Les petits bourgeois écolos se font traiter de racistes parce que pas assez déblanchis !

Pour une fois, Riposte Laïque fait la promotion d’une revue écologiste, appelée Reporterre (quel humour !). Lisez vraiment ce lien ci-dessous, et savourez-le comme il le mérite !

https://reporterre.net/Vous-etes-tous-racistes-la-colere-antiraciste-au-sein-du-mouvement-ecologiste

Tout avait pourtant bien commencé, à Saint-Hilaire de Briouze, dans l’Orne. Les militantes avaient déjà réussi, dans l’appellation, à virer les hommes. On allait débattre pour une écologie populaire (défense d’éclater de rire), décoloniale, antiraciste et antifasciste. Et 5000 dégénérés, pendant 4 jours, allaient communier entre eux pour sauver la planète du réchauffement climatique et de l’extrême droite. Cela allait chauffer, si on ose dire, même si on préfère ne pas savoir combien cela a coûté, et qui finance cette plaisanterie…

Et puis tout s’est effondré. Un collectif de racisés a constaté qu’il n’y avait que des Blancs chez les écolos, et donc, ils ont traité les tarés de la Tondelière et de la Sardine de racistes, tout simplement, comme s’ils étaient de vulgaires fachos ! On a échappé de peu au « Allez nous faire la soupe, salopes de Blanches ! » Ils leur ont expliqué qu’ils s’en foutaient de leurs problèmes de Blancs, de leur universalisme, de la planète et de toutes ces conneries, et qu’ils voulaient simplement les Grand-remplacer, parce que pas assez déblanchis, et pas assez sensibles, même s’ils portaient un keffieh, au drame du peuple palestinien. Ils leur ont même dit qu’ils n’avaient pas le droit de s’habiller en génocidé de Gaza !

Bref, ces pleureuses ont repris le numéro de l’actrice noire Aïssa Maiga qui, aux César, en 2020, avait pleurniché, en se croyant drôle, en disant qu’elle avait compté les Noirs présents dans le public, et que cela ne faisait vraiment pas beaucoup…

Le résumé de ces discours qui se veulent culpabilisateurs (et cela marche à presque tous les coups !) est que ces pleurnicheurs veulent encore davantage de discrimination positive, qu’ils veulent réussir parce qu’ils sont noirs, arabes, métisses ou asiatiques, et pas du tout par leur talent. Et cela à une époque où même les Américains abandonnent la discrimination positive, quand l’Arcom l’impose dans toutes les publicités et émissions télévisées. Ils veulent qu’il y ait encore davantage de Najat Vallaud-Belkacem, voire de Stéphane Pocrain, cet éphémère chef racisé des Verts qui cognait sur ses compagnes écolos parce qu’il était le chef, ou bien Jean-Vincent Placé, qui a fini sénateur et ministre, et pelotait ses jeunes employées blanches parce qu’elles étaient ses subordonnées.

On pourrait parler aussi de la sénatrice écolo Esther Benbassa, poursuivie devant les tribunaux pour mauvais traitements à ses subordonnées, de Laetitia Avia et de ses propos racistes contre son attaché parlementaire asiatique et de tant d’autres exemples démontrant un racisme revanchard de trop de racisés à l’encontre de ceux qui ne leur ressemblent pas. Donc, les propos entendus sont insupportables.

Des militants avec un peu de dignité auraient sifflé ce collectif, les auraient qualifiées de « racistes » parce que mettant la couleur de la peau comme fil conducteur d’un programme politique, et auraient envoyé le service d’ordre les virer à coups de pompe dans le cul, comme toute organisation digne de ce nom fait avec des perturbateurs qui viennent foutre le bordel à un événement que vous organisez.

Mais l’homme déconstruit écolo et la femme mal déblanchie à keffieh sont des petits blancs honteux. Tout péteux, ils ont baissé la tête, et se sont tus. Sans doute vont-ils réciter trois actes de contrition, et se livrer à une auto-critique sévère, digne des grandes sectes maoïstes, pour leur non-prise en compte de la diversité dans leurs rangs.

Ces crétins n’ont toujours pas compris qu’ils avaient des racistes en face d’eux qui les méprisaient profondément, parce qu’ils ont bien sentis que tout est faux chez ces petits bourgeois émasculés et chez ces féministes à deux balles qui se laissent agresser par des Africains, mais enfoncent le premier Gaulois qui regarde une paire de fesses. Si le scénario qui vient, et qu’annonçait Laurent Obertone dans son livre Guerilla se produit, les déconstruits seront égorgés, et les mal-déblanchies seront violées avant de finir dans un harem de banlieue.

Et cela ne fera pleurer personne.

ripostelaique.com

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