Dans un revirement ironique qui échappera sans doute aux hérauts de la catastrophe écologique, le Groenland a enregistré une accumulation neigeuse massive de deux milliards de tonnes en plein mois d’août, contredisant les prédictions apocalyptiques des médias dominants. Cette donnée, issue du Polar Portal, révèle un bilan de masse de surface positif, rappelant que la nature ne se plie pas toujours aux narratifs convenus.
L’accumulation inattendue : un coup de froid sur les certitudes
Alors que les prophètes du réchauffement nous assènent inlassablement des visions de glaciers en déliquescence, voilà que le 14 août 2025, la calotte glaciaire groenlandaise défie les attentes avec une gain net de masse. La carte du bilan de masse de surface montre des zones de perte marginales, éclipsées par une accumulation significative, estimée à deux gigatonnes de neige fraîche. On pourrait se demander si cette manne hivernale en plein été n’est pas un pied de nez divin aux modélisations climatiques si souvent brandies comme infaillibles.
Two billion tons of new snow fell on Greenland yesterday in the middle of August. You won’t hear this from @CNN @FoxNews or the @guardian https://t.co/Ekp80rlX1spic.twitter.com/huzTyv64MO
— Tony Heller (@TonyClimate) August 15, 2025
Le silence médiatique : une omission calculée
Les grands organes de presse préfèrent ignorer cette nouvelle qui perturberait leur symphonie alarmiste, optant pour un silence assourdissant sur tout ce qui ne cadre pas avec l’agenda du chaos imminent. Pourtant, le graphique comparatif au moyen de la période 1981-2010 illustre une saison 2024-2025 où les gains excèdent les pertes attendues, soulignant la variabilité naturelle du climat plutôt qu’une inexorable fonte anthropique. N’est-ce pas là l’essence même du scepticisme : questionner les dogmes quand les faits les contredisent ?
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Espérons qu’il ne fasse pas trop froid cet hiver car les factures d’énergie ont explosé. Remercions les écologistes qui ont trouvé une méthode révolutionnaire : rendre l’énergie si chère que les gens ne l’utilise qu’avec parcimonie. NB : les riches s’en foutent mais le peuple tire la langue et peine à régler ses factures. Merci la Tondelière et la Rousseau aussi bêtes que méchantes. Deux harpies confites probablement dans la misère sexuelle.