Erik Tegnér agressé par des antifas ne se couche pas, faisons comme lui !

Jeudi 31 juillet, alors qu’il était en congé d’été en Bretagne, le directeur de la rédaction de Frontières, Erik Tegnér, a subi une agression par un groupe de militants d’extrême gauche.
Le directeur de la rédaction assistait en compagnie de ses proches à une fête de village à Plouha ce jeudi soir lorsqu’un groupe de militants antifascistes l’a reconnu ès qualité de journaliste et chroniqueur. Pris à partie, injurié de « nazi », menacé « on sait où tu habites », tentative d’étranglement, jet d’alcool au visage ; Erik Tegnér et sa fiancée ont heureusement pu compter sur l’intervention de policiers qui ont mis fin à l’agression. 
Erik Tegnér a annoncé déposer plainte à la gendarmerie. 
Le maire communiste de la commune de Plouha n’a pour l’heure pas réagi à cette agression. 
Toute la rédaction de Frontières assure son directeur de son soutien confraternel et amical. En France, les désaccords idéologiques se règlent par le débat et la confrontation intellectuelle et argumentative, jamais par la violence.

J’ai été agressé cette nuit en famille, à la fête de mon village de Plouha en Bretagne, par une dizaine de jeunes antifas qui m’ont reconnu comme journaliste Frontières et chroniqueur Cnews. “On sait où t’habites”, “nazi”, violentes bousculades, prise au coup, jets d’alcool à la figure : je vais porter plainte. Je suis journaliste, en vacances, chez moi, et je suis scandalisé que ma famille et moi ne puissions profiter d’une fête de village en toute sécurité, tout simplement parce que je suis un journaliste de droite. Les antifas n’ont pas à dicter leur loi. Que fait le Maire

(PC) qui a payé ce concert avec nos impôts? L’organisation d’événements municipaux doit permettre à tout le monde de participer sans avoir à se faire agresser, non ? Avec moi, ma fiancée, dont la famille est originaire du village depuis des décennies, a également été violemment prise à partie. C’est intolérable. J’ai pris rendez-vous lundi matin à la gendarmerie pour porter plainte. Les policiers sont intervenus donc sont témoins. LFI, l’extrême gauche et les antifas n’ont pas à faire leur loi chez nous, ils sont une minorité violente.

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6 Commentaires

  1. Et toujours pareil ; on en revient à GI à laquelle, les pouvoirs, les autorités, les juges, les politiques n’ont rien laissé passer, et pourtant, il n’y avait rien à leur reprocher.
    Et les sentences ont été, sont lourdes ; dissolution, privation de droits citoyens….

    Mélenchon, quant à lui, il dég.eule sa violence et attise les haines. Mais ses suiveurs, sont dans le bon droit et pour cela leur guerilla est légitime, leur violence avec, « entraînés par la passion ; c’est normal » -je l’ai entendu dire un jour-.

    Le grand timonier rougepardonne, autorise, légitime tout de ses soldats ; normal, il crie haut et fort : « Je suis la république ». Ce meneur d’hommes oublie juste une chose : c’est que s’il est la république…. nous nous sommes la France !

    Sa république universelle imposée dans l monde à coups de mattraque démocratique, les Peuples, les Nations n’en veulent pas ! Et nous les Gaulois, les Francs, encore moins !

    • Méchancon ne sait pas que la roue tourne et que dans un jour très proche toute cette violence qu’il distille et qu’il autorise ca va lui revenir en pleine gueule et pour ça il risque d’y rester sur le carreau ce sale traître rouge sang ! Marre de ces putains de gauchiasses!

  2. Le dernier antifa qui est venu me les briser a fini à l’hosto avec quelques ratiches en moins : on ne vient pas faire chier un Panzer irrascible de 110kg en toute impunité, et malgré mes 64 balais, j’ai encore une droite terrifiante ;-))

  3. Les antifas à l’idéologie et aux méthodes… fascistes ! Osons les signaler pour ce quelles sont et sachons le dire chaque fois qu’ils en font la démonstration.