Itamar Ben Gvir a raison, Netanyahu doit sacrifier les otages pour sauver Israël

Le ministre israélien Itamar Ben Gvir dit stop aux négociations avec le Hamas, le prix payé depuis plus de 2 ans par les Israéliens en vie de soldats et d’Israéliens, est trop lourd. Et  on ne parle pas des dizaines d’années précédentes… nNégocier avec le Hamas c’est permettre aux ordures de Gaza de continuer à exister, à attenter à la sécurité des Juifs (cachés dans les sous-sols des écoles, des hôpitaux), à multiplier les attentats, les Intifadas.

Est-il normal que tant de jeunes soldats israéliens, force vive de la nation, perdent la vie au prétexte de sauver quelques otages ? C’est évidemment un choix cornélien mais je crois que là où il en est Netanyahu n’a pas le choix, il doit suivre la ligne d’Itamar Ben Gvir.

Ministre de la Sécurité Nationale, ce dernier dirige le parti Force Juive et est partisan de dire non aux négociations avec le Hamas, quitte à sacrifier les otages restants qui permettent aux assassins un ignoble chantage.  Il avait démissionné en janvier il a été réintégré récemment. 

Certes, les pressions internationales sur Netanyahu sont vives, énormes… et le risque de perdre le soutien des Américains sans lesquels Israël aurait du mal à résister aux forces conjointes de ses ennemis existe. Mais n’est-ce pas le moment de couper la tête du serpent en chassant définitivement le Hamas et les « Palestiniens » de Gaza ? « Palestiniens » dont, au demeurant, aucun pays arabe ne veut. Comme c’est étrange !

C’est terrible à dire mais je crois que c’est lui qui a raison. Netanyahu  ne peut laisser la sécurité de tout son peuple laissée à la merci des fous d’Allah pour éventuellement sauver la poignée d’otages qui demeurent et qui doivent être dans un état qu’on n’ose pas imaginer. Oui, c’est terrible, mais Israël ne s’en sortira pas s’il négocie avec les monstres du 7 octobre. Quoi que fassent les Israéliens,

Quoi qu’il arrive, on ne négocie pas avec le diable. Les naïfs qui ont cru qu’il pourraient négocier avec Hitler sont responsables en partie de millions de morts pendant la seconde guerre mondiale/.

Le ministre israélien Itamar Ben Gvir, figure de l’extrême-droite, a appelé mardi, après la mort au combat de cinq soldats à Gaza, à l’arrêt des négociations indirectes en cours à Doha avec le Hamas en vue d’un accord de cessez-le-feu dans le territoire palestinien. »

« J’appelle le Premier ministre (Benjamin Netanyahu) à rappeler immédiatement la délégation partie négocier avec les assassins du Hamas à Doh »« , a écrit sur X le ministre de la Sécurité nationale. « « Nul besoin de négocier avec ceux qui assassinent nos combattants. Ils doivent être réduits en miettes, affamés, et non réanimés par l’aide humanitaire qui leur fournit de l’oxygènE »« , a-t-il ajouté.

Des pourparlers indirects entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas ont débuté dimanche soir au Qatar, par l’entremise de médiateurs étrangers, en vue d’une trêve dans le territoire palestinien, dévasté par 21 mois de guerre et de la libération d’otages israéliens. 

Selon des sources palestiniennes proches des discussions, le Hamas demande plusieurs changements par rapport à la proposition américaine sur laquelle se fondent les discussions. Le Hamas insiste sur les modalités du retrait des troupes israéliennes de la bande de Gaza, des garanties sur l’arrêt des combats au-delà d’une trêve de 60 jours, et une reprise en main de la distribution de l’aide humanitaire par l’ONU et des organisations internationales reconnues.

Des demandes jugées »« inacceptable »« par M. Netanyahu et fermement rejetées par plusieurs membres de son gouvernement, l’un des plus à droite de l’histoire d’Israël. »« J’appelle le Premier ministre et le chef d’état-major à cesser immédiatement la folie d’envoyer de l’aide à l’ennem »« , a écrit sur X le ministre des Finances Bezalel Smotrich, également d’extrême-droite et opposé à un retrait israélien du territoire palestinien. « « Il est immoral et illogique, même dans le cadre d’un accord de libération d’otages, de permettre à l’ennemi de s’installer à nouveau sur ce territoir »« , a-t-il ajouté. »« Ce n’est pas ainsi qu’on gagne une guerr »« .

La guerre a été déclenchée par une attaque du Hamas sur Israël le 7 octobre 2023. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 sont toujours otages à Gaza, dont 27 déclarées mortes par l’armée israélienne. Au moins 57.575 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la bande de Gaza dans la campagne militaire de représailles israéliennes, selon des données du ministère de la Santé du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l’ONU.

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