Grand Remplacement : quid des prénoms étrangers camouflés sous certains des nôtres ?

Ùn aspect du « Grand Remplacement » que même l’INSEE n’a semble-t-il pas vu -ou n’a pas voulu voir  ?- mais que le Figaro a mis en évidence en regroupant les prénoms ayant la même sonorité lors de leur prononciation mais dont l’orthographe est différente, comme . 
ANNA et Ana, Anah, Hana, Hannah ;  LUCAS et Luca, Luka, Lucca, Lucka…
Notre (1) Anna ou notre Lucas ont été, pour le classement des prénoms, mélangés -que dis-je ont été littéralement phagocytés !- par tous les prénoms ressemblant phonétiquement à « NOS » prénoms bien… chrétiens !
Et j’ose cette explication : ce n’est pas pour donner plus de poids à « nos » prénoms afin qu’ils aient, de ce fait, un rang supérieur par l’accumulation des prénoms « venus d’ailleurs ». J’aurais plutôt tendance à penser que cette tactique était destinée avant tout à camoufler, à dissimuler le grand nombre des prénoms… eux, venus d’ailleurs et, ainsi, atténuer l’impression de « Grand Remplacement » par des prénoms venus eux aussi… d’ailleurs !  

Le Figaro explique que c’est  « Grâce à un algorithme regroupant les prénoms similaires (Anna/Hanna, Mohamed/Mohammed…), » qu’il a pu dévoiler « le véritable classement des prénoms les plus populaires en France et dans chaque région. »

Ainsi, « Anna ne figure qu’en queue de top 10 des prénoms féminins les plus donnés en 2024, selon les données de l’Insee. Et pourtant, si l’on regroupe ses nombreuses variantes orthographiques – Anna, Hanna, Ana, Hanaa, Hannah, Annah, … – il devient, le deuxième prénom le plus populaire chez les petites filles cette année, avec au moins 3705 occurrences, contre 3125 pour Louise, officiellement en tête du classement. »
Sauf que notre si jolie ANNA sert aux statisticiens à camoufler des prénoms venus dont ne sait où -mais très certainement ni de Corse ou de Bretagne, ni de Lorraine ou du Nord, ni d’Outre-Mer !- telle que le prouve cette longue liste : HANNA, ANA, HANA, HANNAH, HANAA, ANNAH, HANAH, ANAH, AHANA…
Une tapée de prénoms camouflés sous notre belle ANNA… Prénoms qui, ainsi, passent inaperçus puisque les statisticiens les camouflent sous ce seul prénom de… ANNA qui est, doit-on le rappeler, celui de Sainte Anne, la Mère de… la Vierge Marie et, de ce fait, la grand-mère de… Jésus-Christ !
Ce qui veut dire que certaines autres cultures n’hésitent pas à utiliser des prénoms en leur ôtant leur essence même chrétienne, voire leur arracher leur entité catholique… Ce n’est plus du « Grand Remplacement », c’est du « Grand Acharnement » !!!

Même pillage du côté des garçons avec, entre autres, notre ADAM qui se multiplie en ADAMS, ADHAM, AADAM, ÂDAM, ADÂM, ADAAM ! Mais de quelles cultures nous viennent ces envahissantes progénitures !!! Là, silence, on tourne ! Oui, on tourne… non un documentaire mais le… dos ! Car on ne veut pas savoir et on ne veut surtout pas chercher à le savoir… 

Le Figaro note, par exemple, que « Rym, Aria ou Aylan » sont « parmi les prénoms qui explosent en 2024 » !
Comme l’origine de ces prénoms n’est pas précisé, mes recherches m’ont appris que « Rym » est un prénom féminin à la mode au Liban ou en Afrique du Nord. « Aria » serait d’origine hébraïque. Et « Aylan » serait d’origine arabe et viendrait de Turquie…
Le Figaro ajoute :
« La tendance des noms de baptême courts se confirme aussi en regardant du côté des plus fortes progressions… »
Et parmi ces progressions chez les filles…
…Rym qui, selon le site parents.fr « est d’origine arabe. Il peut aussi s’écrire Ryme. Ce prénom signifie « antilope ». »
Et parents.fr publie un graphique montrant que Rym n’était quasiment pas donné durant tout le XXe siècle : seulement 5 enfants le portaient en 1974, 15 en 1990, 20 en 2000, 55 en 2010 et, brusquement… la flambée d’immigration ne serait-elle pas à l’origine de cette brusque flambée ? 225 en 2020 et 440 en 2024 !!! Passer de 20 à 440, cela fait du +2 200% en 25 ans !
À quoi rime une telle progression de… Rym ! Sinon à un Grand Remplacement de NOS prénoms, ceux « bien de chez nous »…

Jacques MARTINEZ, journaliste,  à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…

–(1) J’écris « notre » car la France, c’est « chez nous » et donc « chez moi » ! Je suis citoyen français issu d’ancêtres du nord de la France et de l’Alsace-Lorraine…
Au XIXe siècle, mon arrière-arrière-grand-père  paternel Michel Guerder né en 1827 à Buding (Moselle) a vu son fils François naître dans la même commune en 1865.
Ce dernier a eu une fille Joséphine née en… Algérie, ma grand-mère (dont le souvenir m’est encore émouvant « Ma Mémé Fifine ») avec Rosine Goulois.
Celle-ci était la fille de Catherine Curtet, la première de mes ancêtres née officiellement en Algérie, le 5 avril 1852. En réalité, sa maman avait accouché sur le navire entre Marseille et… Alger ! Ce couple de Lorrains à savoir Cunégonde Schemer et Anselme Curtet -donc mes arrière-arrière-arrière grands-parents paternels- « fuyaient » leurs familles car non mariés !
Pour les Martinez, la première branche paternelle vient d’un couple habitant… Polop, joli nom d’une ville du sud-est de l’Espagne où Vincent… Martinez avait épousé Maria-Madalena Boronat en 1873…
-donc bien après la conquête de l’Algérie et non, comme certains l’appelle « la colonisation » puisque cette terre n’avait aucun « État propriétaire » : ce n’était qu’une région essentiellement traversée par des tribus nomades !-
Ce n’est qu’après s’être mariés -contrairement aux couple lorrain !- que le couple Martinez s’est rendu en Algérie où tous deux ont été enterrés à 47 et 49 ans, en 1897 et 1902… Comme y sont toujours enterrés tous mes ancêtres décédés avant l’indépendance de l’Algérie le 5 juillet 1962, dans la plus grande indifférence -sur l’état des cimetières tant civils que… militaires !- de la part de tous les Présidents de la République Française qui se sont succédés du Général de Gaulle à… rappelez-moi le nom de celui qui, lui, oublie même les noms de ceux qu’il a laissé prendre en otage par les actuelles autorités algériennes car il n’a pas su qu’avec certaines cultures, il n’y a pas d’égalité dans des discussions : seul celui qui domine a raison même s’il sait, lui-même, qu’il a… tort !  

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