Jaloux du déguisement de Zelensky, Macron s’offre une panoplie de seigneur de la guerre

Voilà un type mal foutu, allergique au sport (sauf sur Photoshop) que ses condisciples disent avoir été une mauviette harcelée par ses camarades. Un complexé qui n’a pas eu la force de s’opposer à un prof pédophile entreprenant… Et qui n’a jamais fait son service militaire, ni même suivi la moindre préparation… Mais se prend pour un grand guerrier !
Son mentor dans l’art de la guerre est un certain Thierry Burkhard, courtisan et baroudeur, légionnaire et pleureuse à qui Vladimir filerait la pétoche
La biographie de ce galonné a tout du conte de fées qu’affectionnent les thuriféraires du dictateur pour encenser ses affidés. Saint-Cyrien, parachutiste envoyé en OPEX en Irak, Serbie, Tchad, Gabon et Djibouti, récompensé du job de chef d’état-major pour son héroïsme, notre Rambo tremblerait rien qu’en entendant le nom de Poutine. Ça ne fait pas sérieux ! Sauf si l’état des troupes l’inquiète.
Les Russes sont des gaillards entraînés aux combats urbains et aux corps-à-corps farouches dans les tranchées, tandis que les armées US et françaises regorgent d’obèses valétudinaires et de planqués. Quelques forces spéciales de qualité ne compensent pas la médiocrité de l’encadrement et de la troupe.
Dans le monde des faux semblants et des décors en trompe-l’œil de la macronie, le général est devenu un histrion comme les autres. Rampant et fayot, surinterprétant les frayeurs du freluquet, pour asseoir son emprise sur cette personnalité fragile sous des dehors de matamore. Et se valoriser. Car aujourd’hui, les militaires sont devenus des fonctionnaires ordinaires. Où le pouvoir et le prestige d’un chef dépend autant du nombre de parasites qu’il encadre que des budgets qu’il dilapide.
On peut néanmoins se demander comment un homme qui est supposé vouer sa vie à la défense de la Patrie peut servir un traître stipendié par l’étranger pour disloquer la France, brader ses dernières richesses aux plus offrants, et favoriser l’occupation du territoire par des unités de sabotage et de conquête.
Encore un discours de Fripounette à l’usage des badernes et de la soldatesque à la veille du 14 juillet
Durant sa traditionnelle prise de parole au ministère des Armées (désarmé conviendrait mieux), le paltoquet a annoncé une augmentation importante du budget militaire. Ses fantaisies martiales ont un coût. Les godillots du Parlement seront invités à voter des rallonges à répétition pour atteindre 64 milliards d’euros en 2027. À comparer aux 32,2 milliards du budget des armes en 2017. Du simple au double.
Après tous les matériels livrés sans contrepartie au clown sanglant de Kiev, et détruits au front sans changer le cours de la guerre, vidant littéralement nos arsenaux, il fallait bien renouveler les stocks. Et se faire pardonner les centaines de nos compatriotes envoyés se faire trouer la panse en Ukraine dans une guerre qui ne nous concerne pas. Des mercenaires bien sûr. Sous uniforme ukronazi. Auxquels on avait fait signer leur démission des cadres. Avec promesse de réintégration et de promotion au retour. S’ils revenaient.
Il fallait aussi prévoir l’avenir. Pour que le freluquet puisse se maintenir illégalement au pouvoir à la fin de son mandat, comme son Zygomyr chéri, déclarer la guerre à la Russie est un prérequis. Le Burkhard prépare les esprits des crétins téléphages en clamant urbi et orbi que nous sommes dans le collimateur du Kremlin. Sur le point de nous envahir. Sinon de nous arroser d’une pluie de missiles. Sans dire la faute à qui… Comme si les provocations répétées du paltoquet et la fourniture croissante de matos pour tuer des Russes pouvaient rester sans conséquences.
Par ailleurs, en augmentant leurs soldes et en leur donnant du galon, Fripounette anticipe une grogne éventuelle des derniers officiers encore républicains, à supposer qu’il en reste. Qui pourraient ne pas apprécier le coup d’État que le despote sournois nous prépare. À sa manière. Progressivement. En douce. Et sans avoir l’air d’y toucher.
Pour Fripounette, son budget serait le prix de notre liberté
Le reître qui a fait massacrer les Gilets jaunes, inoffensifs manifestants désarmés… Le forcené qui a menacé la France entière pour l’obliger à se laisser empoisonner, afin d’engraisser ses commettants de Big Pharma… Le dictateur qui a ordonné à des tribunaux politiques de disqualifier ses opposants… L’autocrate qui a mandaté les sbires de l’ARCOM afin d’exercer une cenSSure impitoyable sur tout propos lui déplaisant… ose prononcer le mot Liberté ! C’est comme si une arpenteuse de trottoirs venait vanter les vertus de la chasteté et de l’amour platonique.
L’apprenti comédien formé et déformé par Brichel expert en kermesses scolaires en rajoute des tonnes. Selon lui, tout ce pognon à claquer, dont plus de la moitié profitera aux oligarques corrompus de Kiev, serait indispensable. Parce que, dans une envolée grandiloquente qui sonne faux comme une mandoline désaccordée, Fripounette a glapi que « notre liberté n’a jamais été autant menacée depuis 1945 ». Bigre, ça fout les jetons aux blaireaux !
Ajoutant « pour être libre, il faut être craint, et pour être craint, il faut être puissant » ce qui ne manque pas de sel de la part d’une demi-portion craintive. Un fanfaron qui n’ose pas mettre le nez dehors sans un bataillon de gardes mobiles auxquels il a offert une centaine de blindés légers Centaure pour le protéger de la colère des Français. Usage interdit contre les allogènes.
Mais où trouver le fric ? Les caisses sont vide. Le pays ruiné. L’État endetté au delà du raisonnable. La solution sera « en même temps » la relance d’un emprunt hasardeux qui n’a pas intéressé les investisseurs, et une augmentation de l’activité économique. Mais comment on fait chef, quand les ¾ des usines sont fermée ou délocalisées, que les entrepreneurs accablés de taxes et de normes se défilent et que les consommateurs n’ont plus de sous ?
Son mentor lui a soufflé qu’il fallait envisager un conflit de haute intensité en Europe dans les 3 ou 4 années qui viennent.
Selon le général courtisan, quatre bascules stratégiques se combineraient pour créer une situation explosive en France et en Europe. Selon un document d’étude et d’analyse des menaces, commandé par Macronescu. Constituant moins une approche objective de la situation qu’une confirmation de ses lubies. À moins de sacrifier sa carrière.
Première obsession depuis que Vladimir l’a remis à sa juste place, celle d’un roquet qui menace un molosse, la menace russe s’intensifierait. Parce que des proches de Poutine ont classé la France comme le principal ennemi de la Russie en Europe. Mais derrière ces discours, les plans les plus avancés visent les Rosbifs et les Boches, considérés par le Kremlin comme des adversaires potentiels bien plus redoutables que le Francistan. Qui a perdu toutes ses guerres depuis Bonaparte.
Deuxième hantise, la désinhibition du recours à la force, y compris dans les pays occidentaux autrefois garants d’une certaine mesure. Mais qui a décidé d’entrer en guerre contre la Russie par proxies interposés ? Sans le rôle néfaste de l’OTAN, l’affaire était pliée en quelques mois. Épargnant tous ces morts et toutes ces destructions. Fripounette parle de droit international alors que la France le viole chaque jour en aidant un dictateur névrosé à faire durer indéfiniment un conflit catastrophique pour garder le pouvoir, et ne pas avoir à rendre des comptes.
Troisième idée fixe, les partenariats issus de la Seconde Guerre mondiale et de la guerre froide s’effritent, avec le désengagement américain en Europe. Mais au nom de quoi les USA devraient-ils soutenir des psychopathes à l’ego hypertrophié comme Nick Starmer, Macrounette et le chancelier Hitmers qui confondent la réalité avec un jeu vidéo ? Pour les pays du vieux continent, il serait urgent d’assumer leur sécurité dans une démarche souveraine que l’Eurocrature sabote.
Enfin, dernière cause d’affolement qui perturbe certains soldats et les laisse décontenancés : l’irruption de l’intelligence artificielle et des drones, et l’étalage sur le web de leurs petits secrets tordus. Ils ont une excuse. L’agilité intellectuelle n’est pas la première qualité des robots humanoïdes bien dressés auxquels le droit à la réflexion est interdit.
Reste un dernier chapitre. La dissuasion nucléaire, que Fripounette veut accroître, en liant nos forces à celles des Rosbifs, et en les mettant à la disposition des Boches. Le meilleur moyen de convaincre Poutine, si ça va trop loin, de frapper les trois bellicistes « en même temps ». Ses vecteurs hypersoniques sont en état d’alerte.
Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/

Ripostelaique.com

 

 

 191 total views,  191 views today

image_pdf

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


9 Commentaires

  1. La seule vraie menace immédiate pour la France est roquet 1er, fils de pute par excellence, à mettre hors d’état de nuire le plus rapidemment possible, à exposer ce qui lui sert de tête au bout d’une pique au pays tout entier en exemple, voilà la solution à toute une partie de nos problèmes. Une fois cette action accomplie, il en découlera naturellement une libéralisation de la pensée, et une liberté retrouvée pour s’attaquer enfin aux deux autres fléaux nationaux et même internationaux que sont l’islamomerdisme et la gauchiasserie.

  2. macron veut sa guerre comme l’ont eue sarhözy et hollande.

    Lui, qui pète plus haut, la veut plus grande, plus importante ; la guerre qui changerait carrément le monde et amorcerait la gouvernance du nouvel ordre mondial. Y aurait-il une mesure à l’égo de ce petit homme ? (qui pense aussi à sa place dans le caveau panthéon des « grands hommes » ; ça figure de cire, sa patte sur les vitraux de Notre Dame et entre temps un prix Nobel de la paix probablement ; ses ouverture et femerture des JO ne suffisant pas) ; la totale, le pied pour ce narcissique.

    Il n’y a que ce qu’il pense, ce qu’il veut ; ce qu’il ressent qui compte pour lui. Si on le laisse faire, il anéantirait le monde, ou, en tous cas, occasionnerait des millions de morts ; mais peu importe, ce que cet Enlysée pas par nous veut, sera !

    Et certainemnt conscient de que ce qu’il fait MODIFIERA TOUT, la politique mondiale, les nations, la VIE ; celle des hommes et des femmes ; celle des animaux ; celle des sociétés humaines et cela DFINITIVEMENT ; ça doit l’envoyer au septième ciel !

    Nous n’aurons pas l’occasion de lire son épitaphe : « ci-gît, le plus grand démocrate de tous les temps ! »

  3. ■ La menace russe seule condition de la stabilité de la puissance européenne || Boris Djerelievski (expert militaire) | 04/07/2025

    ► … le mythe de la « menace russe » devient souvent le seul instrument de gouvernance des pays européens
    […]
    ► « … l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN,…Alexander Stubb adéclaré, soulignant que l’adhésion de l’Ukraine à l’UE « se fera certainement » maintenant et que son entrée dans l’Alliance de l’Atlantique Nord « se fera à terme ».
    […]
    comme l’a très justement souligné Dmitri Medvedev , l’adhésion hypothétique de l’Ukraine à l’UE représente pour nous une menace tout aussi grande que sa participation à l’OTAN, compte tenu de la militarisation rapide de l’UE et de sa transformation en un bloc militaire agressif dirigé contre notre pays.

    […]
    Les Européens, principalement la Grande-Bretagne, l’Allemagne, la France, la Pologne et l’Italie, ont décidé de créer une plateforme militaire … L’Ukraine devrait également être intégrée à cette structure,
    …/…
    ○ VZGLYAD.•• : https://tinyurl.com/tzeawe45

  4. La France serait le premier pays dans le collimateur de Poutine ? Et pourquoi donc ? Poutine n’en a sans doute rien à faire de la France. Tout seul, c’est du blablabla pour obtenir des crédits pour l’armée.

    • La France avec la Grèce est le pays qui a la dette la plus élevée grâce à Macron et son équipe d’incapables. De grands économistes français prétendent que la Russie va dans le mur avec une dette annuelle de 1,7% du PIB alors que nous en sommes à six et des poussières. Et les Russes ont une guerre sur le dos. Poutine n’a aucun intérêt à envahir la France, en plus nous n’avons ni pétrole ni gaz, ni rien. Sauf des glandus à la tête de notre pays. Là les ressources sont illimitées.

      • Tout ce baratin me fait irrésistiblement penser à la période d’avant guerre quand Daladier, l’alors president du conseil soit 1er ministre, avait claironné le 3 septembre 1939 lors de la déclaration de guerre : « nous vaincrons parceque nous sommes les plus forts ! ». On a vu la suite, avec pour commencer, l’armée française en déroute en 3 semaines en juin 1940.

  5. J’ai vu et écouté le général Burqa deux minutes. J’ai compris tout de suite qu’il roulait pour Macron. J’ai zappé. Au fait, l’Armée lance une campagne de pub pour le recrutement. Franchement ça ne donne pas envie. Et comment vouloir défendre une patrie qui n’existe même plus. J’aurais l’âge, je n’irais pas me faire zigouiller pour que les chances pour la France continuent à prospérer. Merde, alors!