Histoire vraie des faux palestiniens
Signalé par un adhérent de Reconquête ! Gironde « Philippe dit le Colleur Fou ».
Un résumé de Pierre Rehoov sur Twitter : https://x.com/rehoov/status/1945401285617889498
Quelques apports en liens et ajouts en italique.
Depuis plus de soixante-dix ans, l’opinion mondiale est nourrie du récit d’un peuple palestinien spolié, chassé, privé de patrie et réduit à la misère par l’État d’Israël. Pourtant, une étude rigoureuse des faits historiques, démographiques et géopolitiques révèle une toute autre vérité : celle d’un peuple inventé, façonné à des fins idéologiques, et utilisé comme arme politique contre le seul État juif de la planète.
Une terre sans pays, un nom imposé par Rome
Le terme « Palestine » ne désigne pas un pays ancien, ni un peuple autochtone homogène, mais une région géographique sans entité nationale propre, utilisée à des fins administratives à différentes époques. Le nom même de « Palestina* » fut imposé par l’empereur Hadrien au IIe siècle après la destruction du Temple de Jérusalem en 135 ap. J.-C., dans l’intention d’humilier les Juifs et d’effacer le nom de Judaea. Il s’agissait d’un acte de damnatio memoriae.
* : référence aux Philistins.
Durant les siècles suivants, cette région fut successivement, byzantine, arabe, mamelouke, ottomane, puis administrée par les Britanniques après la Première Guerre mondiale*. À aucun moment il n’y eut d’État appelé Palestine, ni de capitale, ni d’institution nationale propre à un peuple dit « palestinien ».
* : mais aussi les croisés, les Perses avec les califes fatimides qui ont détruit nombre de bâtiments chrétiens, dont l’église du Saint Sépulcre, aux 10ème et 11ème siècles.
Une terre vide, abandonnée, où les Juifs sont majoritaires à Jérusalem
Lorsque les premiers sionistes commencent à retourner en Eretz Israël au XIXe siècle, ils découvrent une terre abandonnée, insalubre, largement désertée, où les marécages du nord côtoient les friches du sud. En 1854, Karl Marx écrivait dans le New York Tribune que Jérusalem était une ville « en majorité juive »*, et l’écrivain Mark Twain, en 1867, décrit dans Innocents Abroad une Palestine « déserte, silencieuse, peuplée de quelques misérables tribus errantes ».
* : https://www.marxists.org/archive/marx/works/1854/03/28.htm
(4ème paragraphe à partir de la fin, en anglais)
Ce n’est que grâce aux efforts colossaux des pionniers juifs que cette terre va être revalorisée – irrigation, assèchement des marécages, construction d’infrastructures, développement économique*. C’est cette renaissance juive qui attire alors une immigration arabe massive, en quête de travail et d’opportunités.
* : le régime Ottoman ne s’est pas opposé au retour des juifs même s’il ne l’a pas favorisé, la région étant trop déshérité.
Une immigration arabe opportuniste, non autochtone
Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Entre 1922 et 1947, la population arabe de la Palestine mandataire double — non pas par croissance naturelle, mais du fait d’une immigration arabe venue d’Égypte, de Syrie, du Liban, de Transjordanie, attirée par la prospérité créée par le sionisme. Ces Arabes deviennent plus tard les « réfugiés palestiniens », revendiquant un droit au retour… dans un pays qu’ils n’ont jamais véritablement habité de façon continue ou souveraine.
Les premiers leaders palestiniens, alliés d’Hitler
Le nationalisme arabe palestinien, embryonnaire dans les années 1930, est profondément marqué par l’idéologie nazie. Le grand mufti de Jérusalem, Hadj Amin al-Husseini, leader incontesté de la cause palestinienne à l’époque, rencontre personnellement Hitler à Berlin en 1941*. Il s’engage dans la propagande antisémite, recrute des divisions musulmanes SS dans les Balkans, et appelle à l’extermination des Juifs du Moyen-Orient.
* : Documenté sur RR
Ce passé fasciste est systématiquement effacé des livres d’histoire officiels. Mais il est essentiel pour comprendre que la haine des Juifs, et non la revendication territoriale, est à l’origine du mouvement palestinien moderne.
Le Livre Blanc britannique : empêcher les Juifs de fuir Hitler
En 1939, alors que le monde s’apprête à sombrer dans la Seconde Guerre mondiale, la Grande-Bretagne cède à la violence arabe et publie le tristement célèbre Livre Blanc : il restreint drastiquement l’immigration juive en Palestine, interdisant à des millions de Juifs persécutés par les nazis de trouver refuge sur leur terre ancestrale. Pendant ce temps, l’immigration arabe reste libre, tolérée, voire encouragée.
* : https://fr.wikipedia.org/wiki/Livre_blanc_de_1939
Le monde arabe a contribué ainsi, passivement mais efficacement, à empêcher des millions de Juifs de fuir l’Europe.
1947-48 : un refus du partage, un projet d’extermination
En 1947, l’ONU propose un plan de partage : un État juif aux frontières réduites et un État arabe à ses côtés. Les Juifs acceptent. Les Arabes refusent. Le lendemain de la proclamation de l’État d’Israël, cinq armées arabes l’attaquent avec un seul objectif : finir le travail de Hitler. Le secrétaire général de la Ligue arabe l’affirme alors : « Ce sera un massacre comme celui des Mongols ou des Croisades. »
Ils échouent. Israël survit. Et le narratif change : les agresseurs deviennent victimes. Cette défaite honteuse est rebaptisée « Nakba » (la catastrophe) pour inverser les rôles et faire oublier qui a attaqué qui.
Des réfugiés arabes encouragés à fuir par leurs propres dirigeants
Contrairement à la légende, aucun ordre israélien n’a demandé l’expulsion des Arabes. De nombreux documents prouvent que les chefs arabes ont appelé leurs populations à fuir temporairement, pour laisser le champ libre aux troupes « libératrices »*. D’autres ont fui de peur, ou à cause des combats.
* : avant même le début des hostilités armées, 300 000 arabes quittent le territoire dévolu à Israël (51% du territoire avec le désert du Néguev)
La très grande majorité des réfugiés palestiniens de 1948 n’ont pas été expulsés, mais sont partis de leur propre initiative ou sur ordre des leurs. Le reste ? Des exagérations, parfois des mises en scène.
Des camps insalubres créés comme bombes à retardement
Une fois la guerre perdue, les pays arabes refusent d’intégrer les réfugiés arabes de Palestine. Plutôt que de leur offrir la nationalité, comme Israël l’a fait pour les 850 000 Juifs expulsés des pays arabes*, ils les parquent dans des camps insalubres. Le but ? En faire des outils de vengeance contre Israël.
Déjà en 1949, le journaliste Tibor Mendé publie dans Le Monde un article visionnaire : les camps palestiniens, dit-il, sont des poudrières organisées volontairement par les pays arabes, pour maintenir la haine et empêcher tout règlement.
* : parfois installés depuis des siècles, comme en Tunisie, 6 siècles av JC, des juifs ayant fui la déportation à Babylone. Ils étaient 150 000 en 1948, 1 500 aujourd’hui. Des juifs ayant tout abandonné ou presque, sans compensation…
L’UNRWA : instrument de propagande, pas de réhabilitation
En 1948 est fondée l’UNRWA, agence unique en son genre : aucun autre groupe de réfugiés dans le monde ne dispose d’une telle structure. Initialement dotée d’un mandat temporaire d’un an, l’UNRWA existe toujours 75 ans plus tard, ayant entretenu l’idée d’un « droit au retour » irréaliste pour des millions de descendants*.
* : il n’existe aucun autre exemple de réfugiés enkystés dans un pays 75 ans après, les réfugiés se sont assimilés à leur nouveau pays.
Loin d’aider à la réinsertion, l’UNRWA endocrine, finance des manuels scolaires antisémites, et alimente le rêve impossible de la destruction d’Israël par la démographie. Pendant ce temps, les Juifs chassés des pays arabes n’ont bénéficié d’aucune aide, d’aucun droit au retour, d’aucune reconnaissance.
Un peuple sans Histoire, mais avec une mission : nuire à Israël
Il n’existe aucun document historique, aucune monnaie, aucune langue, aucune dynastie, aucune œuvre littéraire ou culturelle propre à une nation « palestinienne » avant les années 1960. Ce peuple est une fabrication politique, un produit du nationalisme arabe et du panislamisme, utilisé pour délégitimer Israël et détourner l’attention des dictatures du monde arabe.
La cause palestinienne est devenue le levier privilégié des islamistes, des antisémites d’extrême gauche et des complices occidentaux pour attaquer l’Occident en prétendant défendre une injustice. C’est un alibi idéologique, une arme médiatique, et un poison moral pour les démocraties.
La plus grande fraude du XXe siècle
La vraie Nakba, ce n’est pas la création d’Israël. C’est l’instrumentalisation cynique de générations entières d’Arabes, sacrifiés pour une guerre qui n’a jamais cessé.
Le « réfugié palestinien » n’est pas la victime d’un génocide. Il est le fruit d’une défaite refusée, d’un mensonge entretenu, et d’un projet politique de destruction.
Israël a construit. Les « Palestiniens », eux, ont été construits.
Par haine. Par calcul. Et avec la complicité d’une ONU où l’arithmétique des dictatures pro-arabes remplace la morale
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Bonjour,
Article remarquable : merci !!!
Vraiment très bon article !
excellent résumé qui devrait être affiché dans tous les établissements scolaires et les universités, histoire de leur apprendre la vérité, la réalité des faits, et non une histoire inventée, fantasmée, et maintenant hystérisée par les gauchistes islamisés antisémites
Il est curieux de voir le monde entier proposer ume solution à deux états alors que les seuls qui n’en veulent pas sont les arabes eux-mêmes puisqu’ils ne veulent que la « ouma » !
Qui sont ceux qui nourrissent les soi-disant palestiniens « en détresse » majoritairement du Hamas sinon les Israéliens et autres Blancs qui leur envoient de la nourriture ? Où sont les pays arabes qui les aident ?
Il faut voir la vérité en face !
Au hasard, il y a le Qatar qui, outre d’aider les terroristes Egyptiens de Gaza, récompense généreusement les chefs des tas qui reconnaissent un état dont personne ne veut.