Si j’emploie le terme UERSS pour signifier la débâcle en tous genres, humaine, morale, culturelle, sociologique, économique et politique, c’est pour éviter d’inclure dans ce club de dégénérés les Slovaques et les Hongrois. Ceux-là, font partis du club très fermé des éclairés et/ou réalistes, ou les deux, avec les Allemands de l’Est, qui désapprouvent fermement les décisions suicidaires des autres. L’Irlande, d’après ce que j’ai observé, est incitée par Elon Musk à quitter l’UERSS. C’est un journal en ligne Ukrainien qui croit le savoir.
https://newsukraine.rbc.ua/news/musk-calls-on-ireland-to-quit-the-european-1754098186.html
L’UERSS et l’Angleterre, se sont totalement écarté du dialogue « à hauteur d’œil », jusqu’à adopter une posture unilatérale en faveur de l’Ukraine sans aucun fondement, puisque ce « non-pays » n’a historiquement rien à voir avec la France ou l’Allemagne. S’il est considéré historiquement avec violence contre la Russie par l’Angleterre, cela n’est pas notre affaire. Et pourtant. Une hystérie généralisée s’est emparée de quelques membres de l’UERSS, les plus dégénérés, Allemagne, France et Pologne, qui s’autoproclament le « club des volontaires » pour, sans aucun moyen militaire, sans personnel militaire, continuer une guerre proxi par Ukraine interposée, inaugurée par la CIA John McCain et Victoria Nuland, en 2014 par le coup de Maidan. Je ne reviendrais pas sur l’histoire dans cette chronique.
C’est l’Allemagne qui aurait dû, à la suite de son histoire tragique, proposer son intermédiation diplomatique dans cette crise, parce que c’est à Kiev que se tient ce régime ukronazibanderiste. S’y trouve même une statue de Stepan Bandera et une avenue porte son nom. C’est comme si, à Berlin, il y avait une statue d’Hitler, avec une avenue Adolphe Hitler.
Pour cela, il aurait fallu à la tête de l’Allemagne un vrai chef d’état. Non des Merkel à mi-mandat, des Scholz et Merz.
C’était une chance unique de dire à la face du monde, « nous allons nous racheter de notre passé et désormais tenter de mettre fin à ce conflit historiquement simple à comprendre, mais que les médias de l’occident collectif dégénéré ont contribué à rendre incompréhensible au grand public qui croit dur comme fer, que la Russie est un simple envahisseur qui veut recomposer l’URSS depuis 2022 ». Ces mainstreams ont contribué à détruire ce que les Willy Brand, Helmuth Schmidt et Helmuth Kohl avaient patiemment mis en œuvre, des relations normales avec la Russie. Merkel au début avait aussi de bonnes relations avec le plus grand pays du monde. Énergie oblige. Elle parle russe et Poutine l’Allemand.
Il aurait fallu un homme ou une femme d’état qui mettrait en application la doctrine du grand Otto von Bismarck, que l’Allemagne ne se porte bien, qu’en ayant de bons rapports avec la Russie. Son héritier, Alexander von Bismarck est l’infatigable « go-between » entre l’Allemagne et la Russie. Il tient un programme YouTube avec des Allemands qui résistent au diktat russophobe. Ce qui a couté cher à certains, comme le grand dirigeant et pianiste, Justus Frantz, que j’ai l’honneur de compter parmi mes amis, viré de son propre festival à Schleswig Holstein. Son Fils Konstantin, 20 ans, est de mère russe, grand pianiste lui-même, continue le combat avec intelligence et courage. Konstantin fait preuve d’une maturité époustouflante pour un si jeune garçon. Il vit entre l’Allemagne et la Russie, où il perfectionne son art dans un des meilleurs conservatoires du monde.
Alexander von Bismarck

Helmut Schmidt et Helmut Kohl estimaient que l’on n’a pas besoin de parler à ses amis, mais qu’il est indispensable de parler à ses adversaires ou ennemis. Comme le faisait le général de Gaulle avec la Russie Éternelle, pour finir avec Jacques Chirac, qui entretenait d’excellents rapports avec Vladimir Poutine, qui assistait d’ailleurs à ses funérailles.
Vladimir Poutine aux funérailles de Jacques Chirac
Depuis c’est aussi la débâcle diplomatique en France. La France, qui elle aussi aurait dû jouer son rôle historique de médiateur géopolitique. La diplomatie des deux pays n’existe plus, de sorte que ce sont finalement les grandes puissances que sont les USA et la Russie, devenue première puissance économique d’Europe et 4ème au monde, selon le FMI qui se charge désormais à remplir le vide diplomatique de l’UERSS, soutenus en cela par Viktor Orban et Robert Fico, les résistants aux diktats stupides de l’UERSS et de sa Führerin, qui plastronnait d’un succès formidable d’avoir laissé taxer le POTUS, l’UERSS de 15%, quand il taxait l’Angleterre de 10% et repartait, lui, de son golf privé en Écosse, satisfait d’être imposé à 0% de taxes.
C’est dans ce contexte que s’est tenu ALASKA 2025 que j’ai suivi comme tous les observateurs en direct. Mon impression fut positive. À commencer par l’accueil en Alaska et sa mise en scène très hollywoodienne. Les avions des deux chefs d’états qui se faisaient face, le tapis route entre les deux et une haies d’avions de combat, sans oublier à la descente d’avion du Président Poutine, un tour bruyant d’un bombardier B2, pour signifier que les US sont une puissance mondiale, « mais que nous nous rencontrons à hauteur d’œil quand même … » Si l’on se fait synergologue, on ne peut que se réjouir de l’attitude des deux hommes d’états.
Trump, qui attendait souriant son homologue Russe à la fin du tapis rouge, en applaudissant, souriant, Vladimir Poutine, qui s’avançait vers lui, à pas rapides tout sourire également. Pose sur le podium de ALASKA 2025, puis, de façon surprenante, inhabituelle, le Président Poutine est invité à monter dans « The Beast », c’est ainsi qu’est nommé la voiture ultra blindée de Donald Trump. Ces images aimables des deux leaders font fulminer les dégénérés de l’UERSS qui s’agitent à nouveau dans tous les sens, sans avoir les moyens de leurs colères. Ils n’ont pas de matériel militaire, un personnel militaire tout aussi réduit, des économies en bernes, impopulaires dans leurs pays respectifs et vocifèrent en chœur avec le corrompu drogué, qui n’est même plus président et que les super puissances ont écarté de cette rencontre. Outre qu’ils se posent en ennemis jurés d’une super puissance atomique. Cela dépasse l’entendement.
Une rencontre que je qualifierai de réussie, contrairement à ce que colportent les pressetituées de l’occident collectif dégénéré. Réussie, parce que la rencontre a eu lieu après des années d’interruption relationnelle. Que la prochaine est déjà dans les tuyaux à Moscou. Que l’Ukraine n’a pas été le seul sujet, mais les relations économiques et culturelles, qui inciteront les entreprises US à s’installer là où les Européens ont fait bêtement le vide. Ce qui profitera à la base MAGA et à la Russie bien entendu, quand l’UERSS par la faute de ses zélites sombre dans les crises en tous genres. Le processus est maintenant irréversible. Ils pourront toujours s’époumoner dans le vide, ces dégénérés. Même Lindsey Graham se rapetisse. Il doit faire face à des midterms lui aussi dans son état de Caroline du Nord. Il n’a plus intérêt à la ramener contre la politique de Trump.
En cela, les dégénérés de l’UERSS ont perdu un soutien US de poids, qui est partie intégrante du Deep State. Ils vont tourner en rond ces cons ? Lancer, pour l’Allemagne, un Taurus sur Moscou, ce qui appellera une réponse mortelle pour l’Allemagne par quelques ORESHNIKS bien placés ? Macron ou Starmer, lanceront-t-ils leurs armes atomiques sur la Russie, ce qui automatiquement signifierait la fin du monde ? Que peut faire la Pologne de son côté ? RIEN.
Le Président russe n’avait aucune obligation d’accepter l’invitation de Donald Trump, tant il est gagnant sur le terrain. Fait que nient toujours les dégénérés qui ne cessent de chanter le refrain d’un cesser le feu sans condition. Peut-on imaginer un vainqueur accepter ces imbécilités ? D’ailleurs, ils ne sont même plus pris au sérieux par les deux chefs d’états, Poutine et Trump. Je n’attendais pas d’accord entre les deux hommes. Cela ne peut se faire lors d’une première rencontre, qui soit dit en passant, était très bien organisée. En effet, les deux parties se sont activement rencontrées avant de lancer la rencontre. Je le disais à Christine par sms avant la rencontre, qu’on n’avait rien à attendre de concret. La conclusion de cette rencontre est une déclaration, à mon avis très importante du Président Poutine, que « Si Donald Trump avait été alors Président des États-Unis, jamais cette guerre n’aurait eu lieu. » Voilà qui est de bon augure pour la suite et va dans le sens qu’un futur Prix Nobel de la Paix pourrait lui être attribué.
En attendant, lundi, demain, Zelensky, est convoqué à la Maison Blanche. Trump devrait lui faire entendre de rabaisser son caquet, de suivre la marche positive engagée entre lui et le Président Poutine. Dans le cas contraire, il abandonnerait à son sort le clown drogué et corrompu, en compagnie de ses amis du club des dégénérés, qui ne peuvent pas grand-chose pour lui, à part le couvrir de bons mots et de l’argent des contribuables non consentants que nous sommes. Sans armement, sans industrie, avec une jeunesse qui refusera d’aller mourir pour une crapule, criminelle de guerre qui veut se maintenir au pouvoir jusqu’au dernier Ukrainien. D’ailleurs les dégénérés tout aussi impopulaires dans leurs pays, s’accrochent à cette guerre pour se maintenir au pouvoir en terrorisant leurs populations en essayant de leur faire croire que les Russes vont se trouver incessamment, face à la Porte de Brandenburg et à l’Arc de Triomphe.
Sylvia Bourdon, 17 août 2025
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Quand on voit Van der Layette qui joue au Gross Führer avec les peuples européens et qui souille sa petite culotte devant Trump en le remerciant pour les droits de douane, on comprend mieux la faillite de l’UE sur tous les plans.