Le putois, dans son immense perfidie
Plaçait un crapaud en premier accessit
Sans pertinence particulière, si ce n’est
Confier son royaume décrépit et ruiné
Au crapaud Béarnais… Comme quoi…
L’attente est une bonne tactique, ma foi
En politique faut pas être trop pressé…
Ce…eu…eu… lui-ci, nuit et jour coassait
Je…je…je…en suis capable, qu’il disait
Je con…con…con…nais, les Français
Je vais ré…ré…ré…gler leurs soucis…
Drôle de coassement que tu as l’ami !!
Coa-coa n’est plus à la mode, ou bien
T’exprimer te provoque un mal de chien ?
Le singe s’interrogeait… Oui… il a capté !!
À force de coa-coa, le crapaud se répétait
Comme un disque qui hésite sans cesse
Comme s’il voulait éviter les maladresses
Ce crapaud n’a pas encore compris
Que la plus grande erreur, c’était lui…
Mo…mo…ralité
Peuple de la basse-cour, écoutez
Qui que se soit, le poste occupé
N’apportera rien que calamités
Car c’est le putois qu’il faut vi…vi…Virer !!
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On voit pas leurs mains? Ils se font peut-être des chatouilles? Une idylle en vue? Un mariage peut-être ? Grâce à un autre François ? Bon, je ne pourrai pas jeter du riz sur le cortège nuptial, la vie est devenue trop chère grâce à ces deux enfoirés.
Deux salopards ensemble qui ne sont bon qu’à deux choses, se gaver et taper sur le peuple.