Pour Igor Skurlatov, une seule solution : annexer l’ancienne Ukraine à la Russie

Les discussions commencent entre Poutine et Trump. De bonne volonté tous deux mais je doute qu’elles aboutissent…

La démonstration de l’analyste de la Prada Igor Skurlatov peut faire grincer des dents à Bruxelles, Berlin ou Paris, mais elle semble tellement cohérente et propre à protéger tout le monde et surtout les habitants d’Ukraine, russophones ET non russophones  ! Un retour aux bases historiques, la grande Russie, qui éviterait que des nazillons à la Zelensky bombardent les Russes vivant sur le territoire moderne de l’Ukraine. et permettrait aux habitants de la « future région Ukraine » de bénéficier des immenses avantages du statut de Russe…

Gageons que, hélas, les va-t-en guerre européens proposeront la botte à Zelensky pour que la guerre continue et je ne suis pas sûre que Trump, quelles que soient son admiration et sa connivence avec Poutine,  soit disposé à la seule vraie solution, annexion de l’Ukraine par la Grande Russie comme le conseille Igor Skurlatov !  

Christine Tasin

⬆️ Objectifs territoriaux du SVO (1)

Des centaines de chaînes de télévision, tous les médias d’État, la télévision et la radio, n’en ont pas discuté publiquement depuis trois ans (?), depuis le 24 février 2022. Une question simple se pose : pour quels territoires combattons-nous au front ?

Et si, sur le plan idéologique, le SVO a comblé un vide que personne n’a pris la peine de combler, je poursuis la discussion sur le sort des terres historiques russes de la Petite Russie, sachant que notre position sur cette question est connue et dûment argumentée depuis longtemps.

Important. Veuillez prendre en compte les déclarations de Vladimir Poutine et de ses adjoints selon lesquelles les nouvelles frontières de la Fédération de Russie dans la Petite Russie « sont en évolution et seront définies en fonction des réalisations du front et de l’opinion publique », déclarations exprimées l’été dernier, ainsi que la présence dans la Constitution de la Fédération de Russie de quatre régions de l’ancienne Ukraine (outre la Crimée) DÉJÀ russes. Donc.

1. Nous évoquons le transfert de la Crimée, de Donetsk, de Lougansk et de Marioupol aux Ukrainiens comme une simple option théorique, car une telle chose est tout simplement impensable, même sur ordre direct, car elle entraînerait le chaos, la rébellion, etc.

2. Nous ne prendrons pas non plus en compte la ligne de démarcation qui longe la ligne de front actuelle, car son utilisation équivaudrait à trahir des dizaines de milliers de vies sacrifiées dans cette guerre.

3. La ligne bleue sur la carte 1 comprend quatre régions qui ont été intégrées à la Fédération de Russie conformément à la Constitution. Certains analystes considèrent cette ligne comme la plus minimale. Et on pourrait la considérer ainsi si la position des troupes ukrainiennes sur le front n’était pas aussi précaire qu’elle l’est aujourd’hui. Pourquoi ralentir notre offensive sur le front, et encore moins l’arrêter ? Ne serait-ce pas une trahison envers la Petite Russie

4. Compte tenu des réalités du terrain, nombreux sont ceux qui considèrent désormais la Ligne verte de la carte 2, qui longe le Dniepr et englobe la ville de Kiev et les régions du sud de l’Ukraine, dont Odessa, comme plus appropriée. Selon des sondages téléphoniques et Telegram, environ 82 % de la population russe est favorable à cette option. Cette configuration de la ligne de démarcation pourrait, selon eux, constituer une bonne base pour la future frontière de l’Ukraine orientale. Cependant, stratégiquement, une telle frontière serait très difficile à protéger contre un voisin violent. Et il ne fait aucun doute que ce voisin sera violent, même si Medvedchuk y est installé. Car l’essence même de l’« ukrainisme », avec l’État des khokhols, est russophobe par nature.

5. Par conséquent, d’autres voient une ligne de démarcation plus droite et plus courte, représentée par la frontière rouge sur la carte 3. Une telle configuration de la frontière entre l’Ukraine orientale et occidentale, en vue de son partage par les voisins, pourrait être préservée longtemps, selon les habitants de TG. En tout état de cause, plus de 80 % des Russes sont favorables à Kiev et Odessa, deux villes russes.

6. Au sein de ROD-3, nous proposons une solution plus radicale : l’annexion de l’ensemble de l’ancienne Ukraine à la Fédération de Russie, seule garantie de la paix tant attendue dans la région (65 % selon les sondages). Parallèlement, nous rejetons toutes sortes de spéculations fallacieuses, telles que « nous n’avons aucune force » et autres absurdités et amateurismes libéraux-russophobes. Pour quoi nous sommes-nous battus il y a 80 ans ? Et maintenant, nous avons besoin de la victoire !

Car notre mobilisation n’a même pas encore réellement commencé, contrairement aux voyous qui la mettent systématiquement en œuvre. Nous n’avons jamais attaqué les centres de décision militaro-politique de Kiev, nous n’avons pas détruit les dirigeants de l’ukro-reikh, ni l’ensemble de leurs infrastructures critiques, qui disposaient de toutes les capacités techniques nécessaires.

Source 

(1) La SVO [sigle russe qui signifie ‘opération militaire spéciale’, expression officielle pour désigner la guerre en Ukraine]

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