Cachez ce symbole de la France, ce symbole de la patrie, ce symbole de la patrie triomphante, ce symbole d’un temps où mourir pour la patrie était le plus grand des honneurs, ce symbole d’un autre temps où tous les Français étaient fiers d’être Français, même et surtout ceux qui venaient d’ailleurs… Qui dira à quel point des Giono ou des Zola, pourtant d’ascendance étrangère aimaient la France et se sentaient français jusqu’au bout des ongles ?
Ils ont failli cacher et, même mieux, détruire cet hommage extraordinaire à Jeanne d’Arc et, à travers elle, à la mère patrie. Honte des hontes, c’est une petite ville hongroise qui, bien que loin d’avoir les moyens de Nice et de la France (concernant les « oeuvres d’art » il y a de la marge pourtant) avait proposé d’accueillir Jeanne d’Arc.
Mátészalka, dans le nord-est de la Hongrie, a proposé d’accueillir une statue de Jeanne d’Arc, qui doit être retirée de Nice, en France, a indiqué le parti démocrate-chrétien (KDNP) au pouvoir dans un communiqué.
L’affaire se termine bien, néanmoins, après 5 ans de campagnes nauséabondes, de procès… tout ça parce que pour le préfet de Macron, un certain Yves Moutouh, il y aurait eu un problème, tout bête, d’appel d’offres.
Peut-on imaginer que pour le préfet Moutouh une statue de Jeanne d’Arc à Nice ait été un symbole patriotique, au moment où « patrie et patriotisme » sont des mots honnis en France depuis quelques années ?
L’inspecteur Tasin a enquêté et la réponse est, a priori, avec les éléments dont je dispose, est « non ». Ce monsieur Moutouh semble bien au contraire un patriote bien plus proche de Gueant que de Mélenchon, et c’est peu de le dire !
Début 2025, l’atelier Missor qui avait réalisé cette superbe statue était résigné et désespéré. Et idéologiquement et financièrement.
Notre atelier va faire faillite. Après 5 ans à tout donner, pour que notre atelier de sculpture réussisse sa mission de réenchanter notre monde gris, nos ennemis auront réussit à être les témoins de notre mort. Déjà, comment imaginer qu’un atelier de sculpture puisse avoir des ennemis ?
[…]
Et puis, miracle, il y a 2 jours la cour d’appel de Marseille a annulé la décision de justice qui annulait son retrait pour « vice de procédure ».. Vice de procédure… les salauds ça ose tout, c’est ça qu’on les reconnaît. Or, celui qui voulait faire fondre la statue était un préfet de Macron, un certain Yves Moutouh, préfet des Alpes Maritimes à l’époque .
La statue de Jeanne d’Arc à Nice ne sera pas déboulonnée. La cour administrative d’appel de Marseille a tranché jeudi en faveur de la municipalité, annulant la décision de justice qui ordonnait son retrait pour vice de procédure. (…)
Commandée pour 170 000 euros hors taxes par la régie métropolitaine Parcs d’Azur à l’Atelier Missor sans mise en concurrence, la sculpture dorée de cinq mètres de haut avait provoqué l’ire du préfet des Alpes-Maritimes de l’époque, Hugues Moutouh. Ce dernier dénonçait une entorse au code de la commande publique et avait saisi la justice en février 2024. Source JDD
Qui est donc ce préfet Moutouh ? Français né à Paris mais sans doute issu d’ailleurs, ce qui n’est pas une tare, je citais plus haut les exemples de Giono et Zola. Ce n’est pas une tare, c’est même un bel hommage rendu à la France qui, il y a longtemps savait accueillir, nourrir dans tous les sens du mot des étrangers qui le lui rendaient bien.
Néanmoins, a-t-on encore le droit, dans la France de 2025 où l’on voit des ennemis de notre patrie jusqu’au sein de l’Assemblée nationale crier leur haine de la France et leur amour de Palestiniens assassins, par exemple, de s’interroger sur la neutralité et l’objectivité de certains serviteurs de l’Etat ? Evidemment et se poser des questions, enquêter est nécessaire.
Je ne connais pas l’origine du nom du préfet. Origine a priori étrangère si l’on en juge par la carte des noms ci-dessous (en rouge). Wikipedia nous dit que Hugues Moutouh est né et a grandi à Paris mais on n’a aucun élément sur ses parents et leur origine…
A-t-on encore le droit en 2025, de s’interroger sur le patriotisme de certains Français, d’origine étrangère ou pas et sur l’objectivité de décisions prises ? Bien sûr, et l’on doit à la vérité de ne pas se laisser aveugler par des a priori ou des ragots.
Yves Moutouh n’est pas resté longtemps en fonction dans les Alpes Maritimes, sur fond de tension avec Estrosi et du règlement du narco-trafic… Connaissant Estrosi et sa plus que complaisance avec l’islam, sur le coup on donnerait plutôt raison à Moutouh.
Il aurait rejoint le cabinet de Retailleau, nommé secrétaire général du ministère de l’intérieur, il aurait été proche de Guéant, de Sarkozy et était surnommé « le préfet bulldozer », plutôt aux antipodes de Macron, un bon point pour lui.
Lors de l’affaire des émeutes nahel il avait fait plaisir à pas mal de Français « 2 claques et au lit »« Les quartiers font l’objet d’une attention permanente dans l’Hérault »
« Je suis à la fois très en colère par rapport à ce qui s’est passé et totalement écœuré, dégoûté. Moi, je crois que tout le monde doit assumer ses responsabilités. L’État, nous essayons de le faire en permanence. Je rappelle que les ‘quartiers politiques de la ville’ dans le département font l’objet d’une attention permanente de la part des autorités publiques. C’est ce qu’on appelle la politique de la ville et la rénovation urbaine. À La Devèze, où il y a eu autant de dégradations, nous avons engagé 60 millions d’euros, à la Mosson, le plan de rénovation urbaine, c’est 180 millions d’euros. Dire que les quartiers en France sont abandonnés, c’est un mensonge. » « Si ces enfants sont élevés comme des herbes folles, faut pas s’étonner qu’à 12 ans, ils caillassent la police. La méthode, c’est deux claques et au lit ! » « On ne découvre pas que l’on a des responsabilités par rapport à ces enfants lorsque ces enfants sont adolescents. Une éducation, ça commence à la naissance. Il n’y a pas d’effet culturel. Quand on met au monde des enfants, on s’en occupe dès la naissance. Si effectivement, dans les 12-13 premières années, ces enfants sont élevés comme des herbes folles, il ne faut pas s’étonner qu’à 12-13 ans, on les voit caillasser des véhicules de police ou piller. Je sais qu’en 2019, le Parlement l’a interdit, mais très franchement, de vous à moi. Si demain vous attrapez votre gamin qui descend dans la rue pour brûler des véhicules de police ou les caillasser des pompiers ou piller des magasins, la méthode. C’est quoi ? C’est deux claques et au lit ! C’est ce que faisaient nos grands-parents. »
Le maire de Nice avait notamment demandé son départ sur fond de tensions liées au narcotrafic à Nice. Le préfet Moutouh avait alors répondu à Christian Estrosi : « Keep calm and carry on » (gardez votre calme et continuez normalement votre boulot, ndlr).
Puis le préfet, face à de nouvelles attaques de la municipalité, avait choisi d’écrire un tweet à l’encontre du maire de Nice qui critiquait l’action des pouvoirs publics et des représentants des forces de l’ordre. Le préfet Hugues Moutouh avait dénoncé une violente « prise à partie » avant d’estimer que « tous les policiers nationaux qui assurent de jour comme de nuit la sécurité de leurs compatriotes dans cette ville ne méritent pas un tel dénigrement. ».
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Il y a eu des femmes héroïques en France (Jeanne d’Arc, Charlotte Corday pour ne citer qu’elles), dans l’histoire juive aussi (Esther) mais jamais – sauf erreur – en terre d’Islam. Inconnues au bataillon. Valeur contraire au Coran.
Le préfet n’étant pas un héros non plus préférait faire disparaître l’héroïne française et ce qu’elle représentait de courage, une qualité boycottée par nos dirigeants.
La lâcheté et la soumission sont devenues sont devenus le mot d’ordre et tout ce qui peut représenter le courage et, en ce qui concerne Jeanne d’Arc, l’héroïsme, est à proscrire pour les lâches et les corrompus soumis honteusement à ceux qui haïssent la France. Ils rampent devant eux, préférant trahir les Français que de défendre leurs valeurs.
Le préfet « Moutouh »,quelle blague!
Le Préfet MOUTOUH et tous ceux qui ne veulent pas Jeanne d’Arc sont pour moi des renégats à la France !… et je n’ai aucune confiance en eux !!!
C’était pour ne pas vexer les nouveaux arrivants. Une femme qui boute des étrangers hors de France, ça fait pas trop accueil. À la première lecture, j’ai cru que le préfet se nommait Mouton. J’ai des excuses, je suis légèrement dyslexique.