y est. L’écolo-dinguerie anti-progrès anti-humaniste, l’écriture inclusive (une fois n’est pas coutume, je ne modifie pas l’original afin que vous dégustiez jusqu’à la lie l’abominable poison qui tue en nous l’humanité)., non seulement c’est ridicule, non seulement cela ne sert à rien sauf à compliquer et ralentir la compréhension, mais en outre c’est une insulte faite aux femmes que de les faire passer pour des gamines de 3 ans ayant peur de ne pas être reconnues. En France. En 2025. Quand les mêmes tarés ne voient aucun problème dans le voile des femmes qui se répand dans nos villes et dans l’islam conquérant misogyne, liberticide et criminel.
Je ne copie que le début de l’infâme… Le préambule est grandiose…
[« Sexe et écologie » 1/5] Désir et écologie sont profondément liés. Il faut construire une « société désirante », démontrent les chercheuse et chercheur Myriam Bahaffou et Cy Lecerf Maulpoix. « Être écolo doit devenir un acte d’amour. » Entretien croisé.
C.Tasin. Construire une société désirante ? Depuis que l’homme est sur cette terre justement, il est désirant. c’est son désir qui le pousse à l’amour, à la reproduction, à la construction des pyramides et des cathédrales, à découvrir le feu, à peindre les parois des cavernes, à inventer la roue, la médecine, à aller dans l’espace. Bref, le contraire de ce que sont ces écolos verdâtres qui ne rêvent que de revenir à l’époque des cavernes, quand les hommes traînaient les femmes par les cheveux pour s’accoupler avec elles.
Myriam Bahaffou est chercheuse en philosophie, militante écoféministe et décoloniale. Son dernier essai, Éropolitique (éd. Le Passager clandestin), est sous-titré Écoféminismes, désirs et révolution.
C.Tasin. C’est celui qui le dit qui y est. Etre écolos c’est quelque part avoir la nostalgie du temps où les femmes allaient laver le linge au lavoir, tellement plus écolo que la machine à laver… Il est vrai que la mode des écolos tarés les amène parfois à ne plus se laver au nom du « naturel » et des économies d’eau.
Décoloniale ? Ce sont les mêmes qui trouvent très bien que des millions de musulmans arrivent en Europe en conquérants, conquérants par le ventre des femmes et par les « droits de l’homme » qui deviennent de plus en plus les droits de l’homme musulman et l’absence de droits du non musulman obligé de subir et de laisser la place.
Cy Lecerf Maulpoix est chercheur et auteur, engagé dans des collectifs d’action LGBTQI+ et de justice climatique. Son livre Des Jours et des Rêves (éd. Le Pommier) est consacré à la vie d’Edward Carpenter, un écosocialiste libertaire du XIXe siècle et l’un des premiers penseurs politiques de l’homosexualité.
Action LGBTQI ? comme si la France et les Français, plus que tolérants avec les choix sexuels et amoureux de tous avaient besoin de mettre en bandoulière leurs spécificités sexuelles et de réclamer en leur nom… des avantages indus au nom de l’universelle Déclaration des Droits de l’homme ET du citoyen, pervertie par l’européenne « déclaration des Droits de l’Homme » une imposture.
Reporterre — Vous avez toutes les deux réfléchi aux liens entre sexualité et écologie. En quoi le désir est-il un sujet écologique ?
Myriam Bahaffou — Le désir est une histoire écologique puisqu’il pose la question de comment on veut faire monde ensemble. L’écologie, ça n’est finalement rien d’autre que réveiller et maintenir un tissu de relations désirantes dans le monde, pour faire en sorte qu’elles cohabitent du mieux possible.
Le désir, histoire écologique… Là j’avoue avoir à la fois envie de vomir, de jeter mon ordi par la fenêtre et de prendre le fou rire. Venant de gens souvent crados qui ne se lavent plus ou presque, qui prônent le lavage des vêtements une fois par mois et la disparition des engrais et autres traitements des ennemis de nos récoltes (et donc de notre survie), parler de désir, ça me stupéfie.. Qui pourrait avoir envie de faire l’amour avec ces hystéros-dingues qui puent ?
Être écolo, c’est ainsi considérer que le droit à jouir n’a pas à être circonscrit à une minorité de puissant es, c’est regarder la multiplicité des formes de vie (et j’y inclus évidemment les humain es) comme désirante, dont la société doit encourager du mieux possible la capacité à fleurir, à s’épanouir.
Aimer… que savent-ils de l’amour ces crétins finis qui n’ont que n’anathème et l’exclusion à la bouche ? Le pire que que l’écriture inclusive qui est une insulte à l’Homme, à l’intelligence, à la compréhension est déjà utilisé partout et n’est pratiquement plus interdite.. Rien ne nous sera épargné : le conseil d’Etat dit oui à l’écriture inclusive à la fac !!!
Je vous laisse déguster un tout petit bout de ce qui suit. A ce stade, il n’y a plus rien à faire, plus rien à dire… Sauf à faire en sorte que de vrais patriotes avec du bon sens accèdent au pouvoir et fassent disparaître subventions et postes qui permettent à ces crétins d’exister et de nous pourrir la vie.
Cy Lecerf Maulpoix — Le désir est un sujet écologique en tant que mouvement révélateur d’un monde en crise ; à la fois moteur du système capitaliste actuel, mais aussi force de transformation possible vers un rapport plus écologique au monde.
Désirs et capitalisme se façonnent mutuellement, et c’est donc une lutte constante que de dérouter ces voies du désir, les rendre plus indociles aux différents systèmes et matrices qui les façonne.
M. B. — Oui, le désir n’est pas, de façon inhérente, écologique, ni même « positif » d’ailleurs, il est juste une manière d’être en vie, et la question des modes de production de ce désir, de sa matérialité, est centrale. Dans quel type de société désirante voulons-nous vivre ? Quelles manières de désirer encourage ou interdit-on ? Je crois qu’on pose là des questions brûlantes dans les politiques actuelles, à la fois du côté fasciste, transhumaniste, extractiviste et violent (où le désir d’autorité est omniprésent), mais aussi du côté des résistances, des révolutions, des luttes pour la justice sociale.
La question du désir est partout, et considérer la politique comme un simple jeu d’abstractions qui ne sont pas incorporées est une grave erreur : on fait de la politique par espoir, par vengeance, par frustration, par indignation, par amour.
Dans votre livre, Myriam Bahaffou, vous écrivez que la crise écologique est une crise érotique. Pourquoi ?
M. B. — Je m’intéresse à un versant un peu oublié de l’écoféminisme qui est, comme on le sait, un mouvement qui a interrogé la place du patriarcat dans nos relations au « vivant ». Il l’a beaucoup fait via un angle psychopolitique : pour l’écoféminisme, ce qu’on appelle « crise écologique »relève avant tout d’une « crise émotionnelle » collective, une carence grave en amour et en empathie, ainsi que la généralisation d’un désir de violence, exacerbé par ce que je nomme le désir conquête — posséder, accumuler, annexer, renouveler, que Sayak Valencia a brillamment théorisé dans Capitalisme Gore.
Ainsi, nous faisons pleinement partie d’une culture de la haine du vivant, de la haine du désir quand il sort de ce schéma de possession — une culture nécrophile, dans les mots de Marti Kheel, ou érotophobe, selon ceux de Greta Gaard. Être écolo devient alors un acte d’amour, de réhabilitation du désir envers un monde auquel on tient. Sans ça, ne pas jeter ses papiers par terre, ne pas manger des animaux, prendre soin d’un jardin partagé, n’a aucun sens ; on ne fait pas ces choses parce qu’une règle morale nous l’ordonne, mais parce qu’on a des sentiments pour le monde dans lequel on vit, qu’on en est amoureuxse, qu’il nous excite.
Ramener de l’érotisme dans l’écologie, ça signifie ainsi rappeler qu’on lutte pour une vie de jouissance et pas un simple droit à mener une existence uniforme de consommation, de frustration et de manque. En somme, qu’on souhaite vivre plutôt que survivre, et que nous n’avons aucune raison de laisser le capitalisme ou le patriarcat s’approprier le désir et le plaisir.
[…]
Je vous épargne la suite, car une fois le fou rire passé, on a envie de pleurer sur la gente écolo... qui existe, qui vote, qui récupère des subventions à gogo, qui siège dans tous nos gouvernements, qui est très active à Bruxelles, dans les cours de justice européennes ou internationales, presque autant que les lobbys immigrationnistes et islamiques, c’est dire !
Allez une dernière pour la route… Je ne savais pas qu’il existât des calanques GAY... Quand je vous dis qu’il n’y pas pire ennemi de l’universalité et donc de l’Homme que les écolos...

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Quand on voit la tronche de ces dames de l’écologie, le désir s’évapore aussitôt.
En fait, ces gens sont juste obsédés par le cul. A ce point, c’est une maladie, il faut se soigner.
Ouf ça me faisait vraiment braire de trier mes déchets ménagers, poubelle jaune, bleue rouge, rose, tous ça c’est terminé, mais pas question d’abandonner l’écologie : Baisons!
Il y a quelques dizaines d’années, on aurait invité ces succédanés de femelles délirantes, à faire un séjour dans un établissement psychiatrique. Les électrochocs ou les douches froides ne servent à rien, leur état est permanent et irréversible. Leur discours s’apparente plus au résultat d’une dépersonnalisation et lavage de ceveau effectuée par une secte.