Qui a autorisé Macron à prêter NOTRE tapisserie de Bayeux aux Anglais ?

LA TAPISSERIE DE BAYEUX, UNE ŒUVRE DU 11ÈME SIÈCLE UNIQUE AU MONDE qui raconte la conquête de l’Angleterre par Guillaume, duc de Normandie, en 1066, surpris de 70 mètres de long !!!  (voir annexe à la fin d’ article)

 

Mais c’est le fait du Freluquet qui se prend pour Jupiter ! Qui a-t-il consulté pour prêter aux britiches la Tapisserie de Bayeux, idem pour les vitraux de Notre Dame de Paris etc etc. Un gamin qui fait joujou à la tête de la France qui prépare son invasion par un marché de dupes avec Starmer sur la garde des immigrés qui veulent se rendre au Royaume Uni de G. B. Ad libitum… Encore deux ans de caprices à subir de ce Presidenticule… Aux armes citoyens clame le peuple aujourd’hui. Résistons !

Juvénal

 

L’exposition de la Tapisserie de Bayeux prévue en 2026 au British Museum de Londres soulève des interrogations tant cette œuvre millénaire est fragile. En 2020, une expertise approfondie a révélé « un état structurel préoccupant (…) qui rend toute manipulation extrêmement délicate ».

Au lendemain de l’annonce officielle du président de la République, une conservatrice qui travaille depuis cinq ans sur ce monument de tissu confiait son amertume à nos confrères de France Info : « C’est la politique qui prime sur l’état de conservation de l’œuvre ».

Le sujet est sensible : le prêt de cette tapisserie millénaire est une volonté d’Emmanuel Macron. Ce geste hautement symbolique doit permettre de resserrer les liens entre les deux pays.

France 3 

 

Alors que la France s’apprête à prêter la tapisserie de Bayeux au Royaume-Uni, la décision divise. Cette œuvre millénaire, jamais déplacée depuis 1983, pourrait être mise en péril par un transport jugé risqué. Les experts dénoncent un choix politique au mépris des précautions de conservation.

La dépêche

Une pétition pour sauver la tapisserie de Bayeux

La Tribune de l’Art est un revue en ligne consacrée à l’histoire de l’art et au patrimoine. Elle n’a pas vocation à à multiplier les pétitions. Mais elle est aussi un média engagé dans la défense du patrimoine et des musées. Pour cette raison, nous avions lancé fin 2023 une pétition contre l’enlèvement des vitraux de Viollet-le-Duc à Notre-Dame. Celle-ci est toujours active et est désormais complétée d’un volet judiciaire.

La nouvelle folie du président de la République, qui veut prêter la tapisserie de Bayeux à l’Angleterre, contre l’avis de tous les spécialistes, est un nouveau coup dur porté au patrimoine français. Il n’est pas certain cette fois que ce projet puisse être interrompu par une action devant les tribunaux.
Après avoir longuement hésité, nous avons donc décidé de lancer une seconde pétition. Seule une mobilisation très forte pourrait empêcher la mise en œuvre d’une décision qui menace gravement l’intégrité d’un des plus importants chefs-d’œuvre de l’humanité.

Nous vous invitons donc à la signer ici, à la partager, et à la faire signer à tous ceux qui le souhaiteraient.
Nous reviendrons bien sûr très rapidement sur cette affaire.

Post-Scriptum : Voir sur wikipedia l’histoire de la tapisserie, passionnante !

Scène représentant l’évêque Odon de Bayeux tenant un bâton de commandement (baculum), signe d’autorité, lors de la bataille d’Hastings et encourageant les combattants.
Artiste
Inconnu
Date
Entre et
Commanditaire
Type
Technique
Matériau
toile en lin, broderie Crewel en laine
Dimensions (H × L)
50 × 6 830 cm
Propriétaire
Localisation
Protection
Registre international Mémoire du monde ()
Objet classé monument historique (d) ()
Coordonnées

La tapisserie de Bayeux ou broderie de Bayeux[Note 1], successivement désignée « Telle du Conquest » (« toile de la Conquête ») par les chanoines de la cathédrale Notre-Dame de Bayeux, toilette de la Saint-Jean et toilette du duc Guillaume au xviiie siècle, ou encore tapisserie de la reine Mathilde au xixe siècle, est une broderie (anciennement « tapisserie aux points d’aiguille ») du xie siècle inscrite depuis 2007 au registre international Mémoire du monde par l’Unesco[2].

Œuvre d’art textile effectuée à l’aiguille sur une toile de linbis assez régulière, brodée avec quatre points différents de fils de laine déclinés en dix teintes naturelles, elle fait défiler 623 personnages, 994 animaux, 438 végétaux, 37 forteresses et bâtiments, 41 navires et petites embarcations, et d’innombrables objets très divers. Elle décrit des faits allant de la fin du règne du roi d’Angleterre Édouard le Confesseur en 1064 à la bataille d’Hastingsen 1066, dont l’enjeu était le trône d’Angleterre, contesté à Harold Godwinson par Guillaume, duc de Normandie. Les péripéties-clés de la bataille, dont l’issue détermina la conquête normande de l’Angleterre, y sont détaillées[Note 2], mais près de la moitié des scènes relatent des épisodes antérieurs à l’invasion elle-même[Note 3]. Cette œuvre historiée semble avoir été commandée par l’évêque Odon de Bayeux, le demi-frère de Guillaume et réalisée au cours des années qui ont suivi la conquête.

Bien que présentant les événements sous un jour très favorable à Guillaume le Conquérant, au point d’être considérée parfois comme une œuvre de propagande pour asseoir la légitimité de ce dernier à régner sur l’Angleterre et rallier les nobles saxons, elle a une valeur documentaire inestimable pour la connaissance du xie siècle normand et anglais. Elle renseigne sur les vêtements, les châteaux, les navires et les conditions de vie de cette époque. De façon générale, elle constitue un des rares exemples de l’art roman profane.

Conservée jusqu’à la fin du xviiie siècle dans le trésorliturgique de la cathédrale de Bayeux, elle échappe de peu à la destruction lors de la Révolution française. Depuis 1983, elle est présentée au public au centre Guillaume-le-Conquérant[3] à Bayeux, qui lui est entièrement consacré.

Suite ici

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16 Commentaires

  1. L’écoeurement jusqu’au crachat.
    La Macronie jubile . et pendant ce temps la caravane des migrants analphabètes s’installe

  2. Il veut juste détruire notre pays jusqu’au bout, jusqu’à notre mort en tant que Français, en tant que civilisation, en tant que nation ! Toute notre histoire doit mourir et nous avec !

  3. Une chose que l’on peut faire, je l’espère. C’est de faire des photos de l’oeuvre d’art pour les autres et nous même. Un appareil photo numérique serait l’idéal parce que l’on voit tout de suite si la photo est bonne. Il y a les appareils photos argentines, on ne sait pas quoi photographier? Voilà un bon sujet de photographie, une oeuvre qui risque de disparaître à cause d’un putain d’emmerdeur.

  4. Cette œuvre est des plus précieuses, mais rien que d’imaginer les descendants des Angles et des Saxons tirer la tronche au vu de l’histoire de la défaite de leur roi imposteur face au Duc Guillaume et les troupes Normandes, Bretonnes et Franques,j’en eprouve une certaine jubilation .

  5. Une convention de dépôt entre l’État, propriétaire de l’œuvre, et la Ville de Bayeux avait été signée le 20 décembre dernier, qui prévoit pendant 49 ans que « les déplacements en dehors de l’établissement dans lequel est présentée la Tapisserie devront faire l’objet d’une convention particulière entre l’État et la Ville de Bayeux. » !!!

  6. La tapisserie de Bayeux a été sauvée par miracle par l’avocat Léonard à la Révolution, les révolutionnaires voulaient en faire des bâches pour les chariots devant transporter le ravitaillement du contingent de Bayeux partant pour la guerre. Macron nous aura tout fait. Si les Anglais sont si friands que ça de vieilles choses, il n’a qu’à leur envoyer Brigitte pour l’exposer dans une vitrine et dans un quelconque musée avec l’étiquette suivante :Senex modo gallico mulier.

  7. Bonjour,

    C’est une honte : quand ce traître cessera-t-il de nous persécuter ?

    C’est une oeuvre exceptionnelle, magnifique …

    Quand je l’avais vue, ado, je me souviens que mon père m’avait fait remarquer les petits personnages égrillards qui ornent le bas de la tapisserie : ça m’avait mis en joie …

  8. Tout est à l’avenant, tel est son bon plaisir !
    Merci pour la transmission du dossier de Didier Rykner/Tribune de l’art de tous les justes alertes et combats.
    On se demande jusqu’où le seuil de notre résistance tiendra.